Mimesis

faiblesses: Meursault dans L'Etranger de Camus est le parfait exemple: il dit ce qu'il pense et d'une façon honnête sans hypocrisie ou ''langue de bois'' il est le contraire de ce que dénonce Camus, Il est ''Vérité'' et rien d'autre. C'est le phénomène de mimesis, l'écrivain veut reproduire la réalité. Dans certains roman nous sommes face à une autre sorte de personnage: les personnages fictifs qui s'éloignent de toute formes de réalité, ce sont, pour la plupart des personnages hyperbolisés

finissent par être réparées, même si il en va de la vie du héros, qui se doit parfois de se tuer pour ne pas perdre son honneur, le point le plus important pendant l’Antiquité. L’homme peut ainsi se reconnaître dans les personnages, car le théâtre, mimésis comme le définit Aristote, est la représentation de la réalité, mais elle n’en est réellement qu’une illusion, et des défauts humains également. Comme a dit Hugo, "Le théâtre est un point d'optique. Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire

d’illustration ou de complémentarité (mettre exemples). Dans les Calligrammes d’Apollinaire avec un haut degré figuratif on a cette dimension voilà pourquoi Marcel Raymond les qualifie de « jeu littéraire le plus gratuit ». En effet c’est le principe de la mimésis qui est mise en place dans une majeure partie des Calligrammes alors que les artistes de l’époque désirent s’en émanciper. Ainsi dans Cœur Couronne et Miroir celui qui figure un cœur commence par « Mon cœur » celui qui figure une couronne « Les Rois

plus penser à quelque chose qui nous afflige et de se détourner d’une réalité désagréable. Ainsi, le fait d’aller au théâtre permet de passer un bon moment et d’oublier les préoccupations du quotidien. Nous pouvons donc souligner qu’il est une « mimesis », c’est-à-dire une imitation du réel. Le fait qu’il imite signifie que ce n’est pas la réalité qui est présentée au spectateur et que, par conséquent, cela va lui apporter une sorte de plaisir. En effet, il est possible parfois de retrouver dans

créer un mode narratif précis, qui gère la « régulation de l’information narrative » fournie au lecteur (1972 : 184). Selon le théoricien, tout récit est obligatoirement diégésis (raconter), dans la mesure où il ne peut atteindre qu’une illusion de mimésis (imiter) en rendant l’histoire réelle et vivante. De sorte, tout récit suppose un narrateur. Pour Genette, donc, un récit ne peut véritablement imiter la réalité ; il se veut toujours un acte fictif de langage, aussi réaliste soit-il, provenant d’une

sont ceux qui considèrent ce travail comme étant une simple copie de la nature ? La nature serait donc le modèle sur lequel doit se baser l’artiste pour produire une « œuvre » .Aristote ramène les différentes espèces d’art au genre commun de la mimésis. Combien de fois avons-nous admiré un tableau simplement pour le réalisme saisissant dont il fait part. Selon Aristote « Imiter est naturel aux hommes et se manifeste dès leur enfance ». Platon, lui, a une vision beaucoup plus péjorative de l’art

judiciaire par exemple), de l’autres ceux qui laissent une grande part aux variations personnelles. Quand on étudie les discours philosophiques, littéraires... On n’a affaire qu’à des genres institués... Même si une œuvre littéraire se présente comme la mimésis, il ne peut s’agir d’un genre conversationnel puisqu’il existe un auteur qui a agencé de manière non négociée l’ensemble des répliques. Les analystes du discours s’intéressent plutôt à ceux que nous avons désigné plus haut comme routiniers abandonnant

pulsions. En vivant ces destins malheureux par procuration, les spectateurs ou lecteurs sont censés prendre en aversion les passions qui les ont provoquées. Pour que cette catharsis soit possible, il faut que les personnages soient en imitation (mimêsis) des passions humaines, le meilleur exemple, pour Aristote, étant Œdipe Roi de Sophocle. Interprétation esthétique de la katharsis[modifier] Aujourd'hui, quelques érudits considèrent que la katharsis n'a pas un enjeu moral, mais exclusivement

l’esthétique. HEGEL, Esthétique, Textes choisis, Paris, Ed. PUF, 1998 p.11-23 Définir l’esthétique revient pour Hegel à définir l’art et ses fins, et par là même à revenir sur les notions importantes qui ont marqué cette définition. Revenant sur la Mimesis (une manière ainsi de s’inscrire toujours de l’histoire de la pensée de l’art, d’en rediscuter les principales notions afin de mieux faire apparaître les vrai enjeux de l’esthétique), Hegel relate l’histoire bien connu des raisins peint par Zeuxis

des différentes conceptions de la valeur de l’objet d’art A) Réflexion sur l’art
 Voltaire prônait une grande tolérance. Mise en abîme d’une oeuvre d’art au coeur d’une oeuvre, représentation au sein de la représentation. Le théâtre relève de la mimesis or ici abstraction et non figuration, parodie de certaines tendances de l’art. Page blanche à lire différemment selon la sensibilité, comme le personnage voit dans la toile des couleurs différentes cf séquence 1 didascalies. Métaphore du texte théâtral: