Merteuil Narcissisme

roman La lettre 81 de la marquise de Merteuil C’est une lettre-révélation sur la jeunesse et l’éducation de la marquise, aux temps du passé. Lettre informative pour Valmont et le lecteur selon le principe de la double énonciation. Sa fonction narrative : elle répond aux mises en garde de Valmont à propos d’un danger qu’elle court : Prévan, un autre libertin s’étant vanté publiquement de la séduire. Piquée au vif, elle lui révèle combien il se méprend. Merteuil, une femme orgueilleuse

particulier. La marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont sont deux personnages principaux de ce roman qui sont constamment en lien et ils entretiennent une relation importante. Dans l’extrait des lettres deux et quatre, nous pouvons constater qu’ils vivent une relation où ils sont à la fois complices et rivaux. En effet, la confiance et les intérêts qu’ils ont en commun nous indique clairement qu’une grande complicité règne entre eux. D’autre part, la marquise de Merteuil se croit supérieur au vicomte

cause du libertinage exercé par les personnages principaux. Personnages principaux : -Le vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil : ce sont deux libertins qui se mènent une guerre sans merci afin de savoir lequel d’entre eux est le plus perfide. -Cécile de Volange : Jeune fille qui sort tout juste du couvent et qui est prête à marier. La marquise de Merteuil décide de la corrompre avec l’aide de Valmont. -La Présidente de Tourvel : C’est une femme vertueuse qui Valmont veut conquérir pour

marquise de Merteuil : femme libertine et terriblement manipulatrice. Elle entraîne Cécile sur la voie de l’immoralité, corrompt Danceny et perd Valmont tout en conservant presque jusqu’à la fin une bonne image dans la société. Le vicomte de Valmont : homme libertin, ingénieux dans ses stratagèmes de séduction mais finalement bien peu capable de faire face à Mme de Merteuil. Il est incapable de s’avouer qu’il aime réellement madame de Tourvel. Avant de mourir il fait en sorte que Mme de Merteuil soit perdue

chaque personnage. Elles montrent la conquête de deux jeunes femmes, la jeune Cécile de Volanges et de la pieuse Présidente de Tourvel, par deux libertins: la marquise de Merteuil et son accolyte, le vicomte de Valmont. Cécile, qui vient de sortir du couvent, est fiancée au Comte de Gercourt, ancien amant de la marquise de Merteuil. Cette dernière, fâchée contre Gercourt qui l'a abandonnée, pour se venger, décide de corrompre Cécile avant son mariage. Mais la marquise a besoin d'un homme pour exécuté

Du Vicomte de Valmont à la Marquise de Merteuil J’ai un avis important à vous donner, ma chère amie. Je soupai hier, comme vous savez, chez la maréchale de : on y parla de vous, & j’en dis, comme vous pouvez croire, non pas tout le bien que j’en pense, mais tout celui que je n’en pense pas. Tout le monde paraissait être de mon avis, & la conversation languissait, comme il arrive toujours quand on ne dit que du bien de son prochain, lorsqu’il s’éleva un contradicteur ; c’était Prévan. « A Dieu ne

texte proposé est la lettre 33 de Liaisons dangereuses. Mme De Merteuil répond à la lettre 25 de Valmont, à laquelle sont joints les lettres 24 et 26, échangées entre Valmont et la présidente de Tourvel. C’est pourquoi dans la lettre 33, Merteuil analyse les propos de Valmont et Tourvel. De plus, elle donne une leçon sur l’art d’écrire une lettre. Nous verrons tout d’abord que la lettre établit une relation entre la marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont, puis le jeu des discours avec la

milieu libertin et non à une courtisane. Cette scène peut faire penser aux Liaisons dangereuses, car la jeune fille représentée ressemble à Émilie qui elle est courtisane ou au personnage de Cécile pervertie par Valmont mais aussi par la Marquise de Merteuil. Le fils puni de Greuze Le fils puni a été peint par Jean-Baptiste Greuze en 1778. Ce tableau peut nous faire penser à la scène en fin de roman où madame de Tourvel meurt et où madame de Tourvel et madame de Volanges sont autour d'elle

certaines personnes. «L’amour, la haine, vous n’avez qu’à choisir, tout couche sous le même toit : et vous pouvez, doublant votre existence, caresser d’une main et frapper de l’autre.» (Les liaisons dangereuses, p.186) Le conseil que la Marquise de Merteuil donne au Vicomte de Valmont souligne son côté manipulateur. D’abord, la dame utilise un oxymore afin de rapprocher l’«amour» et la «haine». Ils ne sont pas présentés comme l’un étant à la frontière de l’autre, mais comme deux émotions banales, voire

féminins: cinq femmes écrivent – La marquise de Merteuil, Cécile de Volanges, Mme de Volanges, Mme de Tourvel et Mme de Rosemonde– alors que seuls deux hommes écrivent – Danceny et Valmont .De plus, on remarque que le personnage qui peut nous faire penser que ce roman est féministe est celui de la Marquise de Merteuil. Car en en effet, dans la lettre 81, qui est une lettre importante dans l'avancé du roman car elle apporte beaucoup d'informations, Merteuil se dit solidaire des autres femmes, « née pour