Locomotive

qui foncent dans le premier train sans faire attention, Mais forcément ils descendront dessus à la prochaine station, Y'a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives, Pour elles c'est trop risqué de s'accrocher à la locomotive, Et y'a les aventuriers qu'enchainent voyages sur voyages, Dès qu'une histoire est terminée ils attaquent une autre page. Moi après mon seul vrai voyage j'ai souffert pendant des mois, On s'est quitté d'un commun accord mais elle était

réalisme avec des visées scientifiques très marquées. La documentation prend une place prépondérante : souvent, le romancier naturaliste procède à des enquêtes approfondies avant de rédiger son roman. La précision des références techniques de la locomotive apporte une vision objective : " La chaudière était pourvue d'eau, le charbon dont le foyer venait d'être rempli, s'embrasait ; et, pendant la première demi-heure, la pression monta follement " ; " À Rouen, on devait prendre de l'eau " "la pression

riche et vieux président de la Compagnie de l'Ouest, Grandmorin, qui l’a débauchée lorsqu'elle était toute jeune. Roubaud le devine et veut se venger de Grandmorin. CHAPITRE 2 Jacques Lantier, fils de Gervaise, est mécanicien sur la Lison, une locomotive qui parcourt la ligne Paris - Le Havre. Il est partagé entre deux femmes : sa femme Victoire à Paris et sa maîtresse Séverine au Havre. Jacques Lantier est venu passer la journée chez sa marraine, Phasie, la garde-barrière, qui est mariée à Misard

Humaine, roman réaliste écrit par Emile Zola et publié en 1890. Il s’agit du dix-septième volume de la série Les Rougons Macquart. Le passage qui nous est proposé est extrait du chapitre X. Il traite un thème éprouvant, il s’agit de l’accident de la locomotive et du cheval, cette dernière étant tant aimée par Jacques Lantier, le mécanicien fils de Gervaise Macquart et de Jacques Lantier. Nous découvrons cette terrible scène, la ‘’mort’’ de cette machine, sous les regards de Misard, Cabuche, et Flore la

y ceux qui foncent dans l'premier train sans faire attention Et forcément ils descendront déçus à la prochaine station Y a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives Pour elles c'est trop risqué d's'accrocher à la locomotive Et y a les aventuriers qu'enchainent voyage sur voyage Dès qu'une histoire est terminée, ils attaquent une autre page Moi après mon seul vai voyage j'ai souffert pendant des mois On s'est quittés d'un commun accord mais elle était plus d'accord

recueilli et soigné par Séverine, la tue et l’on inculpe Cabuche, que des preuves mal interprétées semblent accuser. Lantier échappe à la justice, mais son chauffeur Pecqueux, dont il a séduit la maîtresse, se bat avec lui. Ils tombent tous deux de la locomotive qui entraîne le train vers la mort à une vitesse folle. On va vers la guerre (chapitres 11-12).

alimente et explique mieux le texte. 3- CADRE DU RECIT -Époque : Cela se passe cela se passe en milieu de février 1869, dans un contexte politique agité. -Lieu géographique : L'histoire se passe le plus souvent à la gare Saint-Lazare. Mais la locomotive fait aussi des aller retours entre le Havre et Rouen. 4- LE HEROS -Nom: Jacques Lantier -Age : 25ans -Identité sociale : Bourgeois -Métier, activité : Conducteur de tain -Trait de caractère dominants : travailleur, ponctuel et sympathique

plupart de ses œuvres, il dérive du naturalisme pour aller vers l'épique ou même parfois le tragique. Nous avons dans ce texte un exemple qui illustre cette constatation. En effet, après l'écroulement de Jacques et de Pecqueux sous les roues de cette locomotive, c'est la machine qui prend tout en main et conduit les soldats à la guerre. Nous pouvons bien dire qu'elle les emmène à leur mort. Elle est comparée à une bête sauvage et violente. Nous pouvons donc dire que le train a une valeur symbolique, il

1.04 m. Il est conservé au musée d’Orsay. Notre mot choisi sur la première impression du tableau est : flou ! Description : Installé sur le quai de la ligne d’Auteuil, Monet représente l’activité fourmillante du lieu. Au centre, une locomotive sombre entre en gare en laissant s’échapper de gros nuages de fumée tandis qu’un train file vers le pont de l’Europe, qui enjambe les voies ferrées au loin. A gauche, l’isolement d’un wagon à l’arrêt contraste avec l’effervescence d’un départ ou

Angleterre après cette affaire. Il meurt d'une asphyxie due à un système de chauffage défectueux, peut d'origine criminelle. résumé: Cette extrait raconte le moment où la locomotive déraille. Plan Problématique: Dans quel mesure cette extrait est pathétique ? Personnification de la locomotive Identité de la locomotive: « Lison » *3 Anatomie distincte: Cl de l'anatomie Sentiments éprouvé par la machine: Cri, râle, agonisante ... Sentiments, témoins et victimes Témoins (Tétanisés