Mos majorum

par un ensemble de règles, dicté par les dieux à Numa. Les Romains vont distinguer un droit humain, l’IUS, essentiellement de caractère coutumier, non écrit, du FAS. Coutume= façon d’être des anciens, se transmet oralement, usage répété. Mus majorum= différents usages transmis par les anciens. Formules judiciaires et calendriers judiciaires gardés par pontifes et consuls. C’est pour obtenir une législation écrite et limiter la puissance des consuls dans le domaine du droit civil, que la

groupe. Ainsi coïncide droit coutumier et droit religieux. De plus les pontifes font aussi partie du groupe. La part de vérité de la théorie classique réside dans la conformité relative du droit archaïque avec l'opinion du groupe. Droit archaïque- Mos Majorum (=le droit des ancêtres). Ce droit existe donc depuis un certain temps. Ce droit va progressivement changer de nom pour coutume (=consuetudo). Les familles romaines s’organisaient selon un lien purement juridique. Font partie d'un même famille

donc dans les gentes, que nait le droit coutumier romain. Ces coutumes forment l'usage des anciens. Un droit coutumier que l'on nomme le mos majorum. Le mos majorum règle donc la vie des gentes. Ce mos majorum au 6ème et 5ème siècle ne suffit pas à présenter l'intégralité du droit romain. Le reste on le trouve dans le jus. Le jus qui existe en parallèle du mos majorum n'a rien à avoir avec un droit coutumier. Ce que les romains nomment le jus est à l'origine un langage particulier, c'est une forme de

royale, le droit romain est coutumier* un droit reposant sur des usages qui peuvent être propre à certaines familles ou à l’ensemble de la cité Cette coutume religieuse et séculière repose sur deux éléments :- la coutume/les mœurs des ancêtres = mos majorum - loi attribuée aux plus anciens roi de Rome = lois royales Ces lois royales ont été regroupés par Sectus Papirus Ce précepte coutumier a été donné tard aux rois recueil façonné bien après les rois de ce recueil A partir

ils émettent alors des DECRETA. * Dans le cadre de la communauté ils se réunissent en un conseil, qui deviendra plus tard le Senat, qui a choisit de se doté d’un roi. Chaque clans est régulé en fonction de ses droits proprement établis : le MOS MAJORUM, les meurs des anciens. * Le droit est alors le fruit d’une sédimentation lente. La façon d’être des ancêtre, imposée, s’est vu peu a peu acceptée, et intériorisée sans intervention de la loi. La coutume est imposée sans violence. *

devenant comme eux des citoyens (quirites/cives) : en même temps, ce droit privé tend à rompre avec la solidarité clanique. La c ndo rma , comme tout droit primitif, est un droit très formaliste, et essentiellement ’ni ri o i e t n coutumier (mos majorum, consuetudo). Il est le privilège des pontifes (prêtres7). Toutefois, des lois ont p ê e rm l és cls u ll ed ar u à’ ou ryl( u t po u ue ;ee qeaé ne ti e l pqe oa leges regiae) semblent être avant r g l g tb é e tout des décisions à caractère religieux

indo-européenne » Cette notion recouvre un ensemble de concordances entre formules, entre groupes de notions, entre schémas narratifs, entre images et symboles ; des pratiques, des institutions peuvent leur correspondre. Et c’est une réalité vécue : le mos majorum romain « coutume des ancêtres », le dharma sanātana indien « loi éternelle », etc. Cette tradition est purement orale, et l’oralité lui est essentielle ; elle ne repose pas sur une simple ignorance, mais sur un refus de l’écriture. Quand elle est

(ier siècle av. J.-C.) est souvent appelée le nouvel âge d'or ou encore le siècle d'or, en raison de la prospérité économique et de la paix civile que connaît Rome après un siècle de déchirements intérieurs. Auguste veut alors restaurer les valeurs du mos majorum, aidé d'intellectuels tels que Virgile ou Tite-Live. • CHANT I  [ L’Énéide s'ouvre sur une tempête déchaînée par ordre de Junon, alors qu'Énée semblait toucher au but de son voyage, l'Italie. La haine de Junon marque toute l’Énéide. Virgile en

la coutume À cette époque, l’immense majorité des règles de droit privé, notamment les relations internes à la famille, relèvent, comme dans toutes les sociétés archaïques, de la coutume. On désigne la coutume par une expression assez vague « Mos Majerum », qui, en traduction, est la façon d’être des anciens. Lorsque le droit deviendra plus savant, les juristes préféreront employer le terme « Consuetudo ». Un autre terme est employé : « Mores », qui signifit « Mœurs ». Le droit primitif

Le jus honorarium : les édits des magistrats Un édit est une proclamation à valeure réglémentaire faite par le magistrat. Il ne s’applique que dans le ressort de compétences de celui-ci et pour la durée de son mandat. La coutume le mos majorum : mos qui se dit au pluriel mores qui designe l’usage, la coutume. Cicéron le définit comme «  le droit qu’un long espace de temps a rendu obligatoire pour la volonté de tous et sans intervention de la loi. » A Rome il concerne essentiellement le droit