Mcluhan

Microsoft Word - Exercice 1 - Assas - InfComm.docxMADI BIECHA EXERCICE 1 « Le message, c’est le médium » disait jadis, Marshall McLuhan dans son ouvrage « Pour comprendre les médias » en 1964. Marshall McLuhan considérait en effet, que la nature du medium ou canal de transmission d’un message, a plus d’importance que le contenu du message lui-même. Le véritable message ne se situerait donc pas dans le sens exprimé par l’émetteur, mais dans l’effet produit conjointement par le message et le

radio ou plus récemment internet. Ces médias sont qualifiés de médias de masse mais l’on trouve également d’autres médias tel que le cinéma, les livres, les CD, le téléphone etc. Cependant, d’autres définitions des médias sont apparues comme celle de Mcluhan dans son livre : Pour comprendre les médias. Pour lui les médias sont le prolongement de nos sens et de notre corps. Ainsi ce n’est pas seulement les médias communément admis tel que la télévision mais également tout ce qui prolonge notre être. Un

Les mass media Chauds ou froids Depuis H. M. McLuhan, on a coutume de distinguer les « médias chauds » et les « médias froids ». Les premiers fournissent au public une représentation qui se suffit à elle-même et qui, par conséquent, ne nécessite pas de participation active (la radio ou le cinéma). Les « médias froids » ne donnent que peu d’éléments au public et lui demandent une participation dans le but de compléter les blancs par lui-même. McLuhan plaçait la parole, le téléphone ou la télévision

humain Nelson Thall Alors qu'il était étudiant en Europe, McLuhan s'est aperçu que la raison pour laquelle les écoles européennes passaient constamment de la rhétorique à la logique ou à la grammaire, de l'époque de Cicéron à l'Angleterre élisabéthaine, découlait directement de l'évolution du mode de communication dominant, de l'oral au manuscrit, puis à l'imprimé. Par la suite, alors qu'il était professeur d'anglais en Amérique du Nord, McLuhan a commencé à mettre en lumière les effets de la publicité

la langue écrite et parlée(et toute la « Galaxie Gutenberg », pour reprendre l’expression de M. McLuhan), les rituels, les modèles de comportement dans les oeuvres d’art, les systèmes de concepts scientifiques, les techniques qui aident la mémoire ou la pensée, les outils qui renforcent la mobilité ou la perception humaine, etc. Tous ces outils culturels sont des « extensions de l’homme » (McLuhan, 1964), c’est-à-dire des prolongements et des amplificateurs des capacités humaines. Pour l’anthropologie

et des échanges avec d’autres utilisateurs inscrits. Aujourd'hui, plus d'un milliard d'individus sont dans le monde entier connectés et mis en réseau simultanément. Ne pourrait-on pas dire que l'expression « Village planétaire » utilisée par McLuhan pour la télévision collerait parfaitement à ce nouveau phénomène ? Le film « The social Network » retrace l'histoire du réseau social le plus populaire: Facebook à travers son controversé cofondateur Mark Zuckerberg. Il revendique plus de 350

approches de la Globalisation-Mondialisation[modifier] L'intérêt pour la “globalisation-Mondialisation ” se généralise également au cours des années 1990 : C'est la vision d'un monde qui évolue peu à peu vers le « village global » décrit par Marshall McLuhan. C'est l'influence des mouvements antimondialistes et altermondialistes, qui attirent l'attention du public sur l'ampleur et les conséquences du phénomène. Dans le monde académique et particulièrement anglophone, la popularisation du terme globalization

personnelle. De tous les auteurs des théories modernes sur les médias et leur influence, Marshall McLuhan est sans nul doute celui qui a joui de la plus grande notoriété, avant de tomber dans un oubli durable. Il est aussi le plus inclassable. Il évoque que le monde est réduit à la dimension d’un village planétaire. L’expression connaît une fortune immense. « Le message est le message.» Aux oubliettes donc, Mcluhan. La question est aujourd’hui de savoir s’il n’est pas en train de sortir du placard. De nos

qui n’épargnent ni l’un de ses seins ni son visage. Cette irrégularité perturbe l’expérience synesthésique de la perception visuelle du portrait. La synesthésie (interaction des sens) est en effet une condition naturelle de la perception. Selon McLuhan (1961), depuis la fin du 19e siècle, les artistes se sont préoccupés de l’aspect haptique, tactile et tangible des formes visuelles, que ce soit en peinture, en sculpture ou en architecture (p. 49). Dans le cas qui nous préoccupe, il s’agit en

Evolution de l’utilisation du terme « mondialisation »  « De toutes parts nous parvient l’information à vitesse accélérée, à vitesse électronique. On dirait que nous faisons tous partie (...) d’un petit village mondial » (McLuhan). Définitions de la mondialisation  La mondialisation repose d’abord et avant tout sur la mise en relation de différents ensembles géographiques. On peut donc affirmer que la mondialisation est, d’abord, l’interconnexion complexe de territoires diversifiés. (Carroué