Mutation Allélique

d‛une espèce un grand polymorphisme des gènes. Un gène est dit polymorphe lorsqu‛il existe sous plusieurs versions allèliques différentes (2 au minimum). Le polymorphisme des gènes repose sur l‛accumulation au cours des générations des mutations. Problèmes :  Quels types de mutations sont à l‛origine des différents allèles d‛un gène ?  Quelles sont les conséquences des mutations sur le phénotype ? Au cours des temps géologiques, la vie a évolué vers la complexité. Il y a donc de plus en plus

d'explorer l'espace d'état. L'opérateur de croisement recompose les gènes d'individus existant dans la population, l'opérateur de mutation a pour but de garantir l'exploration de l'espace d'états. 5) Des paramètres de dimensionnement : taille de la population, nombre total de générations ou critère d'arrêt, probabilités d'application des opérateurs de croisement et de mutation. II.2. Pourquoi les algorithme genetique ?: Les algorithmes génétiques fournissent des solutions aux problèmes n'ayant pas

sexuée, le modèle théorique de Hardy-Weinberg prévoit la stabilité des fréquences relatives des allèles dans une population. Mais, dans les populations réelles, différents facteurs empêchent d’atteindre cet équilibre théorique : l’existence de mutations, le caractère favorable ou défavorable de celles-ci, la taille limitée d’une population (effets de la dérive génétique), les migrations et les préférences sexuelles. Place de la séance dans la séquence : Premier TP du chapitre sur l’évolution

2°) Les mutations à l'origine du polymorphisme : a) Définition d’une mutation : Fiche génétique-1 Une mutation est un processus biologique par lequel un allèle nouveau apparaît par modification d'un allèle préexistant. C'est un phénomène : - aléatoire (lié au hasard) ; - non orienté (donc non déterministe) ; - rare (fréquence très faible. b) Localisation et nature des mutations : Elles se font au niveau du nucléotide qui correspond à la plus petite unité de mutation. Les mutations peuvent

ancêtres. Les relations de parenté au sein de la lignée humaine sont complexes, et la découverte de nouveaux fossiles pourra éventuellement remettre en cause ces idées qui proposent des filiations hypothétiques. IV) L’étude de fréquences alléliques dans les populations humaines actuelles donne des informations sur l'origine des hommes modernes : Homo sapiens Livre p 96 et 97 Malgré leur diversité morphologique apparente les êtres humains actuels sont interféconds. Ils appartiennent

documents 1 et 2, p. 192, expliquer ce que montre le modèle de Hardy-Weinberg.Le modèle de Hardy-Weinberg est une théorie mathématique qui décrit la distribution des fréquences alléliques et génotypiques dans une population idéale et non évolutive. Selon ce modèle, si les conditions suivantes sont remplies (absence de mutations, de migrations, de sélection naturelle, d'accouplements non aléatoires et de taille de population infinie), les fréquences des allèles et des génotypes dans la population restent

structure, la meme fonction et + de 20 % de ressemblances dans leur sequences sont qualifier de molecules homologues. Les individus possedants ces molecules sont issues d'un gene ancestrale duquel sont issues ces differentes molecules dus a des mutations Les donnees moleculaires permettent de confirmer ou au contraire remettre en cause des relation de parenté etablie à paritr de données anatomique et/ou embryoliguqe. Elles sont aussi utiliser lorsque les données anatomique ou embryologique sont

de mutation et de migration, les fréquences allèliques ne changent jamais. On voit bien ici que cette loi est purement théorique et que concrètement les fréquences alléliques dans une population donnée sont influencées par de multiples facteurs comme les mutations (inévitables), les migrations ou la sélection naturelle. Globalement, plus l'effectif est limité, plus la dérive génétique est rapide (le hasard conduisant à l'élimination d'un gène sera plus rapide) (KONINGS, 2001). Une mutation significative

hybrides obtenus sont fertiles). Mendel choisit des lignées pures (caractères transmis sans changement depuis plusieurs générations). * Monohybridisme : Les parents diffèrent par un seul caractère allélique (ex. : couleur) * Dihybridisme : Les parents diffèrent par deux caractères alléliques (ex. : couleur et forme) * Vers une nouvelle conception de l’hérédité Mendel suggère que la fécondation est la fusion d’un gamète mâle et d’un gamète femelle. * L’élaboration de la

sanguin ne présente que trois allèles (A, B et O) mais on connaît d'autres gènes pouvant présenter plusieurs dizaines d'allèles, comme ceux intervenant dans le système de défense immunitaire par exemple. Une population possède donc une richesse allélique plus ou moins importante, comptant comme un des aspects de la biodiversité. Cette diversité prend toute son importance en favorisant ou non les individus porteurs des allèles intéressants dans un contexte particulier, et notamment en conditions