Mimesis

aucune stylisation littéraire.» Ainsi, pour lui le repas de Trimalcion se fait miroir de la réalité, en représentant le plus justement et le plus scientifiquement possible le milieu social romain de l'époque. En effet, en plus de l'entreprise de « mimesis », Pétrone a tenté dans la présentation des convives et du repas à imiter l'exercice rhétorique de la recitatio (lectures publiques). Un calcul a montré que ce repas lue à voix haute dure en effet environ une heure, soit la durée normale d’une recitatio

a condition d'etre subordonner a l'intrigue principal 12/ langage scénique et langage verbale : celui qui est produit sur la scène en dehors du livre lui même . Contenu ds le texte proférer sur la scène , objet dune représentation 13/ mimesis :imitation ou représentation : suppose une stylisation . Les œuvres st inspirer de celle qui ont précédées 14/ nœud : l'intrigue se noue et sec ristalisent autour d'un enjeux : ensemble de conflit qui bloquent l'action 15 / schéma actanciel

côté tout ce qu'il n'espère pas pouvoir traiter avec éclat ». Il faut avoir l’ «art de mêler invention et réalité, que jamais le milieu ne jure avec le début, la fin avec le milieu. » -L’horizon d’attente du spectateur et du lecteur c’est la [mimésis] : « il faut marquer exactement les traits de chaque âge et peindre de couleurs convenables les caractères qui changent avec les années. » -Respect de la bienséance : « ne mets pas sur la scène ce qui doit se passer dans la coulisse, et soustrais

Aristophane, Plaute...

 Le théâtre a un enjeu moral. A la fin de la pièce, le conflit est réglé, le spectateur peut tirer une leçon de la pièce qu’il vient de voir.

 Dans la Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit la tragédie. Il y définit la mimêsis : il faut que les personnages soient une imitation des passions humaines aussi vraisemblable que possible. Aristote voit dans la tragédie un moyen pour l’homme de purifier l’âme de ses passions. Cette purification, ou catharsis vient de la pitié et

social entre des personnes, médiatisé par des images. Il est le soleil qui couche famas sur l'empire de ne se la passivité moderne écrit le célèbre sociologue dans son essai-culte. Cette passivité, quant à elle, se traduit par notre propension à la mimésis qui consiste en 1'imitation de ce prononcée qui nous est donné à voir. Or, cette identification n'est pas sans dangers, présents déjà dans le passé, si l'on en croit le triste destin du de Gustave Flaubert Bovary, gâtée personnage par la lecture des

libres. L’ex-cursus : la digression ; Aristote y voit le moyen de traiter les autres faits et aussi une fonction de délassement. Conclusion : Aristote déclare la tragédie supérieure à l’épopée. Intérêt de la représentation visuelle, du théâtre : la mimésis directe alors que l’épopée passe par la médiation du narrateur. L’esthétique de la concentration de la tragédie la rend, selon Aristote, supérieure à l’épopée. Nota Bene : Lit. Occidentale est influencée par 3 modèles antiques : l’Eneide,

rapport à son siècle Les Fleurs du Mal : un recueil bien structuré Séparation entre l’éthique et l’esthétique La double postulation et le déchirement baudelairien L’ut pictura poesis ou la représentation urbaine Les femmes de Baudelaire De la mimèsis à la poièsis ou le règne de l’imagination S4M4 : Théâtre classique Quelques outils pour l’analyse du théâtre - Présentation de Phèdre de Racine Leçon littéraire : La mise en scène du destin dans Phèdre Explication linéaire de la scène d’exposition

rapport à son siècle Les Fleurs du Mal : un recueil bien structuré Séparation entre l’éthique et l’esthétique La double postulation et le déchirement baudelairien L’ut pictura poesis ou la représentation urbaine Les femmes de Baudelaire De la mimèsis à la poièsis ou le règne de l’imagination S4M4 : Théâtre classique Quelques outils pour l’analyse du théâtre - Présentation de Phèdre de Racine Leçon littéraire : La mise en scène du destin dans Phèdre Explication linéaire de la scène d’exposition

Clos : le tragique vient des personnages car l’enfer c’est d’être avec autrui et de ne pouvoir se libérer de son emprise. Le théâtre a une valeur cathartique : le spectateur a des passions, il ressent la terreur et la crainte. La terreur vient de la mimesis, de l’identification, on est terrifié par ce qui lui arrive, presque terreur religieuse. La crainte vient de ce qu’on a pitié, on le plaint. On ne sort pas désespéré de la tragédie parce qu’il y a le niveau esthétique, la distance artistique qui permet

renouant par le prestige des mots et des images « Ce sont des artistes qui ont abandonnés l’étude de la nature et qui ont perverti l’art, ils ont suivi l’idée que leur dictait leur fantaisie et se sont fiés à la pratique plus qu’à l’imitation (mimésis) critique du XVIIe → Les contemporains du maniérismes savent qu’ils sont à la fin d’une histoire, une mélancolie sur ce. qui vient après. L’œuvre de Michel ange est un sommet insurmontable. l’impression de naître trop tard, ° d’être à l’apogée