Locuteur

peut pas ne pas communiquer ». Les approches interactionnistes, se concentrent sur le fonctionnement interactionnel comme lieu de mobilisation et de construction des compétences langagière, largement inspirée de la conversation exolingue entre locuteurs natifs et non natifs. Cette orientation de la recherche insiste généralement sur le rôle constitutif de l’interaction et des conditions sociales qui la régissent pour les produits et les processus de l’apprentissage. En outre, L’interaction est

interpretation au decodage) implique une prise en consideration de certains des elements constitutifs de la situation de communication, a savoir Ie role que tiennent dans le proces d' enonciation les aetants de I' enonce ; la situation spatio-temporelle du locuteur et, eventuellement, de I 'allocutairew/" 2.2. La deixis - la theorie de I' Antiquite On utilise aujourd'hui en linguistique le terme «deixis» (qui provient d'un mot grec signifiant montrer ou indiquer) pour se referer ala fonction des pronoms

Ainsi nous essaierons de voir dans un premier temps que la parole est en soi une action. Mais que l'action peut aussi s'avérer être le contraire de l'action. 1 Le contraire de parler c'est se taire et le contraire d'agir c'est être passif. Or un locuteur n'est pas dans un état de passivité, ni physiquement ni mentalement. En effet, la paroles est une opération physique qui exige des efforts physiques mais aussi niveau de l'activité mentale. La parole apparaît donc comme une action en soi. Aussi

: échanges entre les personnages, pour parler de leur longuer on utilise le mot "volume". - la tirade : long discours prononcé par un personnage devant d'autres personnages. Souvent elle souligne un fait, et montre les sentiments intenses du locuteur qui raconte, s'explique, se défend, dénonce ou accuse. - le monologue : discours d'un personnage seul sur scène, sont présentés les réflexions, les doutes, les projets du personnage. - l'aparté : réplique prononcée à voix haute par un personnage

militaire. Le modèle mécaniste Analyse du modèle Les limites du modèle •  et s'il y a plusieurs récepteurs ? •  et si le message prend du temps pour leur parvenir ? •  et si la réalité décrite n'existe pas ailleurs que chez le premier locuteur ? •  et s'il y a plusieurs messages (au besoin contradictoires) qui sont prononcés en même temps? •  et s'il y a un lapsus ? •  et si sont mis en jeu des moyens de séduction, de menace ou de coercition ? •  et si le message comporte des symboles

processus de la communication 2 La communication passe donc aussi par le corps. Ainsi, elle sera non verbale ou plutôt non verbalisée. La communication non verbale peut-être para-verbale c'est-à-dire qui accompagne la vocalisation. Ainsi lorsque le locuteur explique qu'il faut aller à droite et qu'il bouge sa main dans cette direction, c'est un cas de communication para verbale. Croiser les bras dans un signe de protection est aussi une communication non verbale. Mais ici ce sera pour dire que :

non verbale.(voir plus bas). La communication passe donc aussi par le corps. Ainsi elle sera non verbale ou plutôt non verbalisée. La communication non verbale peut être para-verbale, c'est-à-dire qui accompagne la vocalisation. Ainsi lorsque le locuteur explique qu'il faut aller à droite et qu'il bouge sa main dans cette direction, c'est un cas de communication para verbale. Croiser les bras dans un signe de protection est aussi une communication non verbale. Mais ici ce sera pour dire que : « je

critique efficace des Européens ? I. Une argumentation efficace a. Ethos argumentation directe : - « je » pour donner son opinion -essai - « nous », il s'implique dans la pâte humaine -modélisateurs avec « je trouve » : exprime ce que le locuteur pense de ce qu'il dit l'auteur se présente avec une certaine autorité et certitude: - « comme de vrai », « à la vérité » lexique généralisateur : « toujours », « rien » adverbes intensifs rythme binaire b. Pathos « nous » :

instrument de communication (système de signe vocaux spécifique aux membres d’une communauté). Parole L’individu Acte : le discours, manière de la linguistique : ensemble de phénomènes liés à l’utilisation du langage et/ ou manière dont le locuteur utilise les règles.

laquelle deux langues sont employées dans la même phrase exemple : demain (fesbe7) b) Alternance interphrastique : est une alternance de langue au niveau d’unités plus longues, de phrases ou de fragments de discours, dans les productions d’un même locuteur ou dans les prises de parole entre interlocuteurs. c) Alternance extraphrastique : lorsque les segments alternés sont des expressions idiomatiques, des proverbes…etc. De là, plusieurs situations de communications et d’acquisition se créent