Métaphysique des mœurs

de la bataille philosophique au XVIIIe siècle Préambule historique A la mort de Louis XIV (1715), l'autorité s'affaiblit: L'autorité politique: le régent (1715-1723) puis Louis XV (1723-1774) ne sont pas respectés . L'autorité morale: les mœurs sont libres, la cour et le roi en donnent l'exemple. La religion perd son influence. La crise financière: née des guerres de Louis XIV surtout, elle devient toujours plus grave à cause des dépenses de la cour et de la mauvaise administration. Les

Cette œuvre sera très appréciée des anglais. 1729 Retour en France. 1731 Histoire de Charles XII. Le gouvernement ordonne la saisie de cette œuvre, mais celle-ci circulera clandestinement. 1734 Lettres Philosophiques. Voltaire y fait l’éloge des mœurs politiques anglaises; une façon pour lui de dénoncer les travers de la monarchie française. Ces lettres déclenchent un immense scandale. Elles sont condamnées à être brûlées et Voltaire, pour échapper à la Bastille, doit quitter Paris. Il se réfugie

 Commentaire de texte Kant, Métaphysique des mœurs, Doctrine du droit Principe fondamental du droit – La coexistence des libertés individuelles Kant (1724-1804), « dans la plus grande intimité de son être et de son génie, a été l’homme du droit » affirme Jean Lacroix, philosophe français, dans Kant et le kantisme (PUF, 1996). En effet, héritier du siècle des Lumières, Kant ne pouvait demeurer insensible au contexte qui l’entourait. Beaucoup d’ouvrages étaient à cette époque consacrés au droit

désintéressement renverrait à une sagesse ou une vertu : ce n'est pas seulement pour apaiser ma curiosité que je cherche à être dans le vrai mais pour instaurer une relation authentique à autrui, personne digne de respect (voir les Fondements pour une métaphysique des mœurs de Kant). Plan : L'idéal technicien et l'impact des technosciences nous habituent aujourd'hui à voir dans la recherche de la vérité ou d'une connaissance vraie un moyen d'appliquer ces connaissances à une meilleure maîtrise de la nature

leur valeur, et leur portée. 3. Métaphysique : Questionnement philosophique portant sur l’être ultime de la réalité. Il a aussi pour objet des entités qui outrepassent l’expérience du monde physique : Dieu, la liberté, l’âme, la vérité, etc. Lorsque l’on cherche une définition ultime d’une réalité il s’agit également de considérations d’ordre métaphysique. 4. Éthique : Questionnement philosophique portant sur les principes moraux, les mœurs, et la valeur de l’agir humain. Lorsque le

[->17] Royaume de Prusse[->18]| Nationalité|1__#$!@%!#__20px-Flag_of_Prussia_(1701).gif [->19] Royaume de Prusse[->20]| École/tradition|Piétisme[->21], Lumières[->22], précurseur de l'idéalisme allemand[->23]| Principaux intérêts|Logique[->24], métaphysique[->25], épistémologie[->26], morale[->27], esthétique[->28], anthropologie[->29], politique[->30]| Idées remarquables|Criticisme[->31], Jugement synthétique a priori[->32], Chose en soi[->33], Impératif catégorique[->34], Progrès[->35]| Œuvres

Droit et Morale. Kant dans la Métaphysique des mœurs distingue le droit et la morale comme relevant de deux législations : « la législation éthique est celle qui ne saurait être extérieure ; la législation juridique est celle qui peut aussi être extérieure ». Il définit l’objet de la morale ainsi que celui du droit et les différencie par leur champ d’action. La morale se définit comme étant l’ensemble des règles de conduites et des valeurs qui définissent la norme d’une société, tandis que le

cosmologique copernicien qui a révolutionné la science, à l'instar de Galilée ; mais, par prudence envers la censure, il « avance masqué » (larvatus prodeo), en dissimulant partiellement la nouveauté de ses idées sur l'homme et le monde dans ses pensées métaphysiques, idées qui révolutionneront à leur tour la philosophie et la théologie. L'influence de Descartes sera déterminante sur tout son siècle : les grands philosophes qui lui succèderont développeront leur propre philosophie par rapport à la sienne, soit

des personnages, il rejoint les idées d' Emmanuel Kant dans La métaphysique des mœurs , selon lesquelles la conscience énonce une sentence de culpabilité ou l'accusé, l'accusateur et le juge sont une seule et même personne. “Tout homme a une conscience et se trouve observé, menacé et surtout tenu en respect (respect lié à la crainte) par un juge intérieur” ( La Métaphysique des mœurs , II Doctrine de la vertu, ch.1) Ce tribunal créé toute une suite

nouvelle qui va consister à rejeter comme absolument faux tout ce qui pourrait présenter « le moindre doute » l.5-6. Dès l’introduction, j’utilise le texte entre guillemets. En faisant cela, il fera autrement que comme nous pouvons faire « pour les mœurs », les mœurs concernent le champ morale et pratique ; et Descartes nous explique que dans le domaine de l’action il nous arrive souvent de prendre l’incertain pour certain car nous fonctionnons par habitude, par croyance. Par contre, pour « la recherche