Montaigne Quand Je Danse Je Danse

exemple, Le langage des abeilles (K.V.Frisch) (1948) (1) Quand une abeille isolée découvre un butin, on la marque avant de la laisser retourner à la ruche (2) Peu après, on constat qu'un groupe d'abeilles, parmi lesquelles ne se trouve pas la première, se rend au même endroit. Il a donc fallu que la messagère ait informé ses compagnes (3) En effet, rentrée à la ruche, elle s'est livrée à une danse que les autres ont suivie. Cette danse peut prendre deux formes : a) soit un simple cercle, si

LA n° 1 : Les Essais, Montaigne, 1595, « De l’institution des enfants », I, 25, de « Savoir par cœur n’est pas savoir » à « et auquel, si vous ne la formez de bonne heure, la langue ne se peut plier. » 5 10 15 20 Savoir par cœur n’est pas savoir : c’est tenir ce qu’on a donné en garde à sa mémoire. Ce qu’on sait droitement, on en dispose, sans regarder au patron, sans tourner les yeux vers son livre. Fâcheuse suffisance, qu’une suffisance pure livresque ! Je m’attends qu’elle serve

Prenons par exemple un perroquet qui ne fait que répéter les mots qu’il entend. Il ne formule pas sa propre pensée mais imite la pensée de l’homme. Cependant, l’homme qui est «né sourd ou muet» (par. 54) a été «privé [de la] par[ole]» mais invente, quand même, un langage par lequel il peut s’exprimer . C’est ce qui prouve que les animaux n’ont pas de raison car, eux, n’ont pas la capacité de substituer le langage créé par un de leurs cinq sens par un autre, comme les humains. En parlant d’imiter

Quand je danse, je danse ; quand je dors, je dors ; voire et[1] quand je me promène solitairement en un beau verger, si mes pensées se sont entretenues des occurrences étrangères[2] quelques partie du temps, quelque autre partie je les ramène à la promenade, au verger, à la douceur de cette solitude, et à moi. Nature a maternellement observé cela, que les actions qu’elle nous a enjointes pour notre besoin nous fussent aussi voluptueuses ; et nous y convie, non seulement par la raison, mais

genres de l’argumentation. Lecture cursive personnelle : Montaigne, Essais. Textes choisis : « De l’oisiveté » (p10) ; « Par divers moyens on arrive à pareille fin » (p34), « De l’institution des enfants » (p58). + « Au lecteur » p.9. Questions d’ensemble. Quel est le projet des Essais ? voir synthèses Quelle est la place de l’autobiographie dans les Essais ? Les Essais ne sont pas un journal intime, même si, en s’analysant, Montaigne se reconnaît différent selon les moments. Ils ne sont pas

produit. JEUNESSE arce que je suis jeune, on me place à l'ombre d'une “ crise d'adolescence ” ; parce que j'ai des rêves, on me reproche d'être trop naïve ; parce que je crie, je danse, je bouge, on me jette à la figure en un regard “ jeunesse se passe, heureusement ”. Alors quoi ! ? La vie est si triste quand on se dit mûr ? Où sont passées votre jeunesse, vos ambitions ? Parce que nous sommes tous des enfants, parce que la vie est belle, il m'arrive de souhaiter que l'imagination, l'humour

littérature | |PROBLEMATIQUE RETENUE |française ? | |LECTURES ANALYTIQUES |- texte 1 : Montaigne, Essais, III, XIII (1580), « Quand je danse, je danse… » | | |- texte 2  Pascal : « Divertissement » extrait des Pensées, 181 : (1670), manuel Magnard p.370 | |

qu’on l’abandonne à l’humeur mélancolique d’un furieux maître d’école. Je ne veux pas corrompre son esprit à le tenir à la géhenne1 et au travail à la mode des autres, quatorze ou quinze heures par jour, comme un portefaix. Ni ne trouverais bon, quand 5 par quelque complexion solitaire et mélancolique, on le verrait adonné d’une application trop indiscrète à l’étude des livres, qu’on le la lui nourrît, cela les rend ineptes à la conversation civile et les détourne de meilleures occupations. Et

sujet comprend : Texte A : Michel de Montaigne, De l’expérience in Essais III, 1588. Texte B : Jean-Jacques Rousseau, Cinquième Promenade in Les Rêveries du Promeneur solitaire, 1778 Texte C : Alain, « la danse des poignards » in Propos sur le Bonheur, 1928. Texte D : Albert Camus, « Noces à Tipasa » in Noces, 1939. Texte A : Michel de Montaigne, De l’expérience. 5 10 15 20 Quand je danse, je danse ; quand je dors, je dors ; voire et quand je me promène solitairement en un beau

I) a/ °Montaigne évoque l’insouciance des hommes °Mise en scène de la mort subie °Il évoque de façon imagée l’angoisse de la mort °Tant que la mort n’est pas, l’homme fait preuve de désinvolture, et lorsqu‘elle surgit , il est désespéré °Montaigne fait preuve de condescendance pour le commun des mortels b/ °Montaigne exhorte les lecteurs à apprivoiser la mort Gradation : « ils viennent ils trottent ils dansent » Opposition et personnification : « mais quand elle arrive »