Monoprix Gourmet

solides arguments. « Les consommateurs ne sont pas dupes, assure un distributeur. Ils ont compris que, bien plus que le produit de la marque nationale, ils paient aussi les moyens en marketing et en communication engagés pour en faire la promotion. » Monoprix a franchi le pas il y a plus de dix ans, sur les cosmétiques, avec Miss Helen - 10 % de quote-part aujourd'hui - et en 2006, sur la nutrition infantile, avec Bout'Chou, marque venue du textile. Même chose chez Auchan. La gamme en parfumerie-hygiène

1.1 – L’évolution des loisirs, origines du marché du Coffret Cadeau. 6 1.2 Les principaux acteurs du marché: un environnement très concurrentiel malgré un leadership incontestable. 9 1.2.1 Sport & Découverte 10 1.2.2 Wonderbox 11 1.2.3 Idéal Gourmet 12 1.2.4 Magic Day 13 1.3 Présentation de Weekendesk France : Les plus de Weekendesk. 14 1.3.1 Dernier chiffres. 14 1.3.2 fonctionnement de cette innovation : description du produit. 16 2 – SPéCIFICITé DE La stratégie marketing Weekendesk 18

2000 le Groupe prend une participation dans le capital de Cdiscount, société de ventes en ligne, et  augmente sa participation dans Monoprix à hauteur de 50 %      ­ ​ 2001​ , le Groupe s’associe avec LaSer Cofinoga pour créer la Banque du groupe Casino.      ­ ​ 2002​  lancement du programme de fidélité     ­ ​ 2007​   lancement du Drive     ­ ​ 2013​ , Casino prend le contrôle total du Groupe Monoprix    ➢ A L'INTERNATIONAL      ­  ​ 1970​ ,  début  de  la  stratégie  d'internationalisation  en  s’implantant  aux 

distribution. Les cofondateurs mettent en place une petite lettre type de demande de référencement de produits que le consommateur peut faire signer au commerçant de son quartier afin que soient vendus à proximité les gourmandises de Michel & Augustin. Monoprix séduit par leur communication décalée sera le premier grand magasin populaire à faire place à la marque. A partir de ce moment et rapidement, la distriubtion deviendra plus concéquente, à mesure que les grandes distributions se l’arrachent. Atac

4%) qui pratiquent le bio sur 1 534 exploitations (2,06% des superficies totales). En 2002, il y avait 69 % des distributeurs qui étaient favorables au développement des marques propres. La moitié d'entre eux avaient déjà franchi le cap, comme Monoprix, Champion, Cora, Carrefour ou Casino qui, après les hypermarchés, lança également sa gamme dans ses supermarchés. Au total, les Français dépensent ainsi 20,3 euros en moyenne par an pour acheter des marques de distributeurs bio, contre 45,1 euros

DISTRIBUTEURS : MÉFIANCE ! Les grandes chaînes de supermarchés distribuent de nombreux produits alimentaires sous leurs propres marques. Ces « marques de distributeurs » peuvent porter le nom de l’enseigne : c’est le cas des produits Carrefour, Auchan, Monoprix, Casino ou Leaderprice. Elles peuvent aussi avoir un autre nom : par exemple, Marque Repère chez Leclerc, Dia chez Ed, Reflets de France pour Champion, Chabrior chez Intermarché ou encore Le Savoir des saveurs pour Système U. La quasi-totalité de

l’assortiment de l’enseigne en vue de satisfaire des besoins particuliers de consommation tels que: – le bio : « Casino Bio », « Monoprix Bio », « Carrefour Agir Bio », « Septembre 2010 Bio U » ou encore « Nature Bio » Cora – le raffiné : « Carrefour Sélection », « Monoprix Gourmet », « Casino Délices », « Mmm ! » Auchan, « Les saveurs U » ou « Savoirs des Saveurs » U – la santé : « Monoprix Bien être », « Carrefour Agir Nutrition » ou encore « Form’U » – l’éthique : « Carrefour Agir Solidaire » ou encore «

dégustation Marketing de point de vente Placement : point de vente, grande distribution 5. Unilever : Carte d’or, Maison ORTIZ, MIKO Mirage Nestlé : Exquise, Gervais Conditionnement : 1 bac de 1L Pub : Spots TV Marque de Distributeurs Gourmet de Monoprix. II. La Marque Definitions : AMA American Marketing Association. Destiné à s’identifier un service d’un vendeur ou d’un groupe de vendeur afin de se différencier de ses concurrents. Un signe susceptible de représentation graphique

usine de Munster, Jean-Pierre Barjon s’attaqua aux épiceries fines de Paris. Ses premiers clients ont été ceux du Bon marché, puis Lafayette Gourmet. Pour devenir plus rentable, Jean-Pierre Barjon cherche à distribuer sa limonade en Grandes et Moyennes surfaces, et très vite, sans quelques difficultés, la Lorina s’impose dans les linéaires de Monoprix, puis Leclerc, etc. Ce circuit a été mis en place car c’est stratégiquement intéressant pour l’entreprise Geyer et pour le distributeur. En

distribution : l’extension de magasins urbains, en particulier en centre villes, pour capter les consommateurs pressés à la pause déjeuner et ainsi concurrencer les autres circuits implantés dans ces zones (sandwicheries et boulangeries). L’exemple de Monoprix avec ses enseignes Monop’ et Daily Monop’ est révélateur de cette offensive. Enfin, les chaînes de boulangerie et sandwicheries ambitionnent d’ouvrir encore des points de vente. C’est notamment le cas de Paul ou encore de La Croissanterie au risque