Mintzberg Structure Du Missionnaire

d’évoquer les inévitables limites de ce dernier. En espérant que ce document sera intéressant pour celui ou celle qui le lira. 3 Chapitre I : Quʼest-ce que la camorra? «Le système. Un terme éloquent, qui évoque un mécanisme plutôt qu’une structure. Car l’organisation criminelle repose directement sur l’économie, et la dialectique commerciale est l’ossature du clan».3 La camorra, c’est aussi et d’abord une famille napolitaine, qui couvre un territoire allant de Secondigliano à Giugliano et

C) Une structure divisionnelle 36 2) Gélinier 36 3) P. F. Drucker 37 4) Chandler et l’histoire des entreprises (dans la logique de l’école néoclassique) 38 III) Postulat et principes 39 1) Les postulats 39 2) Les principes 39 3) Bilan 39 IV) Conclusion : les points forts et les points faibles de l’école néoclassique 39 1) Les points forts de l’école néoclassique 39 2) Cette école comporte néanmoins des points faibles : 40 Chapitre 6 : la synthèse de Mintzberg 41

taches)  Stabilité (règles, répartition du L) Les 1eres organisations sont militaires, religieuses etc… Sous la pression des contraintes de l’environnement, les modes de fonctionnement etc sont appelés à changer (ainsi que les contenus du L et les structures) >> Théorie de l’organisation La question n’est pas de savoir quelle fonction prédomine. PARTIE LIMINAIRE CHAPITRE 1 :QU’EST-CE QUE LA GESTION ? 1. Un peu d’histoire Gestion : action de gerer, excecuter (1481) ; vient de gererer,ie executer

sur l’interaction. Pour que tout fonctionne, il faut un ensemble structuré d’échanges et de relations au sein des organisations (machines, contremaitres, experts, travailleurs,…). On assiste donc au paradoxe de Taylor (renouvellement paradoxal de l’analyse des organisations) : Il met en avant une structure de pouvoir distincte du marché, soulignant l’importance des interactions entre les hommes, mais il fait reposer cette structure sur une base strictement scientifique, qui ne doit être considérée

atteindre un objectif L’adoption d’un système de rémunération très incitatif qui repose sur la rémunération à la pièce Mise en place d’un système permanent et systématique de contrôle Réglementation formalisé des comportements Adoption d’une structure fonctionnelle où les tâches d’exécution sont dissociés des tâches de conception (on ne favorise pas la prise d’initiative). Ce qu’il faut retenir de Taylor, c’est le « one best way ». Le bémol est que les homme sont considérés comme des machines

réseaux sociaux sont très importants puisque c’est grâce aux individus des réseaux sociaux que l’institution se construit. Il parle de « capital humain » et de « capital de relations » que l’on acquiert grâce au milieu du travail. Pour Giddens, la structure sociale est un système de contraintes qui pèsent sur les actions individuelles. Goffman, interactionniste, pensent que les échanges interindividuels sont à la base de la constitution des sociétés. Les acteurs ont parfois des comportements qui ont

l’organisation 1.3) La technologie 1.4) La stratégie II) Les variables de contingence externes 2.1) Structures et stabilité de l’environnement 2.2) Approches complémentaires Conclusion du chapitre Chapitre 4 : Des modèles théoriques pour des organisations plus « ouvertes » I) Les approches systémiques II) Analyse sociotechnique III) Le modèle de MINTZBERG, une tentative de synthèse 3.1) Les attributs organisationnels 1. Les composantes de base de l’organisation (6)

typologie des structures avec trois grandes structures qu’il met en évidence : une structure de type traditionnelle qui repose sur la croyance en la tradition quelque chose se transmet dans le temps, ensuite la structure charismatique c’est à dire que le chef est très présent dans l’entreprise, technique humaine qui va générer un lien formel mais surtout affectif entre ce chef et ses salariés voir de l’amour, de l’admiration avec un rapport d’ascendance et de soumission et enfin la structure bureaucratique

collaboration avec E. Friedberg, il donne une premiére définition du pouvoir trés générale : le pouvoir est la capacité pour certains individus ou groupes d’agir sur d’autres individus ou groupes.  Le pouvoir du point de vue de l’organisation Mintzberg définit le pouvoir comme étant tout simplement la capacité à produire ou modifier les résultats ou effets organisationnels. Pfeffel (1981) quant à lui parle de force, non de capacité. De même, la notion du pouvoir différe d’une conception fonctionnaliste

de l’étude – Compétences 3. Adapter la structure 3.1 Choisir une structure – Les principales configurations structurelles Toute structure d’entreprise apparaît comme le produit de principes généraux d’organisation et de contingence spécifiques à chacune d’elle. Cette conjonction permet de caractériser un certain nombre de structures types qui peuvent se combiner pour faire émerger des structures hybrides. Compétences : – Identifier le type de structure d’une entreprise et dégager ses caractéristiques