Miranda Hobbes

Question 2 Pour commencer, pour Hobbes la solidarité de l'état c'est lorsque qu'une multitude d'homme réussi a s'entendre sur le choix d'un seul homme à réussi à s'entendre sur le choix d'un seul homme ou une assemblée d'homme grâce aux moyens des conventions pour devenir celui ou ceux qui autorisera toutes les actions et les jugements. Car tout avis contraire à cette majorité ( c'est à dire la multitude d'hommes) doit être d'accord avec elle. Parce que dans le cas contraire il ferait le contraire

vit en dehors de toute cité est un être « sans foi ni lois », c’est un être qui est guidé uniquement par ses intérêts et ses passions, qui sera prêt à tout pour les satisfaire. Il est comme cet homme à l’état de nature décrit plus tard par Thomas Hobbes, « un loup pour l’homme », naturellement agressif à l’égard de ses semblables, « passionné de guerre » car mû par ses seuls intérêts et prêt à tout pour les satisfaire. Dans l’Antiquité grecque rien n’est moins condamnable que l’individualisme. L’homme

considèrent la guerre comme un phénomène naturel voit en l’Etat un protecteur : si le peuple accepte initialement de se soumettre à l’autorité, c’est contre la promesse de la paix, contre la protection légale de ses droits. Parmi eux, on retrouve Thomas Hobbes et son célèbre postulat anthropologique : « l’homme est un loup pour l’homme. » L’état de nature est un état de guerre perpétuelle et l’instinct de conservation commande aux hommes de s’associer pour échapper à l’anarchie. L’Etat est chargé de la

deux philosophes prendra place dans la présente dissertation. Tout d'abord, Jean-Jacques Rousseau est un philosophe qui a vécu durant les 18 siècles aussi appelés siècles des Lumières. Il s'oppose à la conception de l'état de la nature accorde par Hobbes et loche et il explique la nature originelle de l'homme. L'homme originel possède des caractéristiques fondamentales. Il devrait être libre, car il devrait choisir a répondre oui ou non à ses besoins, il devrait être perfectible ; être capable de

souffert du totalitarisme et de l’anarchie de la terreur et du Directoire, par conséquent ils ont des souvenirs douloureux de cette période révolutionnaire. La vision de l’homme pour les codificateurs se rapproche d’avantage de celle que se faisait Hobbes, selon lequel à l’état de nature « l’homme est un loup pour l’homme » et celle de Machiavel. L’image des hommes à l’état de nature se résume aux mots d’Horace Say qui les décrits comme étant de vulgaire « ignorants, fanatiques, intéressés, tels qu’ils

Thomas Hobbes "Le vrai et le faux sont des attributs du langage, non des choses. Et là où il n'y a pas de langage, il n'y a ni vérité ni fausseté." Pascal "La vérité doit toujours avoir l'avantage, quoique nouvellement découverte, puisqu'elle est toujours plus ancienne que toutes les opinions qu'on en a eues, et que ce serait ignorer sa nature que de s'imaginer qu'elle ait commencé d'être au temps qu'elle a commencé d'être connue. " Leibniz "Il y a deux sortes de vérités, celles

pas accompagnée de sanctions au cas où elle ne serait pas respectée, nous n’obéirions jamais aux lois. C’est d’ailleurs pourquoi Hobbes dans le Léviathan, montre que dans la constitution de l’Etat, chacun délègue son pouvoir et sa force à l’Etat. Mieux encore, il montrera que nous obéissons aux lois par peur. Sur ce point, vous pouvez vous reporter à notre dossier sur Hobbes indiqué plus bas. Rousseau, dans le Contrat social, montrera qu’il faut également forcer à obéir à la loi celui qui ne voudrait

est capable de les réfréner et d’agir en fonction d’autres motifs. En ce sens, seule l’action humaine peut être dite libre. On peut néanmoins contester cette différence, c’est-à-dire refuser l’idée d’une liberté de la volonté ; c’est ce que fait Hobbes lorsqu’il affirme que la liberté se définit exclusivement par l’absence d’obstacles. C’est obstacle peuvent être représentés par des contraintes telles que l’obéissance. L'obéissance ou soumission à l'autorité est l'une des formes de l'influence

est le philosophe Thomas Hobbes, Le Léviathan, 17ème siècle, dans cette œuvre il se propose de fonder la science politique. Il considère que ceux qui ont écrit avant lui n’ont pas vraiment élaborés une science. C’est une nécessité de fonder la science politique parce que le monde dans lequel il vit est traversé par les conflits, or la science politique nous permet de saisir pourquoi il y a conflit et nous permet aussi de résoudre une partie de ces conflits. Au moment où Hobbes écrit, il y a deux conflits

tels propos. Il s'interrogeait à savoir comment avait pu naître les inégalités actuelles. Dans cette perspective, il s'est attaché à construire l'hypothèse d'un état de nature sans jamais le poser comme modèle... D'après la critique de Rousseau à Hobbes en revanche, ce dernier se contente de projeter les hommes civilisés dans la nature alors que l’état de nature chez Rousseau consiste à ôter à l’homme tout ce que la civilisation lui a apporté. Ici, nous sommes bien alors face à des représentations