Loi d'orientation du commerce et de l'artisanat

entre les filiales implantées dans une grande diversité de nations. Cette dimension de la gestion des firmes multinationales est d'autant plus fondamentale, qu'à la fin de la décennie 1990, la part des échanges internationaux intra-firme dans le commerce mondial global avoisinait le pourcentage de 40% (ONU, 1999). En définitive, l'attractivité d'un territoire recoupe sensiblement l'idée de diamant de l'avantage national selon Porter (Porter, 1990, p.72). Il est clair que la capacité de polarisation

VI. Stratégies de développement des NTIC au niveau local………………………………………….…11 6.1. Quelques données issues de l’état des lieux dans la région……………………………….…11 6.2. Développement de contenus……………………………………………………………………..11 6.3. E-santé, E-éducation, E-commerce……………………………………………………………...12 6.4. Banques de données régionales…………………………………………………………………13 6.5. Réseau informatique des Collectivités…………………………………………………………..13 6.5.1. Stratégies et technologies proprosées….…………………………..………….……13 b 6.5.2. Architecture

_______________________________________________________ 6 2. 3. Adam Smith (1723 – 1790)____________________________________________________ 7 Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations, 1776 _____________________ 7 3.1. Loi de Say ou loi des débouchés ______________________________________________________ 8 3.2. Conséquences ____________________________________________________________ ______ 9 Jean-Baptiste Say (1767-1832)_________________________________________________

le chronométrage des mouvements des ouvriers, le gain de temps et la rentabilité à tout prix. Cela dans un contexte de développement du capitalisme, du libéralisme et du libre-échange, qui encouragent la libre entreprise, la libre concurrence et la loi de l’offre et la demande, le visage de l’entreprise, et par là même des emplois, connaît une véritable mutation. Les progrès scientifiques et humains permettant en outre la raréfaction des famines et le meilleur traitement des épidémies, parfois associés

et CommercialBICIM: Banque Internationale du Commerce et de l'Industrie et du Mali BIM : Banque Internationale du MaliBMS: Banque Malienne de SolidaritéBNDA : Banque Nationale pour le Développement AgricoleBOA : Banque Of AfricaBOAD : Banque Ouest Africaine de DéveloppementBOAL : Bulletin Officiel d'Annonces LégalesBRVM : Bourse Régionale des Valeurs MobilièresBSIC: Banque Sahelo-saharienne pour l'Investissement et le Commerce CCIM : Chambre de Commerce et d'Industrie du MaliCDD : Contrat à Durée

3.5 La politique nationale de l’emploi et les outils de pilotage du développement 13 3.5.1 Une Stratégie nationale de Développement durable (SNDD) 13 3.5.2 Un Plan National d’Aménagement du Territoire (PNAT) 13 3.5.3 Un Plan d’Orientation pour le Développement Economique et Social (PODES) 13 3.5.4 Une Stratégie pour la Réduction de la Pauvreté - DSRP II 13 3.5.5 Un plan d’actions élaboré pour atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) 14 3.5

l’administration moderne ont été posé : c’est l’assise de l’administration moderne. (Les facultés, les lycées, les académies ont été créées). L’empereur réunit ses conseillers(les ministres) lors d’un conseil d’administration. Pour prépare les projets de loi on va créer le conseil d’état. L’administration au niveau locale maintenant : le district sera remplacé par les arrondissements. 4eme période : vaste. C’est le 19e siècle. On peut considérer qu’on assiste à une stabilisation de l’organisation de

nationale, la révision en date du 15 novembre 2008 de la constitution a abouti notamment à : -la consécration des symboles de la nation en l’occurrence les caractéristiques du drapeau national et l’intégralité de l’hymne national dans le corps de la loi fondamentale ; -une clarification des rapports au sein de l’exécutif sans pour autant toucher aux équilibres des pouvoirs ; -un réaménagement de l’article 74 de la constitution relatif au mandat présidentiel, qui reste limité dans sa durée à cinq (05)

......................... 3 Présentation et analyse G Loi de Finances 2010 : un projet volontariste pour soutenir la croissance et renforcer la solidarité sociale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 réalisme des hypothèses de la Loi de Finances 2010 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 données chiffrées de la Loi de Finances 2010 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

valoriser les activités et les acteurs culturels du territoire 27 Mettre en place une action culturelle spécifique et innovante **** **** 11 Favoriser la mixité sociale et la mixité habitats/activités S 30 Maintenir et développer l’artisanat, le commerce et les services de proximité 31 Encourager les entreprises à progresser vers une gestion environnementale 32 Accompagner le développement d’une économie sociale et solidaire du Parc pour les entreprises 33 Améliorer l’attractivitéd’activités