Méditations Métaphysiques

Les Méditations DESCARTE 1ère Méditation : Méditations métaphysiques que Descarte met en place, cette interprétation destinée à rendre évidente la présence de la conscience dans la pensée. * Premier Paragraphe : Descarte décrit sont projet qui est (l.5) « établir quelque chose de ferme et de constant dans les sciences », quelque chose de durable, de pérennes. Il ne souhaite pas révolutionner les sciences, il veut quelque chose d’inattaquable, il veut faire par de la propre expérience

univers infini, éclaté, déstructuré ; un univers pour lequel Dieu n’est plus la seule source de sens. Les révolutions scientifiques y sont pour beaucoup. C’est dans ce contexte de crise et de transition que Descartes va intervenir. Dans les Méditations Métaphysiques, il entreprend de soumettre tout savoir (les croyances, les sciences, les religions, …), y compris le plus assuré, à l’épreuve du doute hyperbolique. Or, quelle est l’unique certitude qui pourra résister au doute hyperbolique, si ce n’est

Pour Descartes être conscient est synonyme de « penser ». Le Cogito, ergo sum qu'il considère comme fondement de la philosophie dans ses Méditations traduisait une reconnaissance du caractère central de la conscience. Il y parvient en cherchant à savoir ce qu'il peut y avoir d'indubitable. Il engage une critique de la conscience spontané de soi et décide de se débarrasser de tous ses préjugés reçus depuis l'enfance. Recherchant la vérité par le doute méthodique, il en vient à considérer comme faux

fonction biologique naturelle. Descartes apercevant du haut d'un balcon des manteaux et des chapeaux ce déplaçant dans le rue et ne croyant pas aux fantômes juge qu'il s'agit la d'hommes revêtu de chapeaux et de manteau. Dans la deuxième méditation métaphysiques, Descartes fait de la perception une activité intellectuelle. Dans ce contexte on peut légitimement s'interroger : la perception est elle une fonction du corps ou de l'esprit? D'une façon plus générale : qu'est que percevoir? S agit il

et mécanique, au XVIIe siècle, bouleverse profondément l'ancienne représentation d'un monde ordonné et finalisé, héritée à la fois de la philosophie chrétienne et de l'aristotélisme. C'est dans ce contexte de crise que Descartes, dans les Méditations métaphysiques, entreprend de soumettre tout savoir -y compris le plus assuré- à l'épreuve du doute. Et l'unique certitude qui résiste au doute est celle du Cogito ergo sum: "Je pense, donc je suis".

acte répondra alors d'un choix réfléchi et pensé du sujet lui-même et non d'une pulsion. Mais Alain met tout de même en avant une dimension morale : « le doute », qui différencie l'homme de l'animal. Il suit la thèse de Descartes dans les Méditations métaphysiques qui déclare que « la conscience de douter » révèle l'existence et la réalité de la pensée. Il assimile « le réveil » à la conscience et affirme donc que toute conscience s'accompagne « toujours avec le doute ». Dans les deux dernières phrases

erreur résulte d'un raisonnement erroné, une illusion provient d'un aveuglement désiré. Ainsi, quand l'erreur est rectifiable, l'illusion, quand bien même on l'a expliquée, persiste. Un exemple concret décrit par René Descartes dans les Méditations Métaphysiques est l'illusion d'optique : ainsi, quand on plonge un bâton dans l'eau, il nous paraît brisé : même si l'on en est conscient, il nous apparaîtra toujours brisé. D'autre part, nous pouvons considérer que l'illusion apporte un réconfort, un

neuf années, à observer, chercher la vérité, et déraciner les idées reçues. Il ne s'adonna toutefois pas encore à la philosophie, mais se forgea de solides idées. Quatrième partie Descartes reconsidère tout ce qu'il sait au cours de méditations métaphysiques ; tout objet, toute chose et toute pensée devient alors faux et illusoire. Or, puisque tout est illusoire, il se demande comment savoir avec certitude qu'il existe lui-même, qu'il n'est pas lui-même néant. Pour Descartes, le simple fait

croyance. Croire qu’il va pleuvoir alors que l’on voit des nuages arriver, ou parce que la météo l’a annoncé la veille, relève du bon sens. Plus encore au fondement même de notre rapport au réel il y a la croyance en l'existence du monde. Cf Méditations métaphysiques de Descartes : « Et comment est-ce que je pourrais nier que ces mains et ce corps-ci soient à moi ? si ce n'est peut-être que je me compare à ces insensés, de qui le cerveau est tellement troublé et offusqué par les noires vapeurs de la bile

mon opinion », formule permettant de mettre fin à un débat. En effet, elle est utilisée lorsque quelqu'un ne sait pas, ou plus, comment argumenter sa pensée et ne veux pas forcément entendre un autre avis que le sien. Descartes dans les méditations métaphysiques s’attachait déjà à dire que pour établir quelque chose de constant et de ferme dans les sciences il fallait se défaire de toutes ses opinions. Bachelard dans la formation de l’esprit scientifique rejoint Descartes et souligne l’opposition