Logiques Marchande Et Non Marchande

mesurer la surface (l’assiette) d’un acteur à engagement (par exemple par rapport à une dette/ un déficit). Ce terme n’a de sens qu’en termes d’actif. Comme le stipulera Thomas D’Aquin (théorie du juste prix) le problème dépend de la relativité et non pas de la valeur absolue. Il faut donc toujours regarder le « numérateur » et le « dénominateur » du phénomène. Ex : Crise France/Richesse de la France. Ex : Le PIB n’est une représentation infime de la richesse contrairement aux croyances. Le sujet

optimal, sur la base d'analyses coût-avantage. Universellement appliquée, cette méthode d'évaluation des investissements pose des problèmes qui ne sont pas tous purgés. La rentabilité socio-économique des projets prenant en compte des éléments non marchands, comme les gains de temps ou de sécurité, il lui est parfois reproché de "cacher" leur rentabilité strictement financière. Cela peut être contradictoire avec des objectifs politiques précis, comme l'obligation qui est faite par la puissance publique

du commerce mondial qu’il met en évidence.CompétenceNonPrésenter le documentTableau -­‐ « Titre » – OMC – 2013 – Champ : Pays etcontinents –1-­‐2 éléments– Indicateurs-­‐unité (% de répartition et en milliards de $présentscourants) – $ courants càd non déflaté (en valeur, nominal0COUR-­‐NO-­‐VA)De 1948 à 2012Sélectionner / manipuler des données statistiquespour répondre à la tâche1. Essor très important du commerce extérieur de 1948 àAbsence des2012 (mais attention c’est en valeur)éléments de2. Basculement

l’étude des rapports entre économie et société. S’inscrivant dans cette perspective, la collection a pour ambition : • de questionner l’ordre économique et les risques toujours à l’œuvre de sa naturalisation en s’ouvrant à la pluralité des formes et logiques économiques observées empiriquement ; • d’éclairer des sujets d’actualité à partir des points de vue, des outils et des théories sociologiques ; • d’articuler analyses critiques et reconnaissance de pratiques sociales émergentes notamment dans le

Mission 1 : une activité économique mais pas que 1.1. Montrer en quoi la démarche de Gérard Thevenot relève d’une logique entrepreneuriale. THÈME 1 : L’INTÉGRATION DE L’ENTREPRISE DANS SON ENVIRONNEMENT De quelle manière l’entreprise s’inscrit-elle dans son environnement ? Compétences Savoirs associés Distinguer une démarche entrepreneuriale d’une démarche managériale - Logique entrepreneuriale Repérer Annexe 1 : interview de Gérard Thevenot Analyser Structurer Argument er  La démarche

CA – CI) puisqu’elle élimine les consommations intermédiaires de l’entreprise achetée à d’autres et non produite par elles. è Le PIB : Pour avoir la production totale d’une économie, on fait la somme des valeurs ajoutées réalisées par l’ensemble des entreprises et non la somme de leur production. En effet, dans la valeur d’une production d’une entreprise, est intégrée le montant des CI non produite par elle est achetée à d’autres entreprises et si l’on faisait la somme des productions de

réside dans la mise en œuvre très particulière du tryptique qui nous intéresse ici: L’étude du comportement Le concept d’état de nature Le concept de contrat social Pour l’étude des hypothèses comportementales, HUME prétend former une science sociale non pas sur la bas de la raison mais sur la base des passions qui motivent et font agir les individus. Concernant l’état de nature, HUME considère cette hypothèse comme peu pertinente si il s’agit de définir un état ou une situation dans laquelle l’homme

La démarche mercatique s’est généralisée dans toutes les formes d’organisations, qu’elles soient marchandes ou non marchandes. De nos jours l’écologie est un thème majeur qui ne laisse personne indifférent. Le marketing vert est constitué de l’ensemble des actions qui vise à utiliser le positionnement écologique d’une marque ou d’un produit pour augmenter les ventes et améliorer l’image de l’entreprise. L’objectif de cette étude sera d’expliquer dans un premier temps, pourquoi il est « utile » pour

Les logiques de régulation dans la gouvernance hospitalière 1 L’existence des différents « îlots bureaucratiques » crée, comme l’explique André-Pierre Contandriopoulos (96), la coexistence de quatre grandes logiques de régulation dont l’articulation est une clé de la performance hospitalière. Il souligne donc l’interaction, dans toutes les décisions prises dans le système de santé, notamment à l’hôpital, des différentes logiques aux mains de quatre groupes d’acteurs importants. La logique professionnelle :

ressources ? A – Les secteurs institutionnels (SI) Pour regrouper l’ensemble des acteurs économiques selon une logique cohérente, la comptabilité nationale a choisi deux critères : * Avoir des activités ou des fonctions de même nature * Avoir des ressources principales de même nature On en a déduit cinq secteurs institutionnels différents : * Ménages * Sociétés non financières * Administrations publiques (APU) * Sociétés financières * Les ISBLSM (Institutions Sans But