Légitimité Du Roi

populaires • Le chef, seigneur ou roi - une personne physique o qui exerce le pouvoir dans son intérêt o il fait payer ses services (banalités), sa justice, sa protection (« aide » pour la guerre) - son autorité disparaît avec sa personne o peut rester dans la famille : transmis par la succession. • Fondement - la force, le chef est un guerrier - la famille, un père (représente 1er forme d’autorité) - la religion : le roi est sacré (façon d’apporter une légitimité, le pouvoir est sur terre car

(autorité) d’un pouvoir d’influence (suggestion d’un comportement). L’accès à des moyens d’influence diversifié nécessite des ressources de pouvoir ; cela suppose qu’un certain capital soit acquis (social, économique, culturel, etc.) La question de la légitimité du pouvoir se pose ; elle peut être acquise de manières diverses : • par la tradition : les ancêtres ont transmis le pouvoir, être le reflet des ancêtres ; • par la rationalité bien que les postulats puissent être différents. Il est important de

il s'agit donc d'un essai. (Melina) Son implication est d'ailleurs montrée par l'utilisation du pronom personnel "je". (Sofiane) La Bruyère livre ici un texte structuré : de la ligne 1 à 5 il formule la thèse "Le peuple est aussi important pour le Roi qu'il l'est pour eux", de la ligne 5 à 9 il argumente afin de soutenir sa thèse et appuie cet argument avec deux gradations lignes 5-6 "du respect, des secours, des services, de l'obéissance, de la dépendance" et lignes 8-9 "obligations indispensables

l’histoire, la littérature romanesque, l’iconographie, les rituels monarchiques publics, la vie de cour, etc. Mais, cette exaltation même expose et fragilise la figure du prince. Sur le plan personnel, ses mœurs peuvent être critiquées, sa légitimité remise en cause ; la dénonciation du tyran et de l’usurpateur sont le revers de la célébration du bon prince. Au plan politique, son gouvernement (regimen) est également soumis à de multiples formes de contestations : face aux « abus » du « mauvais

cette ville, et non pour le roi. C’est une localisation de l’impôt, et le roi n’a plus autant de ressource qu’auparavant. Cette dégradation continue du système conduit à une diminution des ressources du roi. Qui est d’autant plus dommageable qu’au 7è, après le règne de Dagobert il n’y a plus de conquête extérieur, il n’y a plus de butin et les ressources du roi n’augmentent plus, elles diminuent. Pour entretenir la fidélité de ces fidèles il est nécessaire que le roi leur fasse des cadeaux, ils ne

fonctionnement d'un régime assez autoritaire. Certes, il ne s'agit pas de la Corée du Nord ni de la Lybie, mais le pouvoir est exercé par un seul homme, le roi, assisté de conseillers, plus ou moins influents et éclairés. On peut critiquer le gouvernement, les parlementaires, les élus locaux et les préfets, mais c'est pour mieux interdire toute critique du roi ! Le roi règne et gouverne seul. Au terme de la constitution, il est le chef de l'Etat, des armées et des croyants. Ainsi, en tant que commandeurs des

d’éviter tout abus de pouvoir comme c’est le cas en Turquie qui a un régime présidentiel ou le président Recep Tayyip Erdoğan a récemment violé la Constitution à de multiples reprises. Le Chef d’état est la fonction d’une personne censée incarner la légitimité d’un Etat. Ses fonctions varient profondément selon le régime et le système politique dans lequel il est mis en place. Un régime parlementaire est un régime politique constitutionnel marqué par la proéminence du parlement et caractérisé par un partage

autorités bénéficiant d’une reconnaissance du droit à gouverner. Cette reconnaissance repose aujourd’hui essentiellement sur la participation du peuple, notamment au cours des élections dont les modalités sont standardisées. SECTION I : LE CHOIX DE LA LÉGITIMITÉ DÉMOCRATIQUE §1 : La justification politique de l’autorité publique Le pouvoir politique est nécessaire. Il doit être légitime ; il peut être juridiquement encadré ; il devrait être démocratique. A/ Un pouvoir politique nécessaire et légitime

Après la Révolution française qui avait conduit à la condamnation à mort du roi Louis XVI, et le règne de Napoléon Bonaparte, les États européens se sont mis d’accord pour restaurer la monarchie en France. Louis XVIII, frère de Louis XVI, monte alors sur le trône. Avec la Charte constitutionnelle de 1814, le roi adopte dorénavant les contraintes d’une Constitution écrite : conçue comme un acte concédé aux sujets du roi. Le 16 septembre 1824, il meurt. Louis XVIII voit sa succession assurée par

Le sacre du Roi Le lien entre Dieu et le roi se manifeste par la cérémonie du sacre. Le sacre ne fait pas le roi, mais accroît sa légitimité d'une dimension religieuse. "_Je t’oins pour la royauté de l’huile _sanctifiée, au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit". Ainsi s'adressait l'archevêque de Reims au roi qu'il sacrait. Le roi obtient donc le statut de libérateur et rédempteur envoyé par Dieu. Le premier sacre de France est celui du maire du Palais, Pépin le Bref, qui fut sacré en