Mos majorum

rapports entre Gorthinien. §2 : Les sources du droit romain A Rome, on parle du Ius civile (droit du droit des citoyens romain) ce droit s’applique qu’au citoyens. I. Les sources de droit dans la république Première source : La coutume (mos majorum = mœurs des ancêtres), quand la coutume n’est pas respecté il y a sanction par le pater familias (patriarche du clan). Seconde source : La loi (lex) , il y a 800 lois, 25 des 800 sont du droit privé et la plus importante est la loi des 12 tables

deux versants du pouvoir qui s'opposent dans Bérénice, mais aussi deux conceptions de l'unité du héros : l'unité de Titus, la réconciliation avec lui-même, l'emportent, pour Bérénice, sur les intérêts de Rome ; pour Titus, au contraire, seul le mos majorum — l'usage ancestral, la tradition — peut lui rendre l'intégrité que menace le déchirement tragique, c'est-à-dire l'unité de la « constance » (c'est tout le sens de la dernière tirade de Titus à la scène 5 de l'acte IV). Le temps tragique

important modifiant les rapports sociaux et l’organisation de la société, c’est pour cela qu’ils adoptent rarement des lois. Ce sont des lois sur les droits politiques des citoyens et sur l’organisation. §I.La coutume, une source concurrencée Mos majorum = façon de vivre des ancêtres. Il faut mettre l’accent sur le caractère ancien de la coutume. Consuetudo = notion de consentement. La coutume est ce sur quoi les citoyens se sont mis d’accord. La coutume est un droit qu’un long espace de temps a

d’erreurs que lui. Rome étroit rapport entre condition du vieillard et stabilité société. Ce sont eux qui ont d’abord eu le pouvoir : Sénat. Au terme carrière cursus honorum. Economie rurale méfiance nouveauté vertu essentielle = la permanence. Mos majorum (coutume des ancêtres) valeur de loi. Conquête lente très lente méthodique par hommes âgés. Puissance du pater familias même droits sur les personnes que sur les choses Conflit de génération Le Cid : Homme dans la force de l’âge oppose son efficacité

commerce, de l’industrie et de l’agriculture. Cette évolution permet à ces pays de rentrer ds l’UE. Chapitre 1 : l’ancien droit romain : de la royauté à la république, du droit des dieux au droit des hommes L’ancien dt romain est coutumier (mos majorum et consuetudo) et très formaliste, on emploie des formules rituelles et des gestes précis, mais seuls les pontifes ont la connaissance de ceux-ci. Ce dt peut alors être perçu comme faisant appel aux religieux voire à la magie Pendant la période

qui correspond à la définition de cette coutume est vraiment une source au même titre que la loi. En fait, ce que l’on connait au début de la République et que d’autres civilisation connaissent, c’est ce que l’on désigne sous la terminologie mos-majorum (c’est-à-dire la manière de se comporter des anciens). Avec les progrès de la science juridique et notamment au moment du droit romain classique qui débute sous la République (II siècle avant JC pour se terminer au 3ème siècle après JC) et bien

Il souhaitait interdire les cultes étrangers, « elles sont ennemies croyez-moi ces statues transportées de Syracuse dans notre ville ». Caton va ajouter une théorie constitutionnelle qui va reposer sur la primauté de la coutume des ancêtres « mos majorum ». La loi des ancêtres qui s’est formée sur plusieurs générations, cette loi lui parait hautement supérieure à la loi écrite proposée par un seul. Caton va refuser la perspective de l’homme providentiel. Caton est ancien, on se trouve en pleine

au départ, il avait plus un rôle honorifique car les chefs de clans continuaient à régler les différents par leurs décisions, ils décidaient des mœurs du clan, des coutumes du clan (tradition). Les mœurs des ancêtres avaient plus d’importance (Mos Majorum) La tradition familiale règle la plupart des questions juridiques car il s’agit de suivre la manière d’être et les usages des ancêtres. Le Droit est perçu comme une obligation répété pendant un long moment par la volonté de tous sans interventions

divines et humaines vont se séparer et c'est ainsi que se forme le ius, le droit des citoyens. B) Le droit des citoyens Le mos majorum se distingue de la chose religieuse pour devenir le droit des citoyens romains. C'est le ius quiritium de ces familles aristocratiques romaines qui ont présidé à la constitution de la cité romaine et c'est leur droit qui sont dans ce mos majorum. Ce droit a une force obligatoire, non plus seulement parce qu'il correspond à un rituel religieux. Il puise sa force obligatoire

pur droit privé, questions très précises dans la plupart des cas. Le reste – c’est-à-dire l’immense majorité des questions concernant les relations entre particuliers, et d’abord les relations internes à la famille – est réglé par la coutume, le mos majorum : la « façon d’être » des ancêtres. La coutume a aussi joué un très grand rôle dans les provinces, où les Romains ont laissé subsister les droits propres des peuples vaincus qui étaient bien souvent coutumiers. En 212 apr. J.-C., l’édit de Caracalla