Maïeutique

dans un tonneau Public ≠ privé KunikosDoxographe Freud : « les théories sexuelles infantiles » Stoïcien dans le A à Z : Stoïque Stoïcisme 2689233907700Le livre « épithète » (Hatier philosophie) Jeudi 08 septembre Aller voir dans le A à Z « maïeutique » 29718031750C 00C Socrate à une mère sage-femme 30035572390C 00C Socrate accouche= générosité Plus on vieillit, plus on est moche Est-ce que c’est beau de bégayer Le technicien de la parole Sophiste 27590838118C 00C Ressemble

pour faire voir la pensée contenue dans l’âme (par la réfutation, les questions, les réponses ou encore l’ironie), dans le but de montrer ce que l’on ne sait pas, d’extérioriser la vérité que chaque homme contient dans son âme –ce qu’on appelle maïeutique-, on peut alors croire que la pensée est antérieur à la parole. Il est d’ailleurs bien vrai qu’il nous arrive souvent de chercher des mots avant de parler, mais cela ne signifie pas que la pensée existe hors des mots, car à y regarder de plus près

Aristophane (poète comique) qui écrivait des pièces des théatres dont Les Nuées où socrate est critiquer, athéisme les parents de Socrate: père artisan, mère sage femme. socrate fait svt ref à sa mère, il se dit accoucheur d'esprit. méthode: maïeutique(= l'art d'accoucher les esprits, à force de poser des questions, l'interlocuteur pouvait déboucher une idée interessante) et ironie(= l'art d'interroger en faitant de ne pas savoir) le procès de Socrate: il est mort en -399 suite à son procès

D’abord, la notion de doute est présentée comme une notion évidente dans l’art de la réflexion ; ce doute nous incite à nous poser des questions sur le monde dans lequel nous évoluons, en laissant de coté la docsa et les préjugés telle la notion de maïeutique de Socrate (l’art d’accoucher les esprits). Russell termine par insister sur le caractère superflu et optionnel d’une réponse finie et indiscutable, contrairement aux bienfaits spirituels et intellectuels de la réflexion autour d’une question. Nous

quelconque situation ne pourrait venir altérer ce jugement. Socrate utilise l’ironie pour faire prendre conscience aux gens qu’ils défendent parfois des positions irréfléchis de l’ordre de l’opinion ou du préjugés, ce qui est complètement l’inverse de la maïeutique que Socrate défend. L’autre point primordial à sa recherche des ces lois universelles, soit la vérité objective, est le dialogue. Socrate mise sur le dialogue, où les interlocuteurs doivent collaborer et coopérer pour faire la recherche commune

détective Columbo, Socrate ne pose pas des questions en vue d’obtenir une réponse, mais plutôt pour avoir de l’information et ainsi détruire le savoir d’autrui et démontrer la limite de la connaissance humaine. C’est ce qu'on appelle l’art de la maïeutique. De plus, il y a le daïmon de Socrate qui joue le rôle de son petit ange gardien. Son daïmon apparait seulement quand Socrate s’apprête à faire quelque chose de mal ou de prendre une mauvaise décision. Étant donné qu’il connait la limite de la connaissance

suivant : montrer (démonstration), faire faire (expérimentation) et faire dire (reformulation). Cette méthode est souvent utilisée dans les TD ou l’étudiant acquiert un savoir-faire par simple imitation. Méthode interrogative ou maïeutique L’étudiant est reconnu comme possédant des éléments de connaissance ou des représentations du contenu à acquérir. A l’aide d’un questionnement approprié, l’enseignant permet à l’étudiant de construire ses connaissances par lui-même

d’Alopèce, dème qui faisait partie de la tribu d’Antiochide. Son père, Sophronisque, était sculpteur ou tailleur de pierres, et sa mère Phénarète, sage-femme de qui il s'est sûrement, selon la tradition, inspiré dans sa méthode philosophique dite maïeutique. Socrate avait un demi-frère, Patroclès, fils du premier mari de sa mère. Sa jeunesse est mal connue. Il reçut sans doute une éducation classique, que le père était légalement tenu de donner à son fils : gymnastique, musique (chant, danse[1] , apprentissage

l'expérience ou ancré en nous, faisant partie de notre « nature »). De plus, l'idée de vérité implique, et sous-entend pour beaucoup, l'idée d'un cheminement, d'une recherche personnelle ce qu'on retrouve notamment chez Platon dans la pratique de la maïeutique (technique qui consiste à faire « accoucher les esprits » de leurs connaissances, à faire exprimer un savoir caché en soi). De là, on peut alors défendre l'idée d'une vérité personnelle (de l'ordre de l'individualité) car elle résulte d'une réflexion

Diogène Laërce dans Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres Texte 2. La sagesse, histoire racontée par Socrate à son procès. Platon, Apologie de Socrate Texte 3 La maïeutique. Platon, Théétète (150b-150d) Texte 4. La définition. Platon, Lachès, 190 Texte 5. Le mal et son origine. Platon, Ménon