Légitimité Des Syndicats Représentatifs

royaume le Prince doit légitimer son autorité. Il faut donc justifier ce pouvoir en le légitimant. Quelle légitimité peut avoir le pouvoir? Weber établit une distinction tout à fait traditionnelle entre la légitimité traditionnelle (légitime: juste par rapport à ce que les choses doivent être), légitimité charismatique et la légitimité rationnelle et démocratique (fondement de la légitimité démocratique). Dans le premier cas on obéit à son Prince car cela a toujours été comme ça (Victor Hugo: "Les

éléments du régime parlementaire * Les formes du régime parlementaire II) République et/ou Démocratie? A) Les principes d'une démocratie libérale 1°) le principe de légitimité: une légitimité rationnelle démocratique a) La légitimité traditionnelle b)La légitimité charismatique c) La légitimité démocratique et rationnelle 2°) la structure des institutions: une démocratie pluraliste 3°) le système des partis: le multipartisme 4°) la forme et le rôle de l’Etat: un Etat impartial

peut faire appel à la Cour Constitutionnelle pour trancher ex : la taxe carbone déclarée anti constitutionnel par la Cour constitutionnelle. Son pouvoir est donc LEGAL (Constitution) et LEGITIME (car les citoyens approuvent la constitution) La LEGITIMITé implique donc l’obéissance des citoyens au pouvoir. *b)Etat et NATION : Nation vient du latin Nascere : Naître LA nation c’est une communauté culturelle (une langue et culture commune- conception allemande) et élective (volonté de vivre ensemble

variable dans le temps et dans l’espace comme l’analyse des politiques publiques le montre bien. Par exemple, la culture ne fait pas véritablement l’objet de politiques publiques aux EtatsUnis alors que c’est le cas historiquement en France où la légitimité de l’intervention de l’État dans ce domaine est ancienne (création d’un ministère en 1959). L’environnement devient une question « politique » et est inscrit à l’ordre du jour des problèmes politiques légitimes (l’agenda) dans les années 1970 alors

la place des corps intermédiaires dans nos institutions libérales », qu'il s'agissait d'« accepter que les légitimités politiques traditionnelles soient concurrencées par d'autres acteurs, que les schémas unitaires s'estomp[aient] quelque peu devant la poussée d'un pluralisme juridico-social  » (21) . À notre sens, ce débat n'est pas relancé. Les questions de la qualité et de la légitimité de cette « Assemblée- charnière » (22) , représentant des groupes d'intérêts, qui pourrait concurrencer

salariés et à l’employeur. Cette analyse a été largement combattue par des groupements sociaux opposés. Certains employeurs et syndicats d’employeur étaient opposés à cette thèse car ils voient d’un mauvais œil l’association des salariés au fonctionnement de l’entreprise. Parallèlement, certains syndicats de salarié sont également opposés car, au regard de l’idéologie de ces syndicats, l’entreprise ne peut être qu’un lieu antagoniste. Néanmoins, la jurisprudence ne manque pas de s’y référer donc elle va

des autorités politiques permanentes. Les sociétés lignagères. Décrit par Evans-Pritchard, dans son étude classique sur les Nuer, ce système politique implique la réunion de plusieurs groupes familiaux, au sein desquels les aînés possèdent une légitimité particulière, qui les rend aptes à dénouer un conflit. Les sociétés à notables charismatiques. Ici, le pouvoir est représenté ponctuellement par quelques personnalités reconnues pour leurs qualités morales ou leurs attributs matériels. Toutefois

contraignant initial et global. Il est d’abord contraignant car le pouvoir implique la faculté d’obliger autrui à agir selon ses désirs. Ce pouvoir est contraignant même s’il existe des ressorts psychologique : le poids de la tradition, la croyance en la légitimité des gouvernants, ou encore le sentiment de l’impossibilité ou l’inutilité de renverser l’ordre établi. Mais ces éléments psychologiques ne sont nullement exclusifs. La coercition effective ou potentiel se rajoute toujours et nécessairement à ces

Problématique : Qui a plus besoin de l’autre : le mandant ou le mandataire ? Qui assure la légitimité de l’existence de l’autre : le délégué de ceux qu’il représente ou les mandants de leur plénipontentaire ? Plan. 1. La délégation et la représentation comme des formes de la domination. Les dominants et les dominés. 2. Le travail de la délégation et de la représentation : « Il faut toujours risquer d’aliénation politique pour échapper à l’aliénation politique » 2.1. L’auto-consécration du

matérielles ? Comment les acteurs s’organisent-ils pour faire aboutir leurs revendications ? La classe ouvrière est-t-elle toujours la classe qui est au cœur des conflits ? Quel est le rôle des syndicats dans la mobilisation et l’aboutissement du conflit ? Existe-t-il d’autres types d’organisation que les syndicats ? La grève est-elle le moyen le plus efficace pour aboutir ? 2. Dans les sociétés démocratiques, les conflits modifient les rapports sociaux initiaux. Le conflit est producteur de changement