Management L école Néoclassique

l’entreprise pour laquelle il travaille. Par la suite, il devient consultant et tente de diffuser ses idées dans différentes publications destinées à un public d’ingénieurs. Il est connu, entre autres, pour son ouvrage intitulé : Principles of Scientific Management paru en 1911 et publié en français chez Dunod en 1971. Son projet repose sur l’idée que le principal objectif des gestionnaires est d’assurer le maximum de prospérité aussi bien pour l’employeur que pour l’employé. Selon Taylor, le maximum de prospérité

scientifique du travail qui peut s’appliquer à tout, exemple : chaîne d’inscription pour aller à la fac. Taylor est un ingénieur mécanicien qui est entré en ouvrier et il a gravit tous les échelons. En 1911, il publie son ouvrage : Scientific Management, où l’on trouve tous les principes de l’OST (organisation scientifique du travail), ces principes peuvent même s’appliquer à un concert. Postulat : c’est l’hypothèse qu’on considère comme vraie sans chercher à la vérifier. Principe : c’est une

valeur (boursière) de la nouvelle entité doit valoir plus que la somme des valeurs des 2 E avant la fusion. Pourtant, une F&A sur 2 est un échec : les managers surestiment les gains d’une F&A et sous-estiment les couts qu’elles occasionnent (en management de K humain). C/ Pour produire des B&S, les E utilisent des facteurs et procèdent à des I 1/les E combinent des facteurs de prod, respectivement le L et K pour obtenir un certain niveau de prod La fonction de prod représente la relation qui relie

dit qu’elle apparait durant les 30 glorieuses, au début de la société de consommation. L’école de « 1910 » a voulu étudier le cheminement du produit agricole « de la fourche à la fourchette », de la ferme jusqu'au domicile du consommateur. L’autre école va dire que ce n’est pas du marketing mais de logistique. Le prof et d’autres pensent qu’Henri Ford est le premier à avoir fait du marketing, qui a fait la Ford T noire, modèle unique, qui a été un gigantesque succès, il pensait que ce modèle standardisé

production atteignent leurs limites. Alors que les physiocrates considéraient la terre comme le principal facteur créateur de valeur, l'école classique et l'école néoclassique n'ont retenu que les deux facteurs de production capital et travail, négligeant le facteur terre (l'environnement). Certes, dans certains courants néoclassiques, comme le modèle de Solow, la productivité globale des facteurs correspond à une augmentation de la productivité qui n'est pas due aux facteurs de production capital

de productivité, le taylorisme arrivait à des effets contraires => absentéisme augmentait,… Dc on a vu se dvper 1 nvle école => école des relations humaines qui ne considère + l’H comme 1 machine => on prend l’H en considération au sein de l’organisation. L’Homme peut avr des états d’âme (Fayol), 1 autre motivation que la rémunération. [On voit se dvper 1 nvle école de pensée : si on veut critiquer le modèle précédent / pr compléter le 1er modèle]. Relations humaines => critique et

France : sortir du masochisme 6- actualité et commentaires critiques 7- bibliographie complémentaire écrit par : David Pinto Année universitaire : 2003/2004 Biographie de l’auteur : Bernard Gazier, ancien élève de l ’Ecole Normale Supérieure(entré en 1970), est professeur agrégé de sciences économiques à l’université de Paris1 (Doctorat obtenu en 1979 et l’agrégation en 1983) où il est économiste du travail et spécialiste des politiques de l’emploi. Il exerce par ailleurs

classique » depuis le XVIème siècle. Le « classicisme » désigne, depuis le XIXème siècle, une réaction aux mouvements baroques, un raidissement observé en France à partir du milieu du XVIIème siècle. Á la fin du XIXème siècle, on désigne comme « néoclassique » tout ce qui s’apparente de près ou de loin à cette raideur nouvelle : l’oeuvre de Palladio (1508-1580), dont le maniérisme est fortement tempéré, aussi bien que le retour aux fondamentaux grecs, dans les pays anglo-saxons du XVIIIème siècle

Bertrand Valiorgue Professeur en Management stratégique Why firms want to be socially responsible ? Résumé Où en sommes-nous dans la compréhension de l’adoption généralisée de la notion de responsabilité sociale de l’entreprise ? Cet article est basé sur le fait que la construction d’une réponse nécessite de mieux comprendre pourquoi une entreprise voudrait devenir socialement responsable alors qu’une telle démarche est en contradiction directe avec l’objectif de maximisation du profit. Notre

par région), les directions départementales interministérielles (DDPP ou DDCSPP - directions (de la cohésion sociale et) de la protection des populations - une par département, sise au chef-lieu de département), des services à compétence nationale (école, service nationale d'enquête, informatique). La DGCCRF étant avant tout une administration de contrôle et de police économique, ses agents sont très majoritairement (2000) des enquêteurs. Il existe également plusieurs services à compétence nationale :