Locomotive

Zola à la fin du 19e siècle ; écrit en 1890 pour la Bête humaine. L’extrait de ce livre parle d'un locomotive, la Lison. En quoi la présentation de cette locomotive est-elle une description de de l'une des Bêtes humaines ? En premier lieu la description réaliste et en deuxième lieu l'idéalisation de la Lison. Dans cette extrait , on peut remarquer une description de précision de la locomotive comme « d'une élégance fine et géante » L.5 mais aussi une description plus organique « poitrail large »

La révolution des transports Introduction Au 19e siècle, les transports connaissent une révolution dont on peut distinguer trois étapes : la locomotive à vapeur, la navigation à vapeur et automobile / aviation. Ces inventions ont permis des gains de temps importants : la plupart des trajets sont devenue trois à cinq fois moins longs. Le monde devient donc plus facilement accessible en terme de temps et pour un plus grand nombre. Mais on peu se poser la question : Comment c'est opéré cette

recueilli et soigné par Séverine, la tue et l’on inculpe Cabuche, que des preuves mal interprétées semblent accuser. Lantier échappe à la justice, mais son chauffeur Pecqueux, dont il a séduit la maîtresse, se bat avec lui. Ils tombent tous deux de la locomotive qui entraîne le train vers la mort à une vitesse folle. On va vers la guerre (chapitres 11-12). Une illustration du naturalisme Inspiré par Claude Bernard, Hippolyte Taine et par les travaux du Docteur Lucas sur l’hérédité (L’Hérédité naturelle)

à la femme et à l’art,l’on voit resurgir cette dialectique, du moins avant la rencontre de Jacques et Séverine. Les caractéristiques de la Lison, sa docilité et son obéissance, renvoient au dompteur une image valorisée de sa puissance. La locomotive figure "un substitut dynamique, c’est-à-dire positif, de la femme" et fonctionne "comme une parfaite machine à jouir", . Dans le couple que Jacques forme avec la Lison, s’établit une parfaite harmonie, fondée, de la part du mécanicien, sur

satire d’une justice inféodée au pouvoir. Dans cette oeuvre très «plastique» par ses découpages en «tableaux» spectaculaires, où Zola se plut aux évocations de la vitesse, l’action est riche en morceaux de bravoure : - une scène d'accident de locomotive sous la neige ; - une scène de déraillement ; - les intermittences de la pulsion de meurtre chez le héros ; - les crimes, commandés par la passion, la cupidité ou l'instinct aveugle : Roubaud et sa femme assassinent Grandmorin ; Misard empoisonne

la gare, une locomotive à vapeur, un cheminot venant vers moi.Ensuite en arrière plan , je devine une partie de la ville de Paris. Ce que je vois d’autre : Plusieurs nuages de fumée qui emplissent la gare et le tableau : cette fumée résulte de la combustion du charbon qui fournit l’énergie permettant à la locomotive d’avancer. La gare est assez sombre. Il y a des rails qui semblent venir jusqu'à nous et qui nous invitent au voyage. Un wagon à l'arrêt contraste avec la locomotive qui part. La

a été réaliser le chemin de fer était en train de ce développer grâce à l'invention de la machine à vapeur. Le train à contribuer au développement industriel. IV_ Description de l’œuvre : Tout d'abord au centre du tableau nous voyons une locomotive sombre d'où s’échappe un nuage de fumé elle est entrain de sortir de la gare, tandis qu’un train file vers le pont de l’Europe, qui enjambe les voies ferrées au loin. Nous voyons aussi un train avec un wagon qui sont à l'arrêt sur la gauche.

délivrer l'homme, s’accompagne d'accidents meurtriers. Comme deux rails parallèles, La Bête humaine dédouble les intrigues (le versant policier se mêle au récit de la vie de Jacques) et les personnages principaux. On considère souvent que la Lison, la locomotive, tient une place aussi importante que Jacques dans le roman, et la mort de celui-ci entraîne le « dérèglement » de l'autre, désormais prise dans une course folle dont l'issue ne peut être que fatale. Là encore, le déterminisme est mis en démonstration

proximité du canal du centre. Elles ont peu à peu donné naissance à une ville et à un « pays noir ». D’abord spécialisées dans la fabrication d’acier (sidérurgie), les entreprises Schneider ont aussi développé la production de moyens de transport (locomotive, bateaux à moteur), d’armements avant de se tourner vers l’électricité à la fin du siècle. Elles ont alors profité de nouvelles innovations et du capital fourni par les banques. Au Creusot, l’implantation de l’industrie s’est accompagnée de l’essor

menaçant de renverser la mécanique à chaque nouveau virage qui surgissait de l 'épaisse fumée grisâtre, nous obligeant à nous tenir pour ne pas tomber à la renverse. La machine avalait de plus en plus de charbon pour maintenir sa terrifiante allure. La locomotive traçait sa route, dégageant de son simple passage les herbes humides aux alentours, éjectant la terre inondée, éclaboussant les bordures des rails telle une bête furieuse chassant sa proie malgré les intempéries. Je tirai longuement le sifflet,