Morphine

Histoire, caractéristiques, argotisme : L'héroïne est un dérivé de la morphine, et l'opiacé le plus utilisé en usage illégal. Elle est détectable pendant 2 à 4 jours dans l'urine et dans le sang. Synthétisée pour la première fois en 1874 à Londres, mais son potentiel n'est pas reconnu avant qu'elle ne soit de nouveau synthétisée en 1898 par un chimiste allemand. On l'utilisa d'abord comme produit de substitution à la morphine, comme anti-douleur, et elle fût à la fin du 19ème siècle commercialisée

feuilles de cocaïer. * Lorsqu'elle est "sniffée", elle est appelée "ligne de coke" ; elle est aussi parfois injectée par voie intraveineuse ou fumée, principalement sous forme de crack L'Héroïne * puissant, obtenu par synthèse à partir de la morphine, extraite du pavot. * L'héroïne se présente sous la forme d'une poudre ou de granulés à écraser. Longtemps injectée par voie intraveineuse, l'héroïne peut être aussi prisée (sniffée) ou fumée. IV. Les causes de l’utilisation de la drogue

différentes substances dopantes : -les substances qui provoquent un sommeil profond, un état léthargique (dans un état de torpeur, d'apathie ou d'inactivité) ou qui allège la douleur sont appeler Narcotiques (principalement les opiacés, la morphine C17 H19 NO3, la marijuana C21 H30 O2), la cocaïne -les Stimulants.( les amphétamines(l'amphétamine est considérée comme un stupéfiant, connu sous le nom de speed.), et la cocaïne C17 H21 NO4, la caféine, l'éphédrine ), consommés pour accroître

peut être pris en charge sous MEOPA ou si son efficacité n’est pas optimale, une prémédication avant le soin peut être mise en place à défaut ou en association. Cette prémédication sera soit un anxiolytique (Hypnovel®) ou un antalgique (Nubain® ou morphine). Avant la médication, nous pouvons trouver des moyens non médicamenteux. Ces moyens permettent d’agir sur le stress de l’enfant. Nous pouvons trouver les méthodes de distraction, le soignant va focaliser l’attention de l’enfant à autre chose que

bénigne de la prostate : 1x/jr Xarelto 10 mg (nouveaux anti-coagulant) en prévention du risque TEV : 1x/jr Doliprane 1 g (antalgique de palier I) : 4x/jr Acupan (antalgique palier I) en si besoin toutes les 6h Actiskénan (antalgique palier III : morphine) en si besoin, toutes les 6h Tardyféron (supplémentation en Fer) pour prévenir l'anémie : 2x/jr béquilles bas de contention vessie de glace kinésithérapie pour la mobilisation surveillance des constantes 4x/jour dextro 3x/jour Vécu : Résumé d'hospitalisation :

effets sur le système nerveux central Le GHB a de nombreux effets neurologiques. Il se lie aux récepteurs GABA-B du cerveau, inhibe la libération de la noradrénaline dans l'hypothalamus, et régule la libération d'une substance naturelle proche de la morphine dans le striatum. Le GHB est un dépresseur du système nerveux central. Une dose de 10 mg/kg produit une hypotonie et une petite amnésie, une dose de 20 à 30 mg/kg une somnolence puis le sommeil, une dose de 50 à 70 mg/kg une hypnose et un coma

De l’aspirine à la morphine en passant par les analgésiques les plus variés les cures ou thérapie avec les médecins, les moyens ne manquent pas pour agir contre la souffrance. Mais la souffrance, elle, est plus radicale que la douleur. On peut souffrir dans son cœur sans avoir mal dans son corps. Il est même tout à fait possible au milieu d’une atroce douleur de vivre en même temps une incroyable joie, comme une femme qui accouche par exemple. Souffrir c’est donc être plongé dans une douleur physique

hôpitaux. ***** Chirurgien orthopédiste. Service de chirurgie orthopédique et traumatologique. Hôpital Lariboisière, Paris. KS n° 425 septembre 2002 15 P r otocole de rééducation postopér atoir e immédiate après pr othèse totale du genou – la morphine en injection souscutanée (l’action maximale est à 1 h de l’injection) ; – l’analgésie locorégionale péridurale ou périnerveuse : - l’analgésie péridurale est obtenue par l’injection continue d’anesthésique local. Le plus souvent utilisé actuellement

toute l’équipe est un peu agacée par cette dame, qu’il ne fallait pas être trop dans l’empathie pour cette dame qui allait sinon devenir de plus en plus exigeante envers l'équipe soignante, que son traitement est adapté (parce que ne supporte pas la morphine et que le dernier oxynorm a été pris à 15 h 00, c'est à dire il y a de 2 h 00). Que sa fille la conforte dans ses plaintes ce qui amplifient ses angoisses et donc ses souffrances. Cette situation m'a interpellé, d'une part, parce que dès mon entrée

urinaire et une baisse de la pression dans les voies excrétrices, d’où une diminution de la douleur. La restriction hydrique suit le même but et doit être poursuivie tant que la douleur n’a pas cédé. Des antalgiques (allant jusqu’à l’utilisation de Morphine) peuvent aussi être donnés ainsi que des antispasmodiques. Il faut surveiller la diurèse et la température. Les urines sont tamisées pour récupérer le calcul en cas d’émission. Le bilan initial comporte un ECBU, une bandelette pour le pH, une