Légalité Est Elle Toujours Juste

positions parmi les théoriciens. C’est dans cette optique que Vladimir Propp dit : « (…) on ne peut parler de l’origine d’un phénomène quel qu’il soit avant d’avoir décrit ce phénomène. » Autrement dit, l’étude des légalités formelles ou l’étude structurale prédétermine ou précède l’étude des légalités historiques ou génétiques. Si l’essentiel du présent travail reste avant tout l’étude d’un texte oral : le conte Moundang : les mauvais génies du champ de mil[1] à l’aide de la méthode structurale de Claude

au cours de la lutte, acquises dans tous les milieux, ne manquaient pas de susciter et d'inspirer ces organismes appuyés par des groupes armés » (p. 17). Ainsi les rapports entre partisan du général et partisans de l’internationale semblent ils toujours compliqués. De plus, par formation et par conviction, de Gaulle se méfie des communistes : leur idéal, leur mentalité et leur organisation lui sont étrangers. Par ailleurs, leur engagement tardif et souvent calqué sur celui de l’URSS, à partir de

“Ne pouvant faire qu’il soit forcé d’obéir à la justice on a fait qu’il soit juste d’obéir à la forcé » écrit Pascal. Il montre déjà cette ambiguïté latente dans le concept de justice, et sa relation avec le pouvoir et l’autorité. En effet, il n’y a pas encore d’accord dans la nature de la justice : est-elle l’origine du pouvoir ou la conséquence ? Est-ce que ceux qui ont du pouvoir sont justes ou est-ce qu’ils imposent leur vision de la justice parce qu’ils ont du pouvoir? Ces questionnements mettent

cas, on désigne une faculté d’accomplir certaines actions et celle-ci toute personne aura la possibilité de la défendre si on tente de la lui contester (Ex : en France, il existe une règle selon laquelle les administrés ont le droit de contester la légalité d’une décision de l’Administration, devant le juge administratif (JA). Cette règle est un principe général du droit par le Conseil d’Etat (CE), dans une décision de 1950, « Lamotte »). Toute personne en France, capable, va pouvoir ester en justice

étudié le crime au sens large, ou le fait infractionnel. Comme la constaté Durkheim le crime s’observe dans la plupart des sociétés et qu’elle que soit les périodes concernée. L’étude du crime au sens large n’est pas le monopole des juristes cela a toujours intéressé les psychologues, les sociologues, les psychiatres et de plus en plus les scientifiques . En effet, le crime en lui-même apporte deux renseignements par rapport à cette nature humaine : - le crime nous renseigne sur le coté sombre

Dans cette définition la le droit pénal n’apparait pas comme créateur mais réactif. Cette seconde définition implique aussi la croyance dans le crime en tant que tel, elle implique qu’un phénomène criminel autonome, détaché du droit pénal, qui fera juste de prendre acte de son existence, et d’apporter une réaction. Cette conception ne parait pas convaincante, car le phénomène criminelle, comme le droit pénal lui même sont frappés de relativisme, c'est-à-dire qu’il n’existe pas de phénomène criminelle

juridiquement sanctionné parce que prévoyant des mécanismes qui permettent de paralyser toute règle juridique qui, du point de vue de son contenu ou de sa procédure d’élaboration, viole le principe de la hiérarchie des normes encore appelé principe de la légalité juridique ;cette première signification de l’Etat de droit visant exclusivement le dispositif technique de son ordre juridique, on parle de conception formelle ou formaliste de l’Etat de droit. Ensuite une signification politico-idéologique, selon

cette voie, un secret désir semble étreindre le cœur de l’homme et attendre le moment où il pourra s’avancer, levant haut l’étendard d’une liberté absolue, d’une liberté sans foi, ni loi. Mais l’homme est un être retors, fait d’un bois si courbe que toujours il se soumet à l’autorité d’un autre pour mieux couver en son fond le songe inavoué d’une indépendance absolue. Or que pourrait signifier une telle absoluité ? N’est absolument libre que celui qui ne se soumet à aucune loi, ni politique, ni même

nature. La place du droit naturel peut varier selon les doctrines . Aujourd'hui la place dominante du droit est le positivisme. Beaucoup d'auteurs sont eux aussi positivismes. Il y'a quand même un rôle dérisuel du droit naturel. Le droit doit etre juste. Le danger posivisme c'est lorsqu'un état dérive ( tel que l'époque nazi, des lois étaient injustes ). Les illustrations du droit naturel sont les Droits de l'Homme ( droit voté par le Parlement, majorité du peuple ). Des lois peuvent ne pas etre

la mesure où la notion de « justice » renvoie directement à la notion de droit, comme ce qui est conforme au droit, alors la justice elle-même devient nécessairement positive : ce qui est juste, c’est alors ce qui dit le juge ; une décision juste, c’est une décision effectivement rendue par la Justice. Est juste ce qui est légal. 3) La notion de droit injuste a un sens Or on ne peut réduire la justice à ce que disent les tribunaux. S’il y a un « sens » à parler de « lois injustes », c’est que la