Livre 1 République Platon

François Seck Plan Introduction I. Biographie et bibliographie a. Biographie b. Bibliographie II. Résumé de l’œuvre III. Ménon 1. Qu’est-ce que la vertu 2. Model de définition 3. Le paradoxe de Ménon IIII. Les procédés de Ménon 1. La vertu s’enseigne t’elle ? 2. La réminiscence Introduction Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle

sens, une philosophie cachée (« arcane »). Pour lire Gargantua, l’auteur recherche un lecteur de bonne humeur, sans malveillance qui sache concilier la plaisanterie et le sérieux : un lecteur ayant un esprit pantagruéliste. I / L’art du portrait 1) Le portrait de Socrate. Ce portrait manifeste la dualité du personnage. La première phrase décrit son apparence extérieure et son mode de vie : « laid de corps, inapte à tous les offices ». La deuxième phrase révèle qu’il dissimule à l’intérieur des

empêchant les Hommes de tomber dans la folie. → Trois filles dont Diké, déesse du droit, traduit par des décision de justice (Humaine). Élément clé entre l'apport du divin et le droit passant par la médiation des Hommes, institution humaine. Section 1. L'invention de la citée Élément majeure de l'histoire de l'humanité. Les Grecs font preuve d’originalité, se distinguent des autre civilisation Antique, ( Égyptienne) Origine qui apparait à l'aube de l'époque archaïque, va du VII ème au VI. av notre

LE ROMAN ET LE GENRE NARRATIF 1. Les fondements de la narration 2.1 Les premières définitions du genre Avant d’évoquer le cas particulier du roman – le mot, et même la chose apparaîtront assez tardivement – il convient de parler de la forme littéraire à laquelle il appartient, la narration. Aristote, dans La Poétique, oppose à une mimésis dans laquelle les personnages sont représentés directement (le dramatique) une autre forme d’imitation où l’action est racontée par un narrateur (le

HUMANISME ET HUMANISTES 1-Introduction L’Humanisme est un mouvement intellectuel européen des XIVème, XVème et XVIème siècles qui place l’homme au centre de l’univers, de la pensée et de toutes les connaissances en partant de l’Antiquité. Le berceau de ce mouvement se situe en Italie. Le terme est formé sur l'allemand Humanismus, venant lui-même du latin : au XVIème siècle, l'humaniste s'occupait d'humanités (studia humanitatis en latin) ou lettres antiques. Cependant, cette réflexion ne concerne

l’amateur) * Rapport au Beau avec un double bémol : * Certaines productions de l’artisanat méritent leur admission au titre d’œuvre d’art ; * Certaines œuvres ne visent pas le Beau) Trois modes de production d’objets artificiels : 1) La technique → objets standardisés 2) L’artisanat → chaque objet produit diffère des autres par quelques détails 3) L’art → chaque œuvre est unique (même s’il y a souvent des ressemblances entre les œuvres d’un même artiste) Ainsi, de la technique

Allégorie de la Caverne, La République, livre VII 1) La caverne. Platon met en scène la condition immédiate de tous les hommes, celle par laquelle nous commençons tous. Cette condition est métaphoriquement celle d’un prisonnier d’une caverne. Dans ce temps (mais les hommes peuvent fort bien en rester là), nous tenons pour vrai, pour normal, ce dont nous avons l’habitude et qu’on nous a toujours répété. Et nous en parlons entre nous, nous échangeons nos opinions, nous émettons constamment des avis

1. LE STATUT DU PLAISIR DANS LA PENSÉE ANTIQUE ET MÉDIÉVALE : PLATON, AUGUSTIN D’HIPPONE ET THOMAS D’AQUIN Marion Duvauchel Professeur certifiée en lettres, docteure en philosophie Introduction Un préjugé largement répandu veut que la disqualification du plaisir soit un héritage de la pensée chrétienne. Cette disqualification est souvent largement attribuée à saint Augustin et il est vrai qu’il a légué à la pensée philosophique chrétienne une notion difficile : « la chair », chair vouée aux

mythifiée de l’organisation s ociale, politique et économique d’une communauté humaine. Bien que le terme « utopie » et l’initiation du genre littéraire utopique soient portés au crédit de Thomas More au XVIe siècle 1, la quête de la cité idéale remonte à l’Antiquité, e aux écrits de Platon et avant lui aux travaux d’Hippodamos au V siècle avant JC. L’architecte Hippodamos reconstruit la ville de Milet (494 av.JC) en mettant en pratique sa conception d’une cité idéale par un découpage spatial en trois

universelles énoncées par un pouvoir divin ? Nous allons voir que le texte de Platon reprend la théorie de droit naturel (Platon admet l’idée qu’il existe une idée du juste en soi, et qu’il pourrait y avoir par conséquent un décalage entre la justice et la loi, mais cela ne le conduit pas du tout à admettre pour autant à imaginer qu’on puisse transgresser une loi qui nous semblerait injuste. Le texte de Platon sera donc l’occasion de se demander si l’obéissance aux lois en démocratie est un principe