Logique mathématique

Les mathématiques occupent une place d’exception dans la connaissance et il n’est pas rare qu’on voit en elle la création la plus originale de l’esprit humain. Pythagore (IVème siècle avant JC) et Pythagorisme : -L’école pythagorienne, secte philosophique et politique fondée au VIème siècle avant JC de Pythagore. Selon la tradition, la thèse de celle qui est l’essence des choses est le nombre doté d’une signification transcendante et symbolique: tout s’explique par le nombre ; chaque être

mais c’est donner un argument qui est nécessairement valide et universellement vrai, donc une preuve. Élaborée par Aristote, philosophe grec du IXème siècle, la théorie du syllogisme consiste en un raisonnement déductif basé sur l’enchaînement logique de trois proposition : deux prémisses, qui sont des vérités que l’on a déjà admises, et une conclusion. Ce raisonnement nous montre clairement que lien entre chaque idée est nécessaire pour aboutir à une conclusion elle-même nécessaire : la vérité

elle-même, d'un point de vue logique, ou la conformité de la pensée et de son objet, d'un point de vue métaphysique. • a-t-elle besoin : ressentir la nécessité ; avoir besoin de : éprouver, voir la nécessité de, l'utilité de. • prouvée : témoigner, attester la vérité ou la véracité, manifester, montrer. Être l'indice, la preuve, le signe de : une preuve est ce qui sert à établir qu'une chose est vraie. On peut obtenir l'adhésion des hommes par la démonstration logique. C'est le cas des propositions

.......7 1.1.8 Restriction de valeur ...............................................................................7 1.1.9 Contraintes de logique générale..............................................................7 1.2 Les formalismes de représentation.........................................................................8 1.2.1 Les formalismes logiques : ......................................................................8 1.2.2 Les réseaux sémantiques : ................................

Document créé le 22 novembre 2013 Lien vers la dernière mise à jour de ce document Lien vers les exercices de ce chapitre Chapitre 1 Logique et ensembles Sommaire 1.1 1.2 1.3 1.4 1.5 Rudiments de logique . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Propositions, démonstrations, etc. . . . . . . . . . 1.1.2 Ensembles, éléments . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 Propriétés portant sur les éléments d’un ensemble 1.1.4 Opérations sur les propositions . . . . . . . . .

hypothèse, puis en déduit toutes les propositions qui en sont la conséquence logique. Les mathématiques et la logique partent de postulas (ex : les axiomes d’Euclide), et par déduction arrivent de manière logique à des résultats : Ceux sont des sciences hypothético-déductives. Ces mêmes résultats vont ensuite servir à déduire d’autres propositions logiques, et ainsi de suite. On arrive donc à un enchainement de propositions logiques dont chacune dépend de la précédente mais qui au final ne dépendent que

Rapport de stage ( Partie 1/2) Création du site Web du Service Universitaire de Bio mathématiques, Statistiques Médicales et Epidémiologiques, Informatique de la faculté de médecine de la TIMONE Formation d’une partie du personnel au logiciel « Dreamweaver » Julien HERZBERG Sous la direction du Professeur Michel ROUX Faculté de Médecine Université de la Méditerranée Remerciements Je tiens à remercier le Professeur Michel ROUX, chef du Laboratoire et maître de stage

à partir d’hypothèses de départ. » (Manuel) ou encore « Raisonnement établissant la vérité d’une proposition à partir d’autres propositions déjà démontrées ou d’axiomes, en le rattachant à ceux-ci par les liens nécessaires résultant des principes logiques de la connaissance. » (Manuel de philosophie) ou enfin « Raisonnement qui consiste à passer de propositions admises à une proposition qui en résulte nécessairement. » (Vocabulaire de la philosophie et des Sciences Humaines.) >A privilégier en Epistémologie

une véritable ascèse intellectuelle, le simplisme est donné dans les préjugés. L’histoire des sciences a montré que des certitudes inébranlables, comme la référence mathématique (« c’est vrai comme deux plus deux font quatre »), étaient fragiles et pétries de paradoxes et de contradictions (voir les travaux de logique mathématique de la fin du XIXème siècle et du début du XXème, comme ceux de G. FREGE ou de B. RUSSELL). Croire que quelque chose est « vrai » n’implique aucunement que cette croyance

s’inscrit, à bien des égards, dans des thématiques et des problématiques propres à la philosophie et aux sciences du 17e siècle, notamment quand on considère le fondement théologique de son système de la connaissance et le rôle central joué par les mathématiques anciennes et la scolastique. Néanmoins, si l’on envisage le thème de cette journée, il ressort que Leibniz apparaît, non comme un précurseur car il me semble qu’il faut manier cette catégorie avec beaucoup de prudence, mais comme un penseur de