Modalisateur

d’une autre, sur des modalisateurs, procédés par lesquels le locuteur révèle son point de vue. Quand un énoncé contient les traces, les indices de la subjectivité de son locuteur, c’est ce qu’on appelle « la modalisation du discours ». La modalisation est l’attitude qu’adopte le locuteur par rapport au contenu de son énoncé. Il peut l’évaluer, le présenter comme incertain, vrai ou faux et y adhérer un peu, beaucoup, ne pas s’impliquer ou même le rejeter. Les modalisateurs peuvent être : 1)

lexicaux (opposition, association, connotations intéressantes). - Les verbes (temps, modes (actif, passif), type (verbes d’état, de mouvement). - L’énonciation : les pronoms, leurs rôles, implication de l’énonciateur (termes évaluatifs, affectifs, modalisateurs), interpellation du destinataire (pronom, question, apostrophe), types de phrases. - Les figures de styles. - Les registres. - Les effets sonores. - Les références culturelles. Dans les textes théâtraux : - La double énonciation - Les

péjoratifs avec soin (on comprend le soin qu'il faut apporter au choix du vocabulaire qualifiant) on laisse la place au doute chez le lecteur en utilisant des modalisateurs du doute ; inversement, on a des chances de masquer un peu les faiblesses d'une argumentation en faisant preuve d'une (fausse) assurance par l'usage de modalisateurs de la certitude (dosage à déterminer). Ainsi, on reconnaît les ambigüités dont peut être émaillé un texte : par ex., utilisation de "je" et du

déroulement. La ccl naît de cette mise en parallèle. - raisonnement par concession : admettre un partie de l’argumentation adverse pour mieux la réfuter. Repose sur le dialogue. Procédés utilisés pour convaincre : - connecteurs logiques, modalisateurs qui nuancent le propos - figures d’opposition qui favorisent la confrontation des points de vue - parallélisme de construction des phrases ◊ PERSUADER : obtenir l’adhésion du destinataire en jouant sur les émotions, les sentiments

le sentiment de doute présent tout au long de la nouvelle. Les perceptions incertaines sont soulignées par des modalisateurs « sembla »(l.40). En opposition à cela,d'autres modalisateurs « certes »(l.41) ou encore « je voyais très bien »(l.46) permettent de mettre en avant le caractère indubitable d'éléments capitaux perçus. CONCLUSION: Grace à des outils de langues,modalisateurs,champs lexicaux,le texte de La Morte appartient au registre fantastique. L e lecteur est sans cesse en quête de

scripteur n’apparait généralement pas, il prend de la distance par rapport à son énoncé (emploi de « il », la nominalisation…) dans ce cas le texte est objectivé (neutre). Mais l’auteur peut apparaitre d’une manière dissimulée par l’emploi des modalisateurs. Dans ce cas le texte est d’une subjectivité implicite. * L’énonciateur peut choisir d’employer : * Le présent de narration : il place les faits dans le présent de lecteur, il lui permet de revivre et de réactualiser l’événement narré.

fonctions à l'œuvre dans le texte de Fontenelle. Que révèlent-elles de l'intention de communication? Que confirment-elles de votre précédent constat? Comment évaluer l'implication de l'émetteur? On pourra utilement recenser les modalisateurs et les évaluatifs : Les modalisateurs : l'auteur peut exprimer un soutien gradué de son énoncé des verbes d'opinion : affirmer, soutenir, douter, prôner, suggérer... des adverbes : évidemment, sans doute, peut-être, assurément... des périphrases : il est certain

Portugais » (L.13) - Présent d'habitude -La première personne du singulier ne vient qu'à la ligne 19 -Phrase simple avec conjonction de coordination « et ». -Utilisation de termes « civilisés » : assemblée -langage soutenue - Modalisateur « ce n'est pas comme on pense » - Parallélisme « ce n'est pas » ; « c'est » - Outil de comparaison « ainsi que » -comparaison avec des européens. → vérité générale. Montaigne raconte les guerres tupis de manière neutre (documentaire)

sentiment » et « j’appuyai la tête sur mes deux mains » renvoie au roman sentimentalLignes 17 – 20 : Les termes « illusion » et « impossible » montre que DG est dans le déni, renforcé par les termes « je n’osais » Le modalisateur « je n’osais » introduit la mauvaise foi de DG et le modalisateur « Je voulais » traduit ici qu’il ne s’agit pas d’une illusion Ils traduisent la subjectivité de DGLigne 21 – 22 : Les questions rhétoriques traduisent le monologue intérieur du personnageDes Grieux ne veut pas comprendre

Séance 5 Langue : le point de vue et les modalisateurs Travail préparatoire à faire à la maison : Souligner les jugements que seul un narrateur interne peut prononcer (lignes 123 à 139) et surligner les pronoms de la 1ère personne sujets et compléments ainsi que les verbes conjugués à la 1ère personne. Support : lignes 123 à 139 et lignes 297 à 334 Objectifs : • Le point de vue du narrateur • Le degré d’implication du narrateur : les modalisateurs • Les transformations textuelles qu’entraîne