L'inquiétante étrangeté

pas investi de la libido. b) Estime de soi Des travaux ont montré que si l’image du corps et l’estime de soi étaient satisfaisantes avant la maladie alors les patientes avaient une meilleure adaptation à la mastectomie. c) L’inquiétante étrangeté Elle s’inscrit dans la lignée des troubles de dépersonnalisation et de déréalisation. Ce trouble ramène à la question du corps et de l’image du corps. Selon C. Jamart (Le corps malade à l’épreuve du miroir, 2007) « Il existe un mutisme

contemplation du spectacle cosmique. En plus du bleu, le blanc véhicule aussi une dimension spirituelle ; "c'est pourquoi le blanc agit également sur notre âme (psyché) comme un grand silence, absolu pour nous52", un 50. Voir Sigmund Freud, L'Inquiétante étrangeté, Hatier, 1987. Kandinsky, Du spirituel dans l'art, Denoël, Folio essais, 1989, p. 149. 52. Kandinsky, p. 155. 51. silence de recueillement qui annonce une transcendance à laquelle mènera la rencontre amoureuse. Cependant, il faut souligner

le contraste entre sa virilité et « ses mains de femme ». Le personnage apparaît comme « un composé de contrastes » ce qui est plutôt déstabilisant pour Pauline. Il en devient un personnage étrange et mystérieux. 2. Relevez ce qui annonce l’inquiétante étrangeté du personnage. On trouve dans le texte des indices qui annoncent la dimension sinistre du personnage. Pauline distingue « la présence habituelle d’une pensée sombre » sur le visage du comte. Elle formule ensuite l’hypothèse d’un personnage

S. (B) L’interprétation des rêves, nouvelle édition augmentée et entièrement révisée par Berger. D. tr. Meyerson, I. PUF, Paris, 1999. Freud, S. (C) Cinq psychanalyses, tr. Bonaparte, M. et Loewenstein, R. M. PUF, Paris, 1999. Freud, S. L’inquiétante étrangeté et autres essais, tr. Féron, B. Gallimard, Paris, 1985. Genette, G. Figure III, Seuil, Paris, 1972. Maupassant, G. de, Misti, souvenirs d’un garçon, dans La petite Roque et autres contes noirs, Flammarion, Paris, catalogue Librio, 2000,

sur la guerre et la mort (1915) Introduction à la psychanalyse (1917), Payot, coll. "Petite Bibliothèque Payot", 2004, ISBN 2-228-89405-2 Deuil et mélancolie (1917) (1917) Complément métapsychologique à la doctrine de rêves (1917) L'inquiétante étrangeté et autres essais (1919) (Ed. : Gallimard Folio, 1988, ISBN 2-07-032467-2 On bat un enfant (1919) Psychogenèse d'un cas d'homosexualité féminine (1920) « Au-delà du principe de plaisir » (1920) in Essais de psychanalyse, Payot, coll.

équilibrée entre légendes dorées ou roses et celles noires (à égalité). Mais les légendes urbaines se rapprochent des proportions observables pour les rumeurs. Leur récit, original, est « surprenant », presque toujours marqué du sceau de l’inquiétante étrangeté, évoquant des atmosphères quotidiennes, bizarres, effrayantes ou absurdes . • Enfin l’attribution concerne la source prétendue d’une rumeur, « source que le sujet transmetteur désigne comme garant de la véracité de son récit. Les légendes

Universitires de France, 1989, p 105-115 FREUD S. (1915 a) «Pulsion et destin des pulsions», tr fr J. Laplanche et J-P Pontalis, in Métapsychologie , Paris, Gallimard, 1986 FREUD S. (1917 c) «Une difficulté de la psychanalyse», tr fr B. Féron, in L’inquiétante étrangeté et autres essais , Paris, Gallimard, 1992 FREUD S. (1917a) Introduction à la psychanalyse , tr fr S. Jankélévitch, Paris, Payot, 1988 FREUD S. (1917b) «Complément métapsychologique à la théorie du rêve», tr fr J Laplanche et J-B Pontalis,

Lecomte écrit-il de courts récits à la phrase longue et maniérée, parfois même alambiquée. Ceux-ci se concentrent autour d'un phénomène apparemment ordinaire dont ils révèlent, par un subtil jeu de miroirs souvent anxiogène, la part d'inquiétante étrangeté que le phrasé met en relief. Peu compris par la branche hennuyère du surréalisme belge (Chavée-Dumont) qui fait confiance, dix ans plus tard, à l'automatisme cher à Breton comme aux slogans du P.C. stalinien, le dessein radical de Nougé trouve un

général confronté au cycle de la vie. Le thème de la nature renvoyant l’homme à son destin est un leitmotiv* de la littérature notamment romantique. - La nostalgie « liée à la sombre profondeur » de la forêt (symbolisant le mystère, l’au-delà, l’inquiétante étrangeté…) : est liée à l’angoisse de la mort, du temps qui passe, du destin qui s’accomplit au cœur d’un processus cyclique contre lequel on ne peut rien. - L’espoir d’une lutte de la nature vers l’éternel recommencement montre l’impossibilité d’une

d’aboutissement, est un vide. Le visiteur est exposé au ciel ; la protection attendue, l’abri, a disparu. La présence rassurante du foyer est contrée par ce manque. Il règne dans cet espace une ambiance surréaliste, proche du fantastique kafkaïen (lorsque l’inquiétant surgit d’éléments familiers et quotidiens, ici la cheminée ou les meubles de salon). Cette sensation d’étrangeté recouvre une thématique chère à Le Corbusier. Dans Précisions il décrit l’état de désarçonnement dans lequel se trouvent les visiteurs