Lysias

Et si ce que je dis n’est pas toujours compris comme mon intention de dire l’implique, toujours est-il que l’autre comprend que quelqu’un, soit un sujet, parle. C’est pour cela qu’on attribue toujours un discours à quelqu’un. Ainsi, le discours de Lysias, qui, avant d’avoir été écrit, a été dit ou plutôt qui a été écrit pour être dit. Phèdre le montre. Il veut s’entraîner à le réciter en prenant Socrate comme auditeur. Ce dernier n’est pas dupe. Quand un personnage de Marivaux parle, c’est dans l’intention

le coupable. Un autre personnage important est : Lysia Verhareine que je peux décrire de la façon suivante : Lysia Verhareine est une femme de 22 ans en tant que professeur dans la ville vient de vivre. Depuis son arrivée, tout le monde immédiatement charmé par elle, par sa beauté et la jeunesse. Parce que Lydia n'a pu trouver aucune place pour dormir, se retirer à Destinat. Un jour, ils trouvent Lysia dans sa chambre, elle s'était suicidée. C'est seulement

1917: à la guerre de mouvement a succédé a guerre de position, appelée guerre des tranchées. Résumé Le récit est centré sur trois événements: - une fillette de 10 ans aimée de tous au village est retrouvée morte, - l’arrivée et la mort de Lysia - la mort de Clémence. L’histoire commence en 1917, mais nous apprenons que le récit est reproduit 20 ans plus tard. Son structure n’est pas linéaire: une fois l’auteur parle de la Belle du Jour, une autre fois de Lydia, autre fois anticipe le

Socrate [227] Où vas-tu donc, mon cher Phèdre, et d’où viens-tu ? Phèdre De chez Lysias, fils de Céphale, Socrate, et je vais hors des murs faire une promenade. Assis depuis l’aurore, j’ai chez Lysias passé de longues heures ; et, pour obéir à Acouménos, ton ami et le mien, je me promène sur les routes : « On s’y délasse mieux, dit-il, que dans les dromes. » Socrate Il a raison, mon ami. Mais Lysias, à ce qu’il paraît, était donc en ville ? Phèdre Oui, chez Epicrate, dans cette maison

se fait assommer par un de ses grands élèves : il sera interné dans un asile d’aliénés. Et le 13 décembre 1914 arrive la nouvelle institutrice, Lysia Verhareine, une fleur. Son sourire et sa voix mélodieuse ont vite fait de séduire la population. L’appartement du Contre respire l’apocalypse. Il a tout sali, tout détruit dans sa folie. Il est décidé que Lysia logera dans la maison du parc. Le Procureur la dévore des yeux ... Martial Maire, le fou du village, lui offre des fleurs qu’elle accepte gracieusement

coefficient spécieux et trompeur. le premier discours de lysias dans phèdre s'inscrit dans un jeu complexe de dissimulations emboîtées: le discourse est déposé dans le secret de l'écriture selon la tradition du logographe; le rouleau sur lequel le discourse est écrit est dissimulé sous le manteau de phèdre; la voix de lysias se dissimule sous la voix de phèdre, lecteur du discourse. mais la plus évidente des dissimulations est celle de lysias tenant derrière cette déclaration paradoxale d'indifférence

3/ Socrate ou la vie de l’esprit par la parole Séance 2 : Platon ou la parole philosophique Séance3 le Phèdre : un dialogue déroutant 1/ Plan : une structure théâtrale Séance 3 Le prologue 1/ Les personnages présents et évoqués : Phèdre, Socrate, Lysias et sa famille, Isocrate 2/ Le cadre spatio-temporel : lieux, dates, actions. Une géographie théâtrale (Derrida 77). Séance 4 La question des mythes Intro : • mythe et philosophie • Platon décrit le crépuscule des mythes • définition du mythe selon

variété de perspectives à partir desquelles interpréter les actions de ces récits. À titre d’exemple, examinons celui construit autour des personnages d’Annette, la mère d’Omar-Jo et Lysia, sa patronne, composé de plusieurs épisodes insérés à différents moments du récit primaire.Ayant essuyé des revers financiers en Égypte, Lysia avait dû renoncer au train de vie qu’elle avait mené dans "sa somptueuse résidence [du Caire] tenue par une ribambelle de serviteurs" pour émigrer vers le Liban de ses ancêtres

langagière, en engageant tout le corps : « les amants s’attachent aux pas de ceux qu’ils aiment ». De même, parler son for intérieur peut avoir pour effet de ravir, non seulement le jugement du destinataire, mais son corps. C’est ainsi que le discours de Lysias « concernant (s)es intentions » a engendré, chez Phèdre, une « transe corybantique », comme le constate, ironique, Socrate. Ce pouvoir propre à la parole est souligné cyniquement par Dubois, l’ancien valet de Dorante, dans Les Fausses Confidences

récit, datent de bien après L’Affaire comme il la nomme. Chapitre IX Le narrateur prend le pouvoir sur le récit, il veut parler de Lysia, il laisse l’histoire là où elle et raconte son histoire donc forcement on est dans un récit intradiégetique. « Mais je veux dire autre chose avant que de raconter le Château dans ses poussières et ses ombres. Je veux parler de Lysia Verhareine, car moi aussi, je la voyais, comme tout le monde. » p.79 Chapitre X Le chapitre précédent a amener le récit à rentrer