Marchéisation Et Desintermediation

possède le K. Thèse de Marx : le K achète les salariés en échange d’un salaire. * Financement de l’investissement Interne | Externe direct | Externe indirect | Autofinanecement (cash-flow). Marge d’autofinancement. | Marché des K = désintermédiation bancaire: long terme (action & obligation) & court terme | Intermédiation bancaire > éco d’endettement. Sur court terme = marché monnétaire < 1ans : billets de trésorie, certificat de dépots, bons du Trésor. | CF : Monnaie & financement de l’éco

forte progression des actifs mobilisés dans le total des placements des ménages et des entreprises au détriment des liquidités - la désintermédiation : déclin important de l’intermédiation des institutions financières, les capitaux disponibles sont directement orientés par les marchés vers les agents ayant un besoin de financement - la marchéisation : présence de plus en plus forte des banques sur le marché monétaire et financier - la titrisation : développement des titres négociables

financements et les placements et le remplissement des taux d’intérêt administrés par des taux déterminés sur le marché des capitaux (marchéisation) ont entraîné une profonde mutation de l’activité des établissements de crédits et ses répercutée sur la création monétaire dans son montant et ses mécanismes . la diminution relative des crédits a entraîné, sinon une désintermédiation, c’est-à-dire une baisse du rôle des établissement de crédit, tout au moins une transformation de leur activité. Viens s’ajouter

logique jusque-là première du financement de l’économie par les banques a laissé la place à une logique de marchés. Il était alors question de marchéisation de l’économie, le modèle de marché devenant le modèle prégnant dans le développement de celle-ci[3]. L’économie, qui était pour l’essentiel une économie intermédiée, a été caractérisée par une désintermédiation de plus en plus considérable. Le vœu des pouvoirs publics est de faciliter le financement par les marchés des valeurs mobilières, et non plus

ces dernières années ce mécanisme stabilisateur n’a pas pleinement joué. Les institutions financières se sont très bien adaptées à cette contrainte en innovant, en particulier en élaborant de nouveaux véhicules de titrisation. 3.1. Une énorme marchéisation des crédits risqués La technique de la titrisation n’est pas nouvelle, mais ce qui est en cause depuis 2007, c’est la titrisation de nouveaux produits de crédits, assortis de garanties elles-mêmes nouvelles. Bref, il y a à la fois permanence

financements et les placements et le remplissement des taux d’intérêt administrés par des taux déterminés sur le marché des capitaux (marchéisation) ont entraîné une profonde mutation de l’activité des établissements de crédits et ses répercutée sur la création monétaire dans son montant et ses mécanismes . la diminution relative des crédits a entraîné, sinon une désintermédiation, c’est-à-dire une baisse du rôle des établissement de crédit, tout au moins une transformation de leur activité. Viens s’ajouter

souplesse et limitait les possibilités d’accès à la profession et d’extension de l’activité de financement bancaire, par un excès de cloisonnement du marché de l’argent. 1.2. L’instauration de la loi bancaire de 1984 et le mouvement de désintermédiation lié aux réformes financières de 1985-1986 ont accompagné la rationalisation des structures du système bancaire français C’est pourquoi une grande réforme a été mise en œuvre au début des années 1980 et a donné naissance à la loi bancaire

titres des instruments négociables additionnels qui viennent compléter la panoplie des titres liquides à leur disposition (obligations, notes, etc…) La titrisation s’inscrit dans une tendance lourde de la finance au niveau mondial, celle de la «marchéisation», c’est-à-dire la tendance consistant à rendre échangeable sur les marchés des produits pour lesquels il n’existait pas traditionnellement de marchés primaire ou secondaire. Par ce biais on réalise le plus souvent un transfert total ou partiel

certains actifs, développement du segment « high yield »1 pour les entreprises « non investment grade »2). Cette « marchéisation » du crédit permet alors aux banques de diminuer leur exposition au risque crédit mais freine le développement des entreprises n’ayant pas les moyens de se financer sur les marchés. Cette tendance à la désintermédiation rejoint la volonté des banques à mettre en avant leurs activités de conseil positionnant alors banque comme une société

souscrites par les investisseurs intéresses[2]. C’est une réforme récente qui s’inspire largement de l’exemple américain, d’une évolution financière entamée dans les années soixante dix en prolongeant et accentuant le mouvement de désintermédiation qui s’inscrit dans le processus de la finance directe. En effet, la titrisation est née aux Etats unis dans les années 1960, il s’agissait de relancer le financement de l’immobilier qui se révélait inadapté en raison, d’une part,