Moïse et le monothéisme

économique ou militaire, offrait à la théologie de meilleurs modèles. De là un polythéisme organisé, remplacé à son tour, chez les populations les plus avancées, par un monothéisme de plus en plus abstrait. Le premier état de nos conceptions de tout ordre s'appellera donc l'état théologique. Le fétichisme, le polythéisme, le monothéisme en seront les principales subdivisions. Ce progrès qui conduisait du concret à l'abstrait, du désordre à l'ordre, de l'incohérent au cohérent, tendait, au fond, à régler

patriarcat - Égypte - Origine des Egyptiens - Hiéroglyphes - Le Cercle d'Or - Le Grand Labyrinthe - Pyramides, Sphinx - Leur religion - Pharaons - Civilisation égyptienne - Moïse - Jésus Christ - Lignée de Jésus - Origine de Jésus - Naissance de Jésus - Famille de Jésus - Initiation de Jésus - Le Christ - Le dernier repas - La crucifixion de Jésus

son opus qu’est La montagne magique que l’auteur développe le thème de l’expérience corporelle initiatique, dans ce cas, à travers la maladie. Cette « philosophie de la maladie » se pose comme la religion de la transcendance du corps, où « tel Moïse au Sinaï, le jeune homme a dut gravir la montagne magique pour devenir le dépositaire d’une vérité sacrée. « Ce qu’il a appris, dira Thomas Mann dans sa conférence de Princeton, c’est que pour accéder à une santé supérieur, il faut avoir traversé l’expérience

prédicateurs étaient dotés de pouvoirs tellement étonnants qu'ils ne pouvaient émaner que d'une divinité. Maniés avec dextérité, des dons aussi précieux contribuèrent à convertir des foules qui cherchaient de leur côté des signes manifestes pour se rallier. Moïse et Jésus, à l'instar d'autres Prophètes, furent de grands faiseurs de miracles. Cela est attesté aussi bien par l'Ancien Testament que par les Evangiles et confirmé par le Coran. Il serait pourtant faux de croire que l'engouement des fidèles doive

fonction paternelle dans l'éclosion des psychoses, l'absence du «nom du père» dans l'étiologie de la psychose, la forclusion du Nom du père, le meurtre du père, le père de la horde primitive, la carence de l'image du père, Dieu-le-Père dans le monothéisme, la métaphore paternelle, la Loi comme postulat au père, ..., la psychanalyse interroge la fonction, réelle, symbolique ou imaginaire, ainsi que la place du père dans l'économie psychique du sujet (enfant ou adulte). Les cliniciens également se

politique. Ensuite, plus déterminante est la conception straussienne du christianisme, dont on a vu qu’il est à l’origine du problème théologico-politique, solutionné par la philosophie moderne. Pour Strauss, ce problème repose sur le fait que le monothéisme chrétien n’a pas pour projet de fonder une communauté politique (ce qui en tant que tel, est incontestable), mais la foi, c’est-à-dire un rapport personnel à Dieu, qui se traduit par l’amour de Dieu et l’amour du prochain. Ce double commandement

beauté ? Voyage de 2 à 3 jours prévu en fin d’année Jean-Jacques CESBRON _______ Vendredi 10 h 30 38 nouveau OCCIDENT, ORIENT : RENCONTRE OU CHOC DES CULTURES ? _______ Vendredi 14 h 00 39 Les points communs Le monothéisme : d’Abraham à Moïse,de Moïse à Jésus ; de Jésus à Mahomet « un dieu unique » Une pensée linéaire : Passé, Présent, Futur Les grandes rencontres Accueil des premiers musulmans en terre chrétienne Les lieux saints soumis à l’Islam Les croisades de Vézelay à Jérusalem

droit dans la tradition sumérienne et sémite Section 1. Tradition sumérienne et sémite, tradition indo-européenne Deux grandes sources de la philosophie occidentale : • la tradition sémite et sumérienne : Écoute (sh’ma Israël !), monothéisme, conception linéaire de l'histoire, légitimation religieuse du droit, Dieu et la vérité se donnent, la nature est créée • la tradition indo-européenne : Vue (ex. "théorie"), polythéisme, vision cyclique de l'histoire, sagesse d'homme, à la portée

reproches, du remords. Quand le moi a fait au surmoi le sacrifice de quelque satisfaction de ses instincts, il en attend, en retour, un surcroît d'amour. Le sentiment d'avoir mérité cet amour se transforme en fierté. » Freud, Moïse et le monothéisme C) La critique de la notion freudienne d’inconscient : Texte de Sartre sur la mauvaise foi (p69) et la censure de l’inconscient forcément consciente de soi : Epreuve du sujet-texte : « Si en effet nous repoussons

1 - Présentation. Le sacrifice d’Abraham ou la ligature d’Isaac « il rira » (Genèse 22 ; 1-14) est présent, selon des angles de lecture différents, dans les trois religions du Livre. Encore aujourd’hui, « le sacrifice inaugural du monothéisme » selon le mot de Guy Rosolato, joue un rôle dans les grandes fêtes : après avoir d’abord été rattaché à Pessah, fête de Roch ha shannah pour le Judaïsme (au début du printemps, prières et rituels célèbrent la fertilité de la Terre dans l’attente