Maïeutique

pédagogique : Socrate veut amener son interlocuteur à trouver lui-même la vérité. Phénarète, la mère de Socrate, sage-femme, accouchait les corps ; Socrate s'en inspire et se donne la tâche d'accoucher les esprits. Cet art d'accoucher les esprits s'appelle la "maïeutique". Cet art nécessite de la part de Socrate de feindre l'ignorance, d'user d'ironie pour que l'interlocuteur fasse par lui-même, dans un jeu de questions-réponses, un parcours dialectique vers la connaissance. Epictèterésume de cette manière la méthode

(notamment avec Nietzsche= quintessence du romantisme all, de la philo romantique all | |«l’Univers» |allégorie + métonymie |pour ne pas nommer Dieu >> innomable >> la raison a triomphé or il faut la trinité (coeur sens raison) | |v.5 à v.10 |part maïeutique ( le poète est là pour nous initier aux secrets du monde) |>> romantisme all >> Rimbaud = dimension prophétique | |INTERTEXT’ | |«Le poète n’est pas tant celui qui est inspiré mais celui qui inspire» Paul Eluard | |2e quatrain | |GDN croit en

pédagogique : Socrate veut amener son interlocuteur à trouver lui-même la vérité. Phénarète, la mère de Socrate, sage-femme, accouchait les corps ; Socrate s'en inspire et se donne la tâche d'accoucher les esprits. Cet art d'accoucher les esprits s'appelle la "maïeutique". Cet art nécessite de la part de Socrate de feindre l'ignorance, d'user d'ironie pour que l'interlocuteur fasse par lui-même, dans un jeu de questions-réponses, un parcours dialectique vers la connaissance. Epictète résume de cette manière la méthode

dans la philosophie : héroïque, Athénien modeste, mère (sage femme). Il était très sage et très laid ce qui est un paradoxe pour les athénien. Il va développer une philosophie de question : accoucher les esprits c’est la maïeutique. Socrate faisait un questionnement rationnel, mais il était en contradiction avec le système athénien, PB mythe/parole. IL sera doc condamné à mort et acceptera cette sentence et s’empoisonnera. Il va fonder la philosophie. Le personnage de Socrate

le plus sage. C’est à cause de cela qu’il parvient, tout au long de sa vie, à montrer l’ignorance chez ceux qui se croyaient sages (les poètes, les hommes d’état et les artisans) car ces derniers croyaient tout savoir. Cette technique se nomme la maïeutique et, comparé à la même technique en médecine, elle sert aux hommes à accoucher de nouvelles idées. Aussi, il sait faire la différence entre une opinion et un fait et remarque que ce n’est pas le cas chez la majorité de ces gens. L’opinion est discutable

contrairement à la médecine qui permet l’adaptation au monde. I) La philosophie comme autre regard sur le monde Un des premiers philosophes à avoir initier le lien entre la médecine et la philosophie est SOCRATE. On retient de lui la maïeutique ; il s’est inspiré de sa mère sage-femme, « j’accouche les esprits ». Socrate n’affronte pas la personne de front. En effet, il va voir son interlocuteur, demande ce qu’il pense et met la personne vers sa propre contradiction qu’elle remarque d’elle-même

Platon. Présentation de Platon -472/-347, c'est un athénien. Tte l'œuvre de Platon est un hommage rendu à Socrate qui est le plus sage (le plus savant) des hommes. Socrate est toujours dans l'enquête en compagnie de jeune gens, il pratiquait la maïeutique (art d'accoucher les esprits), raisonnement par induction. -399 : Procès de Socrate, 3chefs d'accusation -corruption de la jeunesse; -introduction de nouveaux dieux dans la cité (le démon : o daimonos) -de ne pas respecter la culture religieuse

la réflexion. Il ne s’agit pas d’affirmer et de construire une théorie ou un modèle social, mais de conduire le lecteur à remettre en cause le fonctionnement de la société européenne. Grâce aux dialogues, Diderot retrouve de façon implicite la maïeutique socratique. Le texte du Supplément doit faire débat entre les lecteurs comme entre A et B. C’est la raison pour laquelle la cohérence des discours n’est pas recherchée. Il n’y a pas de système de vérité chez Diderot. Le discours du vieillard et

Esope et Marc-Aurèle, projection dans le texte d’un destinataire lettré. En bon classique, La Fontaine s’abrite derrière des auteurs antiques et puisent ses exemples dans sa culture : arguments d’autorité : Socrate, philosophe qui pratique la maïeutique, l’art du questionnement, dont Platon reprend l’enseignement dans ses dialogues et qui avait la réputation d’être laid. Esope : fabuliste grec d’origine esclave. Marc Aurèle, empereur, philosophe du stoïcisme, présenté comme la source de l’anecdote

perceptions personnelles. Par ailleurs, la psychanalyse de Freud, en utilisant le langage, permet par la « libre » parole des patients de se dévoiler eux-mêmes. C’est d’ailleurs à peu près le même procédé qu’utilisait Socrate avec « l’art de la maïeutique » où la connaissance de soi devait accoucher par le langage. Socrate était ainsi « l’accoucheur des âmes ». Pour conclure, on se méprend en affirmant que le fait d’être conscient suffit pour se connaître. En effet, il faudrait ajouter la contribution