Modes De Preuve Des Actes Juridiques

logiques d’interprétation 2) Les maximes d’interprétation II. - Le produit de l’interprétation du droit A - L’interdiction de créer le droit B - L’obligation d’appliquer la loi C - Le juge, législateur supplétif ? § 2 : LA DOCTRINE 1 I. - Les modes d’expression de la doctrine II. - Les fonctions de la doctrine Section III : L’ORGANISATION JURIDICTIONNELLE § 1: LES JURIDICTIONS DE L’ORDRE JUDICIAIRE I. - Les juridictions du premier degré A - Les formations civiles 1) Le tribunal de grande instance

PROCESSUEL Section I L’intérêt à agir L’intérêt à agir est la condition primordiale de la recevabilité de la demande. C’est une condition générale et systématique. Il faut toujours avoir intérêt à agir en justice. C’est une condition de salubrité juridique. Il serait extrêmement dangereux d’admettre n’importe qui à agir en justice, dans cette période de manie processive et d’engorgement des tribunaux. C’est une condition de tous les temps, il a toujours été admis qu’il faut un intérêt à agir. « Pas

confèrent la norme juridique du fait d’une procédure particulière à la règle de droite visée. Source non écrite désigne principalement actuellement la jurisprudence (on veut dire que la règle posé par les tribunaux ne tient pas sa force du fait qu’elle est incorporé dans un support de texte juridique) qui fait toute l’importance du pouvoir législative ; et la coutume. Permet la distinction source instituée/ source pratique. D’un côté des organes institués par notre ordre juridique avec pour fonction

Droit de l’Université Libre des Pays des Grands Lacs, ULPGL/Goma Sous la direction du Professeur Emérite BOMPAKA NKEYI MAKANYI Introduction Un contrat s’inscrit dans un contexte juridique. Or, les contractants, dans une opération internationale, se trouvent dans les pays différents et donc dans les systèmes juridiques distincts, eux-mêmes composés de droits adaptés à chaque pays. La difficulté est donc d’adapter le contrat à ces contextes. Il est devenu commun de dire que notre société se transforme

international, droit national (public/privé) - Sources du droit objectif: sources écrites (nationales, communautaires, internationales), le rôle de la jurisprudence - Concept de personnalité juridique, comparaison personne physique/personne privée • Les acteurs de la vie des affaires - Notion de commerçant et actes de commerce - Sociétés: intérêt d'une structure sociétaire, étapes de la création d'une société, principales clauses des statuts, filiale, succursale, joint-venture. Droit comparé. -

Qu’est-ce que le droit ? 132 A) La règle, essence du droit 132 B) Les divisions du droit, organisation des règles juridiques 133 1- La division fondamentale, droit privé / droit public 134 a) Définitions 134 b) Distinction 134 2- Les divisions internes au droit public et au droit privé 134 a) Du droit public 134 b) Du droit privé 134 C) La qualification juridique, mise en œuvre des règles de droit 135 §2- L’organisation judiciaire française 136 A) Les principes directeurs

de recours extraordinaires 20 ♣ Le recours en cassation 21 ♣ Le recours en révision 21 Chapitre 3 : La preuve 21 I. La charge de la preuve 21 A. Le principe 21 B. Les exceptions au principe 21 II. Les modes de preuve 22 A. Typologie 22 ♣ La preuve écrite ou preuve littérale 22 o Les actes authentiques 22 o Les actes sous seing privé 22 o Les autres écrits 22 ♣ L’aveu 22 o L’aveu judiciaire 22 o L’aveu

classification est très importante car elle permet de déterminer la juridiction compétente. Juridictions intervenant dans la phase de l’instruction. On trouve ici les juridictions d’instruction qui ont pour mission de rassembler les preuves. Et de décider au vu des preuves rassemblé s’il convient ou non de renvoyer la personne poursuivie devant la juridiction de jugement. Il s’agit du juge d’instruction et de la chambre d’instruction. Interviens aussi dans la phase de l’instruction le juge des libertés

doctrine qui définit cette notion mais de façon non unanime ; il y a principalement 2 approches (dans l'ordre chronologique) : ⁃ ● l'approche objective / physique / matérielle : le bien est une chose appropriée → élément matériel et élément juridique. ⁃ Cette approche classique repose fondamentalement sur un rapprochement entre la notion de bien et la notion de chose. Les biens sont donc des choses du monde physique, des choses matérielles, corporelles et c'est la conception du Code Civil

Ou s’arrête les principes fondamentaux ? Où commence le détail ? En pratique le Parlement régi lorsque s’empare d’une affaire. C) Le règlement : Les règlements ont été votés par le Parlement dans la plupart des cas. Les règlements sont des actes pris par le Gouvernement, tout ce qui n’est pas du domaine de la loi, tout ce qui n’est pas visé par l’article 34 fait que le Gouvernement est apte a agir, il est compétant. La plupart des règlements sont des règlements d’application. Tous les règlements