Légitimité Du Roi

scientisme est une foi dans le progrès technologique qui doit permette de régler tous les problèmes des hommes ; les problèmes techniques, les problèmes de santé mais aussi les problèmes moraux. Dès lors, la religion et la philosophie même, perdent leur légitimité puisque la science est sensée apporter les réponses aux questions qu’ils posent. Le XXème siècle va démentir cette foi scientiste. Il a démontré que, si la science peut amener le meilleur, elle peut aussi amener le pire : la bombe atomique, l’extermination

appelée Constitution Sénatoriale qui rétablit la monarchie, constitutionnel au profit de Louis XVIII. En effet, Louis XVIII étant désigné Roi des Français, mais il ne sera roi que par souveraineté nationale car c'était le peuple qui appelé librement au trône Louis XVIII. La constitution devait être accepté par le peuple, et Louis XVIII ne serais proclamé roi des français qu'après avoir juré d'accepter la constitution. Sous ses condition Louis XVIII, refusa se projet de constitution. A partir de

Histoire des institutions politiques, séance 6 : « la monarchie contestée : les monarchomaques et les guerres de religions ». Dissertation : « est-il permis de tuer le roi ? » A partir de 1562, en France les catholiques s’opposent aux protestants dans des guerres civiles appelées « guerres de religions ». Ces guerres vont donner lieu à une abondante littérature anti-absolutiste, portée par des auteurs « monarchomaques ». Initialement, la littérature monarchomaque est celle de penseurs calvinistes

Louis-Philippe : roi des « barricades » ou roi « bourgeois » ? Dans l’imaginaire national, Louis-Philippe figure tout au plus au rang de poire. Qu’elle soit molle, gâtée ou véreuse, toutes les déclinaisons en ont été données par le crayon acerbe des caricaturistes de son temps. Or la violence de cette charge révèle au fond toute la nouveauté de la monarchie de Juillet : née des barricades, elle a elle-même crée les conditions de sa propre critique. A ce titre, Louis-Philippe 1er (1830-1848) occupe

siècle, apparaît l’idée que le roi serait, dans les limites de son royaume, le titulaire d’un pouvoir indépendant et supérieur à tous le autres pouvoirs. C’est cet objectif que les légistes royaux vont s’employer à faire triompher en diffusant une sentence appelée à gagner la postérité : « le roi est empereur en son royaume », déliant ainsi le roi de France en tant que sujet de l’empereur. A cette lutte externe s’ajoute une lutte au sein des royaumes opposant le roi aux différents seigneurs féodaux

afin d’accéder au pouvoir. Il est soutenu par l’aristocratie ainsi que par l’Eglise. La dynastie Carolingiennes débute ainsi. Sous cette dynastie, on tire une très grande importance du sacre, car c’est par celle-ci que le roi obtient sa légitimité. En effet, celle-ci fait du roi le représentant de dieu sur terre. On parle alors d’une théocratie royale. En 800 le fils de Pépin le Bref, Charlemagne, accède au trône entant que Empereur. Il possède une conception romaine du pouvoir, en effet, l’Empereur

Face aux théories en présence, les constituants optèrent pour la souveraineté nationale et choisirent d’appliquer strictement le principe de séparation des pouvoirs. La nation sera donc représentée par des organes distincts et indépendants. Le Roi Louis XVI exerce ainsi d’un côté le « Pouvoir exécutif suprême » : - Il peut nommer et révoquer les ministres, - Il est le chef de l’administration, - Il est le chef de l’armée, - Il maintient l’ordre public, - Il peut nommer les ambassadeurs

militairement et financièrement le pape. b) La mise en place de la dynastie carolingienne et la quête de légitimité En 751 le maire du palais Pépin le Bref se fait élire roi et pour obtenir une légitimité il se fait sacré par les évêques. Le pape Étienne 2 menacé par les lombards décide de venir solliciter l’aide du roi Pépin. Le pape sacre un seconde fois Pépin en échange de son aide. Le roi fait deux expéditions en Italie et remet au pape 22 villes formant avec Rome les états pontificaux.c) Les

de territoire (l'etat fais il seul tout les regles) Legitimité: N'est pas une notion juridique exprime l'adhesion sur le territoire (un estado es legal por que lo asi lo deciden ellos mismos) Normalement legalite et la legitimite sont ensmble mais pas toujours. Max Weber: Il y a trois sens de la legitimite: La premier ... La deuxieme se la traditionel qui est base en l'histoire et la tradition. Et la troisieme se la legitimite juridique que lié sur le concept de legalité, une pouvoir

d'Etat. En conséquence, on assiste à un fractionnement de l'Europe chrétienne. Au XVIème siècle, l’État moderne est caractérisé par des frontières délimitées où vit un peuple soumis à un pouvoir politique qui est institutionnalisé, incarné par un Roi souverain. L’État est composé d'un territoire, d'un peuple ainsi que d'un gouvernement. Avec l'apparition de l’État moderne, on retrouve la tradition de la cité grecque d'où l'apparition du droit constitutionnel résultat de conflits et de réflexion