Monstres Et Monstruosité

Faibles projets d'un coeur trop plein de ce qu'il aime ! Hélas ! je ne t'ai pu parler que de toi-même. Venge-toi, punis-moi d'un odieux amour. Digne fils du héros qui t'a donné le jour, Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite. La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte ! Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper. Voilà mon coeur. C'est là que ta main doit frapper. Impatient déjà d'expier son offense, Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe. Ou si tu le crois indigne de tes

> Le parallélisme « Dans la même prison, le même mouvement » : les enfants sont donc pris dans un mouvement répétitif > Registre fantastique ; Hugo invente une nouvelle créature mythologique : l'industrialisation. Champ lexical de la monstruosité : « monstre », « hideux », « enfer », « sombre »… > Métaphore filée : les dents sont des rouages qui écrasent et tranchent, qui dévorent les enfants. Cela peut se rapporter au dieu du temps, Chronos, qui, dans la mythologie grecque représente justement

héros, Circé tient son rôle de magicienne et renseigne Ulysse dans les étapes qui l'attendent. Nous verrons d'ailleurs que ce dernier n'aurait jamais parvenu à les achever sans Circé. Vers 39 à 55 : D'abord, elle le renseigne sur les Sirènes, monstres à forme humaine, qui ensorcèlent les hommes d'un « chant clair ». Elle lui donne les moyens de survivre d'une manière rusée à ce sortilège des vers 47 à 54. Sans cet astuce, Ulysse ne serait pas parvenu à résister à l'enchantement des sirènes. Les

et blanc, est devenu un "film culte". Lynch a manifesté son goût pour l'insolite dans un plaidoyer humanisteen faveur des exclus de la société avec Elephant Man,qui le fit connaître. 3. John MERRICK alias "l'homme-éléphant" est considéré comme un monstre à cause de son physique difforme et son comportement semblable a celui d'un animal. Il se déplace mal, il boite et marche à l'aide d'une canne. Afin de pouvoir s'exprimer il pousse des grognements d'animaux, il agit comme tel car l'on peut voir qu'il

et est un peu sauvage. • Mots important (souligné dans le texte) V1 :Hipp. : " Je pars " Pq ? Retrouver Thésée V21v20-21) :Théra. : " ce héros " = Thésée (coureurs de jupons, séducteur cf. v20-21). Celui qui purifie la terre du mal (tue les monstres) V28 :Hipp. : " je fuirais " Pq ? (cf. v33 : " vous en chasse ") cause : Phèdre V45 :Théra. : " elle s'obstine à taire " le silence est un thème principal (carré) V49-50 :Hipp : insistance sur fuir et "avouerai" V51 :Hipp. : allusion à la querelle

LE MONSTRE Pour croire à la pieuvre, il faut l'avoir vue. Comparées à la pieuvre, les vieilles hydres font sourire. À de certains moments, on serait tenté de le penser, l'insaisissable qui flotte en nos songes rencontre dans le possible des aimants auxquels ses linéaments se prennent, et de ces obscures fixations du rêve il sort des êtres. L'Inconnu dispose du prodige, et il s'en sert pour composer le monstre. Orphée, Homère et Hésiode n'ont pu faire que la Chimère ; Dieu a fait la pieuvre.

avec diffèrent monstres. En effet l’auteur emploie une comparaison qui vient comparer le vielle homme a un sarcophage que nous trouvons à la ligne 18 ‘’ qui semblait être sorti d’un sarcophage voisin’’ ensuite il vient à le comparer à un fantôme ‘’ de cette espèce de fantôme » ligne 19 cela permet de mettre en valeur la laideur et la monstruosité du vielle homme. Ensuite Balzac utilise une oxymore » animait les yeux immobiles » ligne 19 en faisant ainsi il accentue sa monstruosité. Ensuite afin

ombre) qui tient l’urne fatale dans la nuit infernale (94–). Surtout : Phèdre se réfère (mais bien sûr de façon très allusive) à la monstruosité de sa mère et à ses égarements (46-), au feu fatal à tout mon sang (66-), à son sang déplorable (47-). Phèdre relève cette hérédité et se reconnaît – même si c’est négativement – en elle : elle se définit elle-même comme un monstre (67-), évoque ses ardeurs insensées (71-). Oenone n’apporte pas de dénégation à cette réalité mytho-biologique, qu’Hippolyte quant

la prière («Prophète», «prosterner», «sacrés encensoirs», «portes fidèles») - Mis en relation celui du sauvetage/échec («sauve», «meure», «en vain», «ils sont passés») Montre que les prières effectuées par le narrateur va permettre l’échec des monstres s’attaquant à la maison et garantir la sécurité du narrateur 2. Les temps verbaux  « Ils sont tout près! «  « Prophète! Si ta main me sauve […] J'irai prosterner mon front chauve »  « Fais que sur ces portes fidèles Meure leur souffle

difficile de déterminer si la scène se passe dehors ou dedans et s'il fait jour ou nuit. Cette confusion n'est pas du au hasard mais au génie de Picasso : il voulait montrer l'horreur et la force des bombardements. Afin d'accentuer la terreur et la monstruosité de l'événement, Picasso a peint des détails comme les longs cous, les langues en lame, les yeux en forme de larmes et les membres écorchés sur ses personnages. L'espoir est, lui, symbolisé par la colombe dans l'ombre entre la tête du taureau et