Légitimité De La Violence Politique

c.à.d. le constitutionnalisme dépasse un peu la constitution. En principe, une constitution se doit de recevoir les éléments fondamentaux du constitutionnalisme. -Respects des droits fondamentaux, -Organisation du pouvoir et sa limitation, -Légitimité démocratique, -Soumission des pouvoirs publics au droit. Certaines constitutions reprennent les principes généraux du constitutionnalisme, tandis que d’autres s’en écartent voire prennent des libertés avec le constitutionnalisme. La constitution

1) Ecole et violence symbolique Passeron et Bourdieu en 1970 dans La reproduction : éléments pour une théorie du système d’enseignement. Bourdieu et Passeron montrent que l’imposition des critères d’excellences scolaires se fait au moyen d’artifices qui occultent les rapports de classes et de domination. Cette notion de violence symbolique est empruntée à Max Weber. Weber a en effet définit l’état comme institution qui possède le monopole de la violence physique légitime

la pensée pol moderne, le léviathan de hobbes -hobbes et la pensée pol moderne -luc foisneau -lire hobbes Avant la lecture de Hobbes, revenir aux vecteurs -avant la lecture de hobbes, revenir aux propos essentiel du cours, l’axe de la modernité politique véhiculé par trois principaux vecteurs pol droit et histoire -modernité conçu comme basculement dans l'autonomie -le premier vecteur : pol : c’est tout ce qui tourne autour de la question de la naissance de l’état moderne et de l’autonomisation de

veille, le nombre de censeurs s'étant considérablement multiplié entre la fin du XVIIe siècle et 1750. C'est ce à quoi nous tenterons de répondre en analysant le caractère convaincant de ce texte, puis en confrontant la notion d'autorité à celle de la violence pour enfin conclure que non seulement ce texte est audacieux mais aussi dangereux. Plan détaillé : Un texte convaincant A) Nature opposé à autorité Ligne 1 : '' Aucun '' est un adjectif indéfini qui traduit

l’état de guerre » de JJ-ROUSSEAU Le constat fait est qu’il y a un écart entre ce que nous disent les livres de droits et de morales avec la réalité. L’ordre politique, social et civil est présenté comme idéiques mais il y un écart énorme avec la réalité. Les rapports entre les Etats sont des rapports de violence et de guerre. Les politiques intérieurs ou extérieurs sont en total décalage avec « les discours insinuants » des moralistes. Le réel est la barbarie. Le barbare est alors le philosophe

I. Pratiques politiques et culturelles A. Quelques chiffres • Conclusions et pistes de réflexion : • Les pratiques culturelles sont marquées sociologiquement • Comment expliquer qu’il n’y ait pas de corrélation entre le coût d’accès à une activité culturelle et le revenu ? • Pourquoi les pratiques culturelles sont considérées les plus « nobles » ou légitimes sont-elles consommées en majorité par les riches ? B. L’échec des politiques culturelles • Modèle de politiques de démocratisation

------------------------------------------------- Sciences politiques S2 Introduction : présentation de la science politique Présenter ce que l'on appelle science politique, c'est d'abord lever deux ambiguïtés assez évidentes à savoir que cette dernière n'est pas une façon politique de faire de la science. Cela peut sembler évident, tautologique. Plus important encore la science politique ne doit pas être comprise comme étant l'apprentissage de la politique. Ce n'est pas parce on sait faire de la science politique qu'on peut faire

besoin de l’autre : le mandant ou le mandataire ? Qui assure la légitimité de l’existence de l’autre : le délégué de ceux qu’il représente ou les mandants de leur plénipontentaire ? Plan. 1. La délégation et la représentation comme des formes de la domination. Les dominants et les dominés. 2. Le travail de la délégation et de la représentation : « Il faut toujours risquer d’aliénation politique pour échapper à l’aliénation politique » 2.1. L’auto-consécration du mandataire. 2.2. Double jeu/je

L’Etat est la seule personne à avoir le droit légitime d’user de violence, et cela dans le but d’éviter toute violence. Cette phrase au premier abord paradoxale renvoie à différentes thèses. Selon les auteurs contractualistes, de Hobbes à Rousseau, l’Etat, en tant que qu’entité représentant une nation sur laquelle elle exerce un pouvoir suprême, serait précisément l’institution qui permettrait d’éradiquer la violence naturelle au sein de chaque communauté. Selon d’autres, comme Proudhon, l’Etat

SOCIOLOGIE AU MIROIR DE LA VIOLENCE par Jean-Marc REMY Rédacteurs Autres articles ? "Pour qu'il y ait société, il faut que les gens posent les lances" (Marcel MAUSS). A la vision candide du "bon sauvage", l'expérience de la vie et de l'histoire oppose cette évidence : "l'homme est un loup pour l'homme". La formule est d'un auteur comique de l'Antiquité romaine... FREUD ne démentira pas - qui a consacré sa vie à l'exploration de ces obscures "machines désirantes" que sont