Mimesis

l’indifférence générale le 7 mai 1840, à Dresde Le paysage romantique Le paysage romantique appartient à l’esthétique de l’expressivité. S’inspirant de Kant, le romantisme allemand affranchit l’artiste de sa dépendance à l’égard de la notion de mimésis , pour l’amener à chercher en lui-même les règles de la création (thème du génie). Ce qui est vrai de la poésie et de la musique l’est également du paysage, dont Friedrich pense qu’il résulte d’une vision intérieure, et non d’une donnée immédiate

Aristophane, Plaute...Le théâtre a un enjeu moral. A la fin de la pièce, le conflit est réglé, le spectateur peut tirer une leçon de la pièce qu’il vient de voir.Dans la Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit la tragédie. Il y définit la mimêsis : il faut que les personnages soient une imitation des passions humaines aussi vraisemblable que possible. Aristote voit dans la tragédie un moyen pour l’homme de purifier l’âme de ses passions. Cette purification, ou catharsis vient de la pitié et

contours de l'univers racinien en fonction du patrimoine antique et des apports du XVIIe siècle. Cette base appréhende la tragédie dans sa codification et ses divers ornements. Elle nous familiarise avec l'univers des passions grâce aux principes de mimesis et de catharsis. Puis nous revenons sur le personnage tragique en insistant sur son ambivalence. Enchaîné à ses passions, le héros oscille entre Éros et Thanatos, deux puissances gouvernées par l'absolu désir et la pulsion destructrice. Il porte en

tendue. A première vue, le peintre souhaite créer une ambiance spécifique avec une utilisation des formes et des couleurs particulière et en donnant paradoxalement la parole au silence et à l’énigme. Problématique : Comment Hopper se détache de la mimésis pour mettre en scène le quotidien ? I- Le jeu du peintre : un réalisme d’atmosphère Par son jeu sur les lignes et les couleurs, Nighthawks est une construction picturale rigoureuse qui montre bien comment Edward Hopper met en scène le réel.

la   vérité   absolue.   On   est   très   près   de   la   question   de   la   mimésis   dont   on   a   discuté   il   y   a   quelques   semaines   avec   Schaefer,   mais   encore   plus   de   cette   compréhension   dynamique   des   trois   ordres   de   la   mimésis   vue   avec   Ricoeur  la  semaine  dernière.  Cette  idée  de  reconfiguration  entre

de la scène, vue prise de la salle. Mélodrame : Drame populaire, souvent accompagné d'une mélodie, caractérisé par l'invraisemblance de l'intrigue et des situations, la multiplicité des épisodes violents, l’exagération des caractères et du ton. Mimésis : Imitation ou représentation d'une chose (s’oppose chez Aristote à la diegesis, le récit). *Mise en scène : Ensemble des moyens d'interprétation scénique (scénographie, musique, jeu...); activité qui consiste à agencer ces moyens ; transposition

tous les tableaux par le feu (cf autodafés !) ; cet acte préfigure le meurtre de l’Anderer. questionnement sur l’art et ses fonctions : - Diodème dit des tableaux qu’ils ne sont « pas vraiment fidèle[s], mais très vrai[s] » : l’art n’est-il que mimésis (imitation de la réalité) ? (penser à la peinture symbolique, abstraite, ...) ; on peut aussi y voir une mise en abyme du roman lui-même (Claudel n’a pas voulu écrire un roman historique ; la fiction l’emporte sur le réel) - l’art dérange : il met

toujours inspirés des artistes et l'interprétation est toujours renouvelables. L'art est reconnu par les anciens. Le classicisme, un mouvement stricte du 17ème siècle permet, selon Aristote, de réaliser une imitation réelle que l'on peut appeler aussi « mimésis ». Le classicisme peint la nature humaine. Aristote pense que les hommes aiment imiter, pour deux raisons essentielles qui sont le plaisir et la connaissance. De quelle connaissance parle – t – il ? Une œuvre d'art peut informer sur la situation politique

imaginaire qui lui donne forme. L’imagination n’est pas nécessairement liée aux images. Chapitre 1 : De la phantasia à l’imagination Phantasia : image, imitation I- Le statut ontologique de l’image chez Platon 1) La fabrication des images comme mimesis. a- l’impossible traduction de « phantasia » -Platon : disposition de l’individu qui le conduit à former des opinions, par l’intermédiaire de sensations. Mixe de sensations et jugements. Chez Platon, il y une théorie des images, sans imagination

Esthétique et Technique : Le réalisme chez Stendhal Selon Colette Becker et Jean-Louis Cabanès, le mimesis où la représentation du réel n’est issue que du XIXe siècle mais date de très longtemps dans la littérature occidentale. Mais, cette représentation du réel où le narrateur dépeignait la réalité sans qu’elle soit idéalisée, était perçue comme banale et vulgaire. Le XIXe siècle va donner ses lettres de noblesses au réalisme qui mélangera l’ironie et le sérieux. Stendhal, communément reconnu comme