Monarchomaque

conditions de signature du pacte diffèrent. Des hommes tels Jean Jacques Rousseau, Thomas Hobbes, ou encore John Locke ont vu le point de départ de leur pensée dans la volonté humaine de se regrouper. Les ancêtres de ce mouvement de pensée sont les monarchomaques, qui envisagent le point de départ de leur pensée dans l’existence d’un « contrat », d’un « pacte », librement consenti, une sorte d’obligation entre le souverain et ses sujets, un échange de consentement. Les sujets devront obéissance à leur

siècle, une remise en cause de l'idée de l'Etat, résultat de la volonté divine. 2/ L'Etat, résultat de la volonté humaine. A partir du 16ème siècle, on ne parle plus de fruit de la volonté divine mais plus d'un contrat entre les Hommes. Les monarchomaques ont imaginé l'idée d'un contrat conclu entre les Hommes dans les temps anciens. Ce contrat prevoyait que les sujets acceptaient d'obéir au monarque. En échange, le monarque respectait certaines libertés. Si le monarque ne remplissait pas le contrat

les prétentions des parlements à être des organes de la Nation et déclarer de la continuation de la phrase précédant avec « qu’il est le siège, le tribunal , l’organe de la nation. Ces idées sont issues d'idées avancées au XVIe siècle par les Monarchomaques et au XVIIe siècle par le Parlement de la Fronde. Ils ont été ravivés dans la bulle de sagesse des Lumières. Rappelant sa réfutation de la théorie des classes précédemment formulée, Louis XV dénonce « Un corps imaginaire » et affirme que « les

favorisée dans toute l'Europe, ce qui va conduire à des changements de type de pouvoir en Europe. La Saint Barthélémy va lever les derniers scrupules qui retenaient les protestants. 2) Les théories monarchomaques Ceux qui veulent détruire le pouvoir d'un seul, le tyran. On accuse ces monarchomaques de vouloir détruire la monarchie et favoriser la démocratie et donc l'anarchie. En France, suite à la Saint Barthélémy, les villes protestantes du sud coupent leurs liens avec le roi et se constituent

penseurs qui étaient aussi bien protestants que catholiques. On appelle ces auteurs les : monarchomaques = tueurs de roi. Ces monarchomaques disent : les rois de France en 987 avaient été élus, Hugues Capet avait été élu par une assemblée de féodaux, et il s'est trouvé qu'à la mort du Roi, habitude a été prise, transmettre la couronne au fils ainé du roi. C'est ce qu'on appelle une dynastie. Au 16°s les monarchomaques disent puisque le roi s'est approprié la couronne il faut lui la reprendre, et si il

force et la ruse ttes ses actions sont justifiées par la « raison d’état » * Les partisans de l’absolutisme vont puiser dans les idées de Machiavel. B. Les monarchomaques. * Mouvement d’opposition à la monarchie émane des doctrinaires protestants après le massacre de la St Barthélémy* : ce sont les monarchomaques (=combattre le gvt d’un seul) : * Ils rejettent la tte puissance du roi. * Condamnent l’absolutisme. * Remettent en cause la monarchie héréditaire. * Ils

légitime. La liberté chrétienne n’a pas de sens temporel et elle ne pousse pas à la révolte. Selon lui, il ne faut pas cacher sa vraie foi afin d’éviter les persécutions. Il perçoit cette pratique comme un manque de courage. Chez les coreligionnaires monarchomaques de Calvin, la théorie de la résistance légitime contre le tyran est une pensée plus extrémiste. Ils sont d’avis que le pouvoir d’un seul est faible et mène à la tyrannie. 4. Qu’est-ce que la « convivencia »? Donnez des exemples. Suite à la

son soucis de la pratique, sa volonté d’adopter le droit romain aux problèmes concrets du 16e s, répondre aux questions qui se posaient alors. L’auteur le plus représentatif de cette école s’appelle Hotman François, s’est un des ministres et un monarchomaque (ceux qui combattent le monarque). Son œuvre se caractérise par le souci de la pratique et la remise en ordre du droit qui se manifeste déjà dans le projet de codification du droit français. Ce projet est soutenu par le grand homme d’état de l’époque

Le Royaume est déchiré. Selon les monarchomaques, Dieu ne donne pas son pouvoir directement au Gouvernement, il attribue son pouvoir au peuple et le peuple choisi librement de donner l'ensemble de son pouvoir au Roi. Tyrannicide => On tue le tyran si il ne correspond pas aux attentes de la population cela est arrivé deux fois : Henri III ( le moine Clément ) et Henri IV ( par Ramaillac ). Jean Bodin et Bossuet vont trouver la théorie des monarchomaques complétement ignoble, comment peut-on

construite autour des théories du contrat social. L’Etat aurait pour origine un contrat entre les hommes lors du passage de l’Etat naturel (sans loi) à la société civile (soumise à un minimum de règles). Les principaux partisans : - Tous les monarchomaques du XVIème siècle. Dans les temps très ancien, un contrat et un pacte de suggestion avait été passé entre le futur roi et ses sujets où ses derniers promettaient l’obéissance contre l’engagement du monarque de garantir leurs libertés. - L’idée