Maïeutique

pensées d’autrui et les siennes propres, sur la nature, sur ses observations, ses expériences. Il n’a pas besoin qu’on lui inculque quoi que ce soit, la vérité est en lui-même et il a utilisé sa raison, son intelligence pour la trouver ; c’est la maïeutique (concept de Socrate). Ainsi l’homme est totalement indépendant dans sa pensée et dans sa recherche de vérité : par l’acquisition même de certaines vérité. Par exemple, celui qui aura compris en observant les juifs, durant la seconde guerre mondiale

pensent en fonction de la nature contrairement à ce que la loi démontre, puisque selon lui les faibles agissent ou pensent en respectant les lois. De plus, Socrate, quant à Calliclès ne sait pas nécessairement ce qui est juste, mais il utilise la maïeutique pour interroger la personne qui est devant lui afin de lui faire accoucher la vérité. Socrate ne dit pas détenir la vérité, mais il est en mesure de remettre en question les certitudes de son adversaire. En effet, à plusieurs reprises, il remet

valent, Socrate avait inventé un remède : la question philosophique. Forme de questionnement destinée à montrer à ses interlocuteurs que ce qu’ils croient savoir, ils ne le savent pas. Ils n’ont que des opinions (=savoir non fondé, préjugé). [Cf. maïeutique p4, cahier] Socrate posait donc sans arrêt la question " qu’est-ce que " (=recherche d’une définition). Exemple : qu’est-ce que la beauté? Socrate dialogue avec Hippias. [Similaire à Lachès avec l’idée de courage.] S raconte à Hippias que récemment

Subordination à la nature ( bio , animal ) 4. Un moyen non une fin ( Aristote) 5.Cultiver son âme réservé à une minorité II.Le travail transforme la nature ET l’homme 1.source de libération (Hegel) 2.source d’éducation (Rousseau + Grec maïeutique) 3.prise de conscience en soi III-Le travail = aliénation 1.morcèlement du travail (Taylor , aujourd’hui ) 2.abrutissant : mort de la conscience ( workaholics + camp de concentration ) Marx : capitalisme 3.Nietzsche : « Le travail use la

de raillerie consistant à dire le contraire de ce qu’on veut faire entendre (procédés : décalage, oxymore, antiphrase, exagération) litote : figure de rhétorique consistant à dire moins pour faire entendre plus (ex : Va, je ne te hais point.) maïeutique : méthode dialectique dont Socrate usait pour « accoucher » les esprits, c’est-à-dire pour amener ses interlocuteurs à découvrir les vérités qu’ils portaient en eux sans le savoir manichéisme : toute conception morale, toute doctrine qui oppose

toi-même ». Cette phrase est considérée comme Socratique bien qu’elle vienne en réalité des oracles de Delphes. Il est qualifié par ses disciples d’incessant questionneur, trouvant matière à réflexion dans chaque chose. Il est le fondateur de la « maïeutique » ou « art d’accoucher les esprits », visant à ouvrir l’esprit de ce que l’on pourrait aujourd’hui comparer aux patients d’un psychanalyste en leur faisant admettre leur ignorance : « je ne sais qu’une chose, c’est que je ne sais rien ».

discours du rhéteur Lysias, en effet phèdre cherche à retenir les moindres détails du discours, Socrate préfère l'apprentissage par le dialogue -Socrate parle du jeu de séduction entre les deux personnages. On retrouve dans ce jeu de séduction la maïeutique socratique -phèdre accepte de lui faire part des idées de Lysias, il avait caché le discours écrit. 4) "quittons [...] si tu avançais" -marche des deux interlocuteurs vers un lieu propice à la lecture -allusion au sens "fraicheur de l'eau"

faire émerger de nouvelles propositions ou thèses qui permettent de résoudre ou d'expliciter les contradictions. La dialectique a pris plusieurs formes au cours des siècles. Chez Socrate, la dialectique est l'art d'accoucher les esprits (la maïeutique) qui conduit l'interlocuteur à découvrir la connaissance vraie qu'il porte en lui. En jouant d'ironie, il laisse son interlocuteur s'enfermer dans ses contradictions, puis l'amène à prendre conscience de ses erreurs de jugement. Pour Platon,

ses élèves faute d’avoir posé une question problématique et contextualisée aux objectifs de la série sur la notion de « sensation » dans le cadre de la compréhension d’une situation de communication. Son cours va donc prendre la forme d’une « maïeutique », technique qui consiste à interroger une personne pour lui faire exprimer des connaissances autrement dit construire un savoir par « assistanat ». Ainsi à chaque questionnement sur la notion de « sensation », la transposition didactique de l’enseignante

assonances « EUR » exprime la nature propre de son tempérament veule et divisé (Ariettes). La parole est aussi intersubjective ; la pensée s’élabore dans le feu du dialogue. Penser, c’est parler comme lorsque Socrate utilise toutes les ressources de la maïeutique pour convaincre et séduire Phèdre. Parler, c’est utiliser des formes, des contraintes linguistiques, un vocabulaire nuancé qui affine la pensée brute. Dubois illustre parfaitement ce fait puisqu’il est passé maître dans l’usage d’un langage adapté