Monarchomaque

durant les guerre de religion on a pu assister a des faction de ligue et de protestants, partisan armé, ces deux faction opposé avaient développe des idée nouvelle en particulier l’idée d’un pouvoir royal limiter. Ces auteurs ont les appelé les monarchomaques, on relève deux références, recoure un grand auteur a saint thomas d’Aquin il s’inspire de l’œuvre de celui sur laquelle si le pouvoir a une origine divine ce pouvoir est transmis par dieu au roi par l’intermédiaire du peuple. Il condamne par

de façon publique. La langue de la renaissance rend accécible pour tt le monde la republica en la transformant en moyen et non une fin. Bodin est un homme de son temps, il voit les revendications politiques des religieux mettant à mal ……..Les monarchomaques justifient l’assassinat des prince ………. Et les guerres de religions vont fragiliser les pouvoirs. La religion motrice d’ordre devient facteur de désordre. Bodin veut résoudre cette équation en s’engageant au service du roi de France toute fois

l'inaliénabilité des biens de la couronne dont le roi n'est que le dépositaire. Dans les Six Livres de la République (en langue vulgaire), Bodin tente de restaurer la théorie monarchique contre le pragmatisme philosophique (Etat fondé sur la force) et les Monarchomaques (adversaires du pouvoir royal qui prônent le droit de résistance, de tyrannicide, voire de régicide/ Théodore de Bèze, Hotman). Il utilise la méthode historique (rejette la scholastique et l'utopique), surtout l'histoire constit. des principaux

lettres de noblesse. Les réactions de la réforme: 1° Les monarchomaques protestants: un certain nombre d'auteurs protestants multiplient les pamphlets à l'égard du pouvoir contre les persécutions ( assassinat du duc de Guise, de Marie Stuart, saint Barthélémy). Une véritable doctrine politique voit le jour proclamant le droit à la résistance. Leurs auteurs nient le pouvoir personnel, monarchique, d'où le nom de monarchomaques qui leur est attribué dès 1600. - François Hotman: professeur

Dieu en voulant que les Hommes vivent en société a donner le pouvoir pour qu’ils puissent vivre pacifiquement. MAIS la cité voulant satisfaire le bien commun si le pouvoir ne remplit plus cette condition il n’y a plus lieu d’obéir Au 16e, les monarchomaques (contre un pouvoir qui n’en fait qu’à sa tête) disent que l’obéissance est conditionnée. Pour eux les gouvernés s’engagent à obéir seulement si les gouvernants s’engagent à satisfaire le bien commun. Au 16e Machiavel écrit son ouvrage « le prince »

ces derniers se réunissent pour la dernière fois le 27 octobre 1614 face à Marie de Médicis, ils ne se réuniront plus avant le 5 mai 1789. Le monarque dirige donc le royaume seul. L’absolutisme est soutenu par le peuple. Mais certains, appelés monarchomaques, veulent limiter la monarchie, comme François Hotman dans la Franco-Gallia (1573) ou encore Théodore de Bèze dans son traité Du droit des magistrats sur leurs sujets (1575), les protestants veulent protéger leur foi et la Ligue (les catholiques)

du contrat social porte toujours à la fois sur les préférences politiques des auteurs (éventuellement sur les principes d’action qu’ils formulent) et sur leurs conceptions de l’état de nature et de la forme du contrat. 2. De l’Antiquité aux monarchomaques À partir du Ve siècle avant J.-C., la philosophie grecque est marquée par l’opposition entre la nature physique qui est immuable et les mœurs des hommes qui sont changeantes. D’où la distinction entre nature et conventions. Le point de départ

parcelle de la souveraineté. C'est « une notion individualiste et atomistique qui est proposée ». Exemple d'application : constitution de 1793 . 2° La souveraineté nationale Il s'agit d'une conception plus ancienne qui vient des monarchomaques de la Renaissance. Elle sera reprise au XVIIIème siècle par nombre d'auteurs dont E. Sieyès (_Qu'est-ce que le Tiers-Etat ? _1787-1788). Ici, la souveraineté appartient à la nation personnifiée par l'Etat. l'Etat est la nation juridiquement

ouvertement contestée, avec toute une réflexion sur la tyrannie et le tyrannicide : courant de pensée « monarchomaque » avec la multiplication de pamphlets catholiques (Cf. les « ligueurs » parisiens) ou protestants (Cf. par exemple François Hotman, 1524-1590). Cf. l’assassinat de deux Rois successifs, Henri III (1589) et Henri IV (1610). La réflexion de La Boétie sera récupérée par ce courant « monarchomaque » : première édition posthume par des calvinistes. Face à la pensée politique de l’UN, une pensée

Le déclin de la monarchie française au 19ème siècleLa monarchie absolue désigne un régime politique où le pouvoir est détenu par un seul chef, le monarque ou souverain. Il s’agit d’un régime politique qui a su garder une certaine stabilité pendant plusieurs centaines d’années, mais qui n’a su faire face aux changements, sociaux, politiques, économiques et constitutionnels survenus en 1789.De grands principes, implicitement déclarés comme étant contre la monarchie ont été promeut. On compte notamment