Libre-pensée

les questions religieuses. Sa scène fut exposée une fois de plus (après celle de Tartuffe) aux membres de la compagnie Saint-Sacrement (organisation secrète qui œuvre avec violence pour une religion intransigeante et contre toutes les formes de libre pensée et de divertissement). Son oeuvre fut directement reniée par cette organisation ce qui remonta directement son avis au roi Louis XVI. Molière avait pourtant tout fait pour créer l’événement avec sa nouvelle pièce, mais le lendemain de sa sortie

montre sa soi disant superiorité a Sganarelle, «  Eh oui sa qualité ! » : il exprime encore son opinion, il pense que malgrés tout il est de qualité supérieure, «  eh mon pauvre Gusman tu ne sais pas encore » il exprime son avance sur Gusman, ou encore «  je n'ai pas grande peine à le comprendre » sous entend : moi je peux mais pour toi c'est plus dur, «  je t'apprend » montre qu'il pense savoir plus de chose que Gusman même si c'est dans le contexte ( en parlant des rapports de Dom Juan aux femmes

Sganarelle, contre son créancier et contre son père, il gagne haut la main. D'autre part, son cynisme et son hypocrisie ne peuvent que révulser le spectateur. En fait, la pièce est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses[2]. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambiguë. Certes

Dom Juan ou le Festin de pierre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher [pic]Pour les articles homonymes, voir Don Juan (homonymie). |Dom Juan | |Auteur |Molière | |Genre |Pièce de théatre | |Pays d'origine |[pic] France | |Date de parution |1682

qualifier de « cornélienne ». Il y a également chez Dom Juan, la transgression du ciel. Il croit seulement que « deux et deux sont quatre » et que « quatre et quatre sont huit ». Il refuse, à maintes reprises de se repentir ; il garde une attitude de libre pensée à l'encontre de tous les codes sociaux de l'époque. Même à sa mort, il refuse de se renier. C'est aussi un homme de l'expérimentation, qui affronte chaque nouveau problème, et le résout sur le moment. Il y a aussi chez Dom Juan la tentation du

l'oeuvre de Pierre Choderlos de Laclos " Les liaisons dangereuses " en 1782 . Pierre Choderlos était un officier militaire et un écrivain Français adepte du libertinage , terme ayant deux acceptions principales , soit le libertinage d'esprit ( libre pensée ) qui désigne quelqu'un affranchis de toutes éthiques religieuses mais aussi le libertinage des moeurs désignant quelqu'un s'adonnant aux plaisirs charnels dépassant les limites de la morale. C'est parce que Pierre Choderlos de Laclos à perdu toute

II. Un avertissement destiné à l’Homme   - Dans la première strophe, l’auteur s’adresse explicitement aux Hommes avec « Homme, libre penseur ! ». La majuscule à « Homme », nom commun mit au singulier, laisse à penser que Nerval s’adresse à l’espèce humaine, tandis que l’exclamation insiste sur l’interpellation de l’auteur, qui semble ainsi chercher à capter l’attention du lecteur qui, étant humain, est le destinataire du message. - « Te crois-tu seul pensant / dans ce monde où la vie éclate en

Dom Juan ou le Festin de pierre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher [pic]Pour les articles homonymes, voir Don Juan (homonymie). |Dom Juan | |Auteur |Molière | |Genre |Pièce de théatre | |Pays d'origine |[pic] France | |Date de parution |1682

illustration caractéristique des limites de la connaissance humaine : en dépit de la familiarité des notions de «  matière  » et de «  pensée  », nous sommes incapables de voir ni par intuition ni par démonstration s’il existe entre ces deux idées une relation de convenance ou au contraire de disconvenance. Les deux thèses métaphysiques opposées sur ce qui fait le substrat de la pensée humaine forment un dilemme de propositions contradictoires : ou bien l’âme est une substance pensante non matérielle, et il

Sganarelle, contre son créancier et contre son père, il gagne haut la main. D'autre part, son cynisme et son hypocrisie ne peuvent que révulser le spectateur. En fait, la pièce est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambigüe. Certes