Légèreté Et Le Rire

le sujet : Tartuffe de Molière ? Ubu roi de Jarry ? Ton sujet est typique puisqu'il t'est demandé de réfléchir sur une expression paradoxale : un débat sérieux peut-il s'accommoder du rire ? Le siècle classique (hormis Molière) a condamné Rabelais pour mauvais goût. Dans le Nom de la rose d'Umberto Eco, le rire est jugé satanique… En contrepartie, si Voltaire est encore lu, il le doit plus à l'irrévérence et à la fantaisie de ses contes et romans qu'à ses traités (alors qu'il aurait voulu la gloire

Héritier de la farce populaire, de la comédie italienne, des parades, héritier de Molière et de Marivaux, Beaumarchais a concentré dans cette pièce unique toutes les nuances du rire et du sourire, toutes les ressources de l’esprit. Rit-on des maîtres ou des valets ? Qui protège et porte la gaieté de la pièce ? Si le rire est « le propre de l’homme », comme l’assurait Rabelais, il est ici surtout le propre des valets. Il est leur force, leur arme, leur privilège. CHAPITRE 1 : NOUS AUTRES FEMMES…

AM Rire et politique Le rire constitue une qualité essentielle de l’homme libre mettant en avant sa capacité à communiquer, en cela, il en est caractéristique et tend à être contrôlé par ceux qui en redoutent les excès ; les politiques. Alors, dans notre pays, le rire est-il totalement libre ou fait-il l’objet d’un contrôle de la scène politique ? Nous nous intéresserons donc au constat dressé par les auteurs de ce corpus sur le lien existant entre rire et politique, puis, nous verrons le

sur le droit de rire de tout. Le premier document est un article extrait de magazine Label France n°56, intitulé "Peut on rire de tout" écrit par Pierre Siankowski, publié en 2004. Selon lui, le droit de rire est garanti par la constitution française c'est la liberté d'expression. Cependant le rire doit respecter  certaines limites. Le rire est soumis à des pressions c'est pourquoi il doit être utilisé avec subtilité par les humoristes à la recherche d'un humour universel. Le rire a évolué à travers

interprété de deux façons : l’homonyme « ailes », celles d’un oiseau, d’un ange renvoyant alors vers la légèreté, la volatilité de la jeune fille, ou bien le pronom sujet « elle » qui disparaît dans le fil du texte et montre alors une certaine immatérialité. Nous pouvons donc distinguer dans la totalité du passage évalué une absence de sujet décrivant une fois de plus l’immatérialité, la légèreté ainsi que la frivolité du protagoniste, la rapidité et la performance de celui-ci sont traduites par des

a le visage enfariné. Dans ce poème, Pierrot, habille, saute avec légèreté l'obstacle, peut être à cause de la dentale [d] qui lui donne de l'élan. - Au contraire, Léandre, semble, lui, alourdit par son épithète homérique, Léandre le sot est le type même du jeune amoureux enrubanné. Il est sot car l'amour rend bête. -> Pierrot et Léandre sont caractérisés par des mots de la même sonorité "sot" et "saut" donnant de la légèreté pour l'un, alourdissant l'autre. - Cassandre incarne un vieillard

SYNTHESE : L’humour et le rire sont depuis toujours l’expression de la joie. Dans un monde en pleine crise, en proie aux doutes, il fait plus que jamais partie du quotidien tant il nous aide à décompresser. Quatre documents traitent de différents aspects du rire. Dans son article « Peut-on rire de tout ? » paru dans le magazine Label France en 2004, Pierre Siankowski pose directement la question et analyse les conditions dans lesquelles on peut rire aisément sans peine de poursuites judiciaires

En littérature, le rire est une émotion souvent utilisée pour faire part au lecteur de bon nombre de sujets et lui permettre d’être plus enclin à suivre l’argumentation de l’auteur. Ainsi, ce dernier peut essayer de le convaincre de ce point de vue, mais faire rire est-il le meilleur moyen de convaincre le lecteur ? Afin de répondre à cela, dans un premier temps nous verrons que le rire est le meilleur moyen de convaincre ; puis, dans un second temps, nous nous interrogerons sur pourquoi ce n’est

« On peut rire de tout mais pas avec tout le monde ? » (Pierre Desproges) Le rire se définit comme un phénomène naturel du corps, qui exprime de la gaieté. Il est provoqué par une interprétation de la pensée liée à l’expérience de l’individu à propos d’une situation donnée. Que ce soit pour se détendre ou pour dédramatiser une situation, le rire décompresse. Pendant que l'on rit, le cerveau libère des endorphines ou « hormones du plaisir », une sorte de morphine naturelle dont l’action est apaisante

celui de rire, il est bien normal que l'on compte parmi les pièces les plus appréciées depuis des siècles un grand nombre de représentations comiques. Mais la détente que procure ce plaisir premier ne mérite-t-il pas une deuxième écoute, plus attentive, qui donnerai un sens plus profond à la pièce ? Nous verrons donc dans un premier temps, le rôle premier de la comédie au théâtre, à savoir faire rire son publique et le divertir. Mais, par la suite, il nous sera donné de voir que le rire n'est jamais