Méritocratie

catégories les plus défavorisées. Cette légitimation de l’inégalité remet en cause le principe d’égalité ou d’universalité à la base de nos sociétés démocratiques. Cette notion est apparue dans les pays anglo-saxons à partir des années soixante. La méritocratie : principe selon lequel la position sociale des individus dans une société doit dépendre de leur travail et de leur mérite. Ce principe est souvent critiqué comme étant un justificatif des inégalités sociales. © Tous droits réservés Studyrama

subordonnées, l’aide et l’implication dans la vie privée sont appréciées. On parle alors de culture diffuse selon Trompenaars. L’excellence scolaire Singapour est une société qui s’est fondé sur l’interdiction des discriminations et de fait sur la méritocratie. Celle-ci est déjà présente dès l’école, les familles sont exigeantes et imposent des résultats scolaires de qualité afin d’atteindre les prestigieuses écoles. A plus grande échelle, Singapour a établi comme objectif de faire de l’Île un centre

· Division du travail en spécialité sportive il y a des gestes différents : spécialisation pour permettre une plus grande efficacité · Classement des individus (méritocratie) notion de performance, classement (ex : podium, division sportive) compétition (sport OU non) Le sport est un appareil idéologique de l’Etat : Sous couvert de neutralité, les instruments de lutte des classes sociales au

avec l’opposition entre travaillistes et conservateurs. II- Les différences entre droite et gauche. Cette opposition entre la droite et la gauche est fondée sur des divergences des « valeurs ». La droite incarnant des valeurs comme la méritocratie, le conservatisme, le traditionalisme. Elle prône aussi un libéralisme économique fort. La gauche incarnant des valeurs comme le progrès, l’égalité et la solidarité. Elle est en faveur d’un fort libéralisme culturel. Cette divergence s’effectuait

Le dossier du mois septembre 09 L’école peut-elle réaliser l’idéal républicain ? Retrouvez les avis des experts et des acteurs qui font le débat. Egalité des chances, méritocratie et élitisme pourrait résumer l’idéal républicain. La réalité est pourtant plus prosaïque car force est de constater que l’école française ne réduit pas les inégalités de départ. Certes, notre élite est reconnue (quoique trop homogène) mais «les vaincus du mérite» sont nombreux et abandonnés par le système

classe moyenne, et c'est la diffusion du sentiment d'appartenance à la classe moyenne. Ce qui a favorisé le développement de la classe moyenne, c'est la démocratisation scolaire, le contexte de croissance économique, la méritocratie, et le rôle important de l'Etat. Méritocratie : Système politique, économique et social fondé sur le mérite et non sur la reproduction sociale , la richesse ou les relations individuelles. C'est l'inverse du système de classe (ex : un pauvre reste pauvre). On parle

concrétiser est en fait la méritocratie, soit l’accès égal de tous les milieux sociaux à l’éducation en fonction des capacités, et par extension à une position sociale équivalente à leurs études. A l’inverse, vouloir appliquer l’égalité revient à définir une norme qui serait la même pour tous, soit en tirant les plus faibles vers le haut, soit en poussant les plus puissants vers le bas, ou encore en faisant une moyenne et en contraignant à la fois le faible et le fort. La méritocratie permettrait la juste

la place que le groupe social lui détermine à occuper. Individualisme : Valeur moderne consistant dans l'épanouissement de l'individu par son autonomie et la réalisation de ses capacités personnelles nécessaire à son intégration sociale. Méritocratie : Valeur moderne désignant la réussite de l'individu par ses propres compétences, par l'exercice responsable de sa liberté individuelle. Altruisme : Valeur pour laquelle l'individu est capable de faire don aux autres de sa personne. Anomie

possible pour ceux qui mettent l’effort de l’acquérir.En second temps, avec un peu d’aide, n’importe qui peut atteindre la vérité. Nous pourrions répliquer face à la conclusion tirée de l’allégorie de la caverne en disant que l’allégorie est une méritocratie, ce qui est problématique puisque certaines personnes partent de plus loin dans la caverne, ce qui peut être très convaincant puisqu’elle constate que tous les hommes n’ont pas une chance égale d’atteindre cet idéal. En revanche, il est important

d’enseignants songeant à démissionner, jadis dérisoire, atteint désormais près de 35 % d’entre eux, que 49 % parlent d’un « manque de reconnaissance », que 75 % expriment leur « ras-le-bol »... Les politiques libéralo-néoréactionnaires faites de « méritocratie », d’« internats d’excellence », d’« individualisation des parcours », d’« autonomie » nous programment une catastrophe absolue, faite de pénurie (de profs, de moyens, etc.) 
et d’inégalité à tous les échelons de la scolarité… 
Le sarkozysme n’aime