Légitimité Et Souveraineté De Napoléon Bonaparte

évènements sont inédits ou non De mieux comprendre les choix politiques et institutionnels sous la Ve république (ex: Crainte d'un pouvoir exécutif et personnel trop fort aux mains d'un seul homme concernant le président: hérité du coup d'Etat de Napoléon III en 1851)   Comment la science politique utilise le matériaux historique pour nourrir les problématiques actuelles ?   Vie politique (définition): Le terme politique est polysémique (étymologie: polis=cité). C'est la façon dont la cité est gouvernée

1848 fait partie d’un mouvement appelé : « le printemps des peuples » (printemps : tentative multiforme qui a plusieurs significations). L’Europe n’a pas oublié l’héritage de la révolution française. Au congrès de vienne, les monarques vainqueurs de Napoléon 1er restaurent la monarchie sans prendre compte des aspirations nationales : * Pologne * L’Autriche-Hongrie : Slaves, Autrichiens, Hongrois, Croates, Serbes. * Allemagne : Metternich, qui est alors chancelier de l’Allemagne substitue

2 élection se feront au suffrage universelle dont on attend beaucoup. A) Le formidable quiproquo : C’est le terme qu’a employé Victor Hugo qui a voulut désigné Louis Napo Bonaparte. Le choix des électeur va se porter sur LN Bonaparte. Alors qu’il y avait d’autre prétendant comme Lamartine. Ce candidat ( LN Bonaparte )va devancé tout ses candidat de manière impressionnante, tout d’abor car il a un nom connu de tous, ce nom évoque a tous des souvenir de grandeur pour la France, d’ordre pour l’intérieur

qu’il faut faire confiance en la loi de l’état pour organiser la société, d’où le code civil (1804). Il y a une réduction du droit à la loi, c’est le légalisme. On ne parle plus de droit naturel. Demolombe : n’enseigne pas le code civil mais le code napoléon. Stendal : le code civil est bien écrit, il est complet, il pourvoi à tout, grâce à lui on peut tout résoudre. Mais cette réduction du droit à la loi est le fruit des convictions de Hobbes ? Le légalisme est il du positivisme ? Non car il y a une

emplois publics. La propriété (article 17). La déclaration des droits de l'homme reconnait la sureté. - La déclaration consacre les nouveaux principes fondamentaux de cette nouvelle société, la souveraineté nationale remplace la souveraineté du roi, par ce biais, les constituants restituent la souveraineté à la nation et l'enlève au roi. 2. La vie politique sous la constituante. La monarchie constitutionnelle n'a qu'une seule chambre, votée le 10 septembre 1790. Le roi a un droit de veto et

la révolution les Juifs et les protestants avaient été reconnaissant envers l’état français car c’était le 1er à les reconnaitre citoyens au mm niveau que les autres), la création des départements et des communes, l’institution préfectorale avec Napoléon. PARTIE 1 : La révolution française et ses prolongements de 1789 à 1815. La révolution remet en cause un millénaire d’histoire institutionnelle et son impact est considérable car elle ne signifie pas seulement la disparition de l’ancien régime

république. Cette première constitution, écrite sous l'égide de Jean-Jacques Rousseau se veut démocratique, respectant la souveraineté du peuple, lui permettant de s'exprimer par le biais du référendum. Le référendum devient la voix du peuple. Il va ensuite être réutilisé sous le Directoire qui durera de 1795, succédant à la première république, à 1799, le coups d'État de Napoléon. A l'instar de la première république le référendum va être utilisé pour l'adoption de la constitution, la constitution

souveraine et responsable de la désignation de son président de la république, élu par le suffrage universel masculin pour les plus de 21 ans, ainsi que de l’élection de son corps législatif. L’article 1 de la constitution énonce en effet que « La souveraineté réside dans l’universalité des citoyens français ». Avec l’abolition du cens, la démocratie s’instaure un peu plus, bien que les femmes n’aient pas le droit de vote. Le suffrage universel ne sera plus jamais remis en question à partir de 1848.

car il s’était soldé le 2 décembre 1851 par le coup d’état de Louis-Napoléon Bonaparte qui avait entraîné la chute de la IIe République. En effet, ce dernier, élu président de la République en décembre 1848 pour un mandat de quatre ans non renouvelable, souhaitait réviser la constitution afin de pouvoir se représenter à cette élection, alors que les textes interdisaient une réélection immédiate. Or, Louis-Napoléon Bonaparte ne diposait pas de la majorité, nécessaire à la réalisation de son projet

ministre et des présidents des assemblées, prononcer la dissolution de l'Assemblée nationale. Il ne peut être procédé à une nouvelle dissolution dans l'année qui suit la première. Dans cette perspective, la constitution a aussi accru la légitimité du président de la République en modifiant le régime de son élection par rapport aux deux Républiques précédentes. Le chef de l’État devait ainsi être élu, non plus par les seuls parlementaires, mais par un collège électoral élargi aux représentants