Mécanisme De Coordination Selon Mintzberg

1.5 Les 7 configurations d’organisation selon H. Mintzberg = va permettre d’analyser n’importe quel type d’entreprise, d’organisation 1.5.1 La structure simple Cette structure est celle que l’on va retrouver dans une organisation de petite taille, qui fonctionne par le mécanisme de coordination qu’est l’ajustement mutuelle, avec un sommet stratégique, et un centre opérationnel. En revanche, il n’y aura pas de technostructure, et pas de place pour une fonction support stratégique. Ainsi, il n’y a

à une fonction, on élimine en principe l’arbitraire du chef) ; - il laisse une liberté au personnel dans la limite des règles ; - il établit une hiérarchie d’emplois claire et il est applicable au travail administratif ; - il permet de recruter selon les qualifications et de contrôler carrières et promotions (le salarié n’est pas propriétaire de son poste). Critique  du modèle bureaucratique : - ce modèle est incontournable dans les grandes organisations, il assure prédictibilité et efficacité ;

fabrication de four pyrolytiques ou de structures en acier ou en fonte ou encore des chauffes-eaux, revêtement de tuiles verrerie de table, …. Autrement dit, l’entreprise Ferro produit des émaux qui peuvent être transformés de multiples façons. Selon Peter Drucker, le client est le pilier de l’affaire dans la mesure où il est le seul à donner du travail à l’entreprise. Le seul but d’une entreprise à but lucratif telle que Ferro, est de faire du profit, des bénéfices (finalité financière, économique)

irrationelle : -modèle de la poubelle(sol° existante pr PB posés). – non rationalité de sfez(decis° justifiés par leur realisat°). LIKERT : 4 styles de direct° : manager autoritaire, paternaliste, consultatif, participatif). BLACK&MOUTON : 5 modes de Mana.(selon l’interet porté aux hommes et aux taches). Facteur influencant la decis°= style de diret°, mode de mana., histoire et culture de l’E, Type de décis°, rationalité de la décis°. ---PPsource de contre-pouvoir. PP interne : salariés, actionnaires. &

Les entreprises seraient dirigées selon deux logiques : la logique entrepreneuriale fondée sur la prise de risques ainsi que sur la créativité et la logique managériale axée sur l’optimisation des ressources confiées au manager. I – La logique entrepreneuriale A - L’entrepreneur selon Schumpeter (1928) Schumpeter estime que l’innovation permet de sortir l’économie de l’état stationnaire et c’est l’entrepreneur qui incarne le pari de l’innovation. Ainsi, l’entrepreneur a vocation

BESOINS 3. LES LIMITES DE L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES II. LES APPROCHES CONTINGENTES 1. LES FACTEURS DE CONTINGENCE INTERNES 2. LES FACTEURS DE CONTINGENCE EXTERNES 3. LES TRAVAUX DE MINTZBERG III. LES APPROCHES VOLONTARISTES 1. LA THEORIE DU CHOIX STRATEGIQUE 2. LA THEORIE DES RESSOURCES ET DES COMPETENCES IV. L’APPROCHE EN TERME DE COMPETENCES DISTINCTIVES 1. LES FACTEURS CLES DE SUCCES 2. LA CHAINE DE

Le Contrôle de gestion outil de prise de décision : Couts partiels et pertinents Atelier N 2 L’attribution du contrôle de gestion dans la prise de décision selon le schéma organisationnel de l’entreprise et via le système d’information comme outil logistique de collecte et de traitement de l’information, ainsi que les couts partiels et pertinents comme instrument essentiel du contrôle de gestion. Introduction Le contrôle de gestion produit des informations pour aider à décider et à gérer

simple manœuvre à la compagnie des Aciéries MIDVARE et se donne les objectifs suivants : 1. Arriver à déterminer ce que peut constituer une juste journée de travail c'est-à-dire ce qui peut être fait pendant des années sans fatigue excessive, et donc selon une allure parfaitement convenable, excluant la hâte, et donc acceptée volontiers. 2. Arriver à déterminer plus précisément la forme des outils et les meilleurs angles d’attaque pour couper l’acier, afin d’effectuer le travail plus rapidement. En

sont proposés pour assurer une bonne orientation de la gestion. Par ailleurs, son contenu se décrit à travers un ordre de connaissances et d’interaction entre les autres disciplines. En fait, il existe trois façons d’ordonner ces connaissances, selon : La nature de ressources mises en œuvre les missions ou fonctions confiés aux gestionnaires Les processus fondamentaux qui caractérisent le fonctionnement de l’entreprise. Dans le deuxième point, on a parlé des gestionnaires qui constituent un

écoles de pensée (l’organisation mécaniste, l’organisation comme système complexe) en fonction des environnements politique et économique de la firme. Les auteurs désirent mettre à jour des modèles-types d’organisation, identifier et comprendre les mécanismes internes les plus pertinents. C’est dans ce cadre que l’on peut placer les recherches actuelles sur l’éthique, la responsabilité sociale de l’entreprise. Il existe un véritable élargissement du débat sur les objectifs de l’organisation qui ne sont