Masaccio

Le Dit de Tianyi de Francois Cheng : un roman de l'artiste ?LE DIT DE TIANYI DE FRANÇOIS CHENG : UN ROMAN DE L'ARTISTE ? Daniel-Henri Pageaux Klincksieck | « Revue de littérature comparée » 2007/2 n° 322 | pages 223 à 233 ISSN 0035-1466 ISBN 9782252036167 DOI 10.3917/rlc.322.0223 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-de-litterature-comparee-2007-2-page-223

s'approprier ses questions et chercher un sens aux choses à partir de son propre regard. Un peu comme certains tableaux de la Renaissance montrent un espace structuré par le regard des personnages, ou comme la découverte de la perspective (avec Giotto ou Masaccio aux XIVe et XVe siècles) annonce la conception d'un monde écrit en langage mathématique. Paradoxalement, alors que la terre n'est plus le centre de l'univers, c'est l'homme lui-même qui va maintenant être valorisé comme nouveau centre. 15/ Qu'est-ce

vision de la Piéta (Christ descendu de sa croix avec la vierge qui pleure). On veut développer l’empathie pour le spectateur avec l’inscription d’un passage de la bible. Présence de la Jérusalem céleste à l’arrière-plan. Fond d’or et huile sur bois. Masaccio a fait une fresque avec un cloup en point de fuite, il s’agit du 1 er usage empirique de la perspective « la sainte trinité, la vierge st jean et les donateurs ». Le sujet c’est : le père, le fils et le saint esprit LES personnages a genoux sont

un grand architecte qui va montrer son invention au plus grand nombre. Très vite, les peintres les sculpteurs, les architectes vont créent des œuvres avec l’effet de perspective. La première œuvre a avoir été réellement terminé est la TRINITE de Masaccio en 1428. 3- LA PHILOSOPHIE HUMANISTE Au moyen âge ce qui compte réellement c’est Dieu. A la Renaissance cet élément ne change pas mais un point évolue, l’homme redevient un élément central de sa société. « L’homme est au centre de tout, le

Jeune (pt, déc, orn) Krug, Ludwig (orf, joa) Jamnitzer, Wenzel (orf) le Brodeur, Albert (tex) Limosin, Léonard (orf, cé) Lippi, Filippino (pt) Lippi, Filippo (pt) Manara, Baldassare (cé) Mantegna, Andrea (pt) Marino, Lorenzo di (pt, déc) Masaccio, Tomaso (pt) Michel-Ange, Michelangelo Buonarroti dit, (sc, pt, arch, ing, poé) Palissy, Bernard (cér, sci) Palladio, Andrea di Pietro della Gondola, dit (arch) Pollaiolo ou Pollaiuolo, Antonio di Jacopo Benci, dit Antonio del (sc, pt) Parmesan

opposition à la perspective "naturelle" de la vision humaine). Il en fait la démonstration à partir d'une expérience réalisée à Florence en 1415. Le procédé connaît immédiatement un grand succès. La fresque de la Sainte Trinité du peintre florentin Masaccio (1401-1428), offre la première œuvre picturale utilisant les règles de la perspective artificielle ou géométrique. La véritable explication mathématique et géométrique de la perspective sera réalisée par le théoricien et architecte, Léon Battista

soigneuses retouches en 1568.     L'ouvrage était préparé de loin par les exigences de la culture italienne ; il combinait avec brio la narration, les listes d'œuvres et le corps doctrinal, en établissant les trois grands paliers de croissance (Giotto, Masaccio, Léonard) de la maniera moderna culminant en Michel-Ange. C'est le modèle de l'histoire complexe, articulée par la formule biographique et orientée par la conception d'un « style idéal ». Il y eut des résistances, surtout à Venise ; il est important

des mots de vocabulaire, indiquez la particularité de l’arrière-plan dans La Joconde. Chapitre 7 • Les hommes de la Renaissance (XVe-XVIe siècles) 193 2 La Renaissance artistique : une révolution du regard 1 Dates-clés > 1425-1428 Masaccio applique les règles de la perspective mathématique dans sa fresque La Sainte Trinité, à Florence > Vers 1435 Van Eyck peint La Vierge au chancelier Rolin > 1436 Brunelleschi achève le dôme de la cathédrale de Florence > 1503-1506 Vinci peint La Joconde

L'ouvrage se présente comme une typologie des attitudes psychologiques des artistes, considérées dans leurs caractères communs depuis l'Antiquité jusqu'à la Révolution française. Parmi les tempéraments sont relevés : - l'obsession du travail chez Masaccio ou Uccello - l'oisiveté créatrice dans laquelle serait tombé Sebastiano del Piombo, selon Vasari. - l’excentricité (Piero di Cosimo, Jacopo Pontormo) - l’asthénie (Léonard) - la maniaquerie ou l’obsession (ainsi Gérard Dou était obsédé par la

suivante sont le maître de Léonard : Andrea del Verrocchio, Antonio Pollaiuolo et le sculpteur Mino da Fiesole. La jeunesse de Léonard se déroule dans une maison de Florence ornée des œuvres de ces artistes et par les contemporains de Donatello, Masaccio - dont les fresques figuratives et réalistes sont imprégnées d'émotion - et Lorenzo Ghiberti, dont les Portes du Paradis montrent la complexité des compositions, alliant travaux architecturaux et soin des détails. Piero della Francesca a fait une