Ministre-juge

magistrats administratifs – Commentaire En contentieux administratif, on applique le principe selon lequel « Juger l'administration, c'est encore administrer ». Cela sous entend notamment que les juridictions administratives exercent une fonction de juge et de conseiller. Cette idée de cumul des fonctions s'entend dans l'arrêt rendu par le CE du 11 juillet 2007 Union syndicale des magistrats administratifs. Dans les faits, un décret du 23/12/2006 modifie la partie règlementaire du CJA. (à but

I) Le contrôle de la légalité de l’AAU par le juge administratif. Lorsque le juge, au regard des source de la légalité administrative énoncées plus haut, constate qu'un acte administratif unilatéral est illégal il en prononce l'annulation. Ce contrôle de légalité s'applique à deux types de légalité : la légalité externe (A) et la légalité interne. (B) A) La légalité externe En examinant la légalité externe d'un acte administratif, le juge examine la compétence de l'auteur de l'acte, la

d’arguments entre plusieurs parties) et qui est en principe déclenchée par la victime d’une infraction. Le juge est là entre les 2 parties et le juge va arbitrer les débats, il ne dirige pas grand-chose, il laisse les parties privées s’exprimer. C’est le système qui prime dans les pays anglo-saxons. Cette procédure met sur un plan d’égalité les parties, à charge de chacun de convaincre le juge. C’est le principe de la libre discussion. Chacun fournit ses preuves. C’est pourquoi il y a beaucoup de

L’administration jugée par le juge administratif, est-ce encore l’administration qui se juge ? Introduction Henrion de Pansey : « Juger l’administration, c’est encore administrer. » Certes, Montesquieu, avec le principe de séparation des pouvoirs estime qu’il faut séparer le pouvoir judiciaire du pouvoir exécutif. Mais à l’époque, on considérait que le pouvoir judiciaire était celui chargé de trancher les litiges entre les particuliers et de juger les crimes. An VIII : une des grandes

Les magistrats ont un nouveau statut, ils sont élus, et leur fonction n’est pas définitive. La loi, qui est le reflet de la volonté collective, réputée claire et absolue, doit s’appliquer sans possibilités d’interprétation ou modification. Le juge devient un juge « automate », il applique la loi de façon quasi automatique. La sacralisation de la loi est à son maximum. Le pouvoir judiciaire doit protéger les individus en leur appliquant le secours bénéfique de la loi, mais il ne doit pas créer le droit

Régulation des Marchés Publics Le Premier Ministre Sur rapport du Ministre des Affaires Economiques et du Développement, - Vu la Constitution du 20 Juillet 1991, rétablie et modifiée par la loi constitutionnelle n° 014.2006 du 12 Juillet 2006 ; - Vu la loi n° 2010-044 du 22 Juillet 2010 portant Code des Marchés Publics ; - Vu le décret n° 157-2007 du 06 Septembre 2007 relatif au Conseil des Ministres et aux attributions du Premier Ministre et des Ministres ; - Vu le décret n° 094-2009 du 11

| |* Organisation civile : |En tant que directeur de PJ (art 12 du cpp) : | |Garde des Sceaux (Ministre de la Justice) |Dirige l’activité des OPJ et APJ | |Tribunal d’Instance: il statue sur préjudices inférieurs à 10000 €. |Donne instruction

tribunaux tranchent toujours en faveur du tiers qui invoque l’acte apparent. II. Le principe de la force obligatoire vis à vis du juge En cas de conflit entre les parties, le juge intervient. Celui-ci doit assurer l’exécution du contrat tout en respectant son contenu. Les parties ont stipulé des clauses sur lesquelles elles ne sont plus d’accord au moment de l’exécution. Le juge vérifie la légalité du contrat puis l’interprète en se mettant à la place des parties. Il n’a pas le droit de modifier le contrat

 Les appels contre les décisions des tribunaux administratifs comme juridiction du second degré ;   En premier et dernier ressort, sur les recours en annulation pour excès de pouvoir, dirigés contre les actes réglementaires ou individuels du Premier ministre, et les recours contre les décisions des autorités administratives, dont le champ d'application s'étend au-delà du ressort territorial d'un tribunal administratif.   Les cours d'appel   La loi n° 1-74-338 du 15 juillet 1974 relative à l'organisation

les autres : de l’exécutif le juge adm est incompétent dès lors que la décision à trait à l’exercice de la fonction juridictionnelle, mm si elle émane de l’exécutif. MAIS le juge adm est compétent dès lors que la décision est relative à l’org° du service public de la justice, mm si elle émane d’un organe judiciaire.  Substitution d’un critère matériel à un critère organique  vives critiques en doctrine ms jp constante Le juge adm a admis de + en + largement sa compétence