Naloxone

myosis, histaminolibération : prurit. Signes de démorphinisation : Sueurs / larmes / régression du myosis / augmentation de la FC et de la TA / ventilation spontanée. Attention : risque de relargage après réveil. ANTIDOTE MORPHINE : NARCAN (NALOXONE) ANTIDOTE CURARE : PROSTIGMINE (+ ATROPINE) ANTIDOTE BZD : FLUMAZENIL Myorésolution : relâchement musculaire CURARISATION Facilite acte chirurgical (chir. abdominale) / permet le contrôle de la ventilation. CURARISATION : de la tête vers les

antiHIV). - Bubrénorphine : conc. sg et risque de surdosage avec BZD (dépr. resp. +++), certains antiHIV, l'itraconazole (antifongique). 3.2. Antimorphiniques Substances capables de bloquer de manière compétitive les récepteurs aux opiacés. 3.2.1. Naloxone = Narcan ®, Nalone® 3.2.1.1. Antagoniste pur Agit surtout sur récepteurs µ. Supprime tous les effets des morphiniques. 3.2.1.2. Actions pharmacologiques - Sujet normal : aucune mais supprime ou diminue l'analgésie provenant de l'acupuncture, des

médicale stricte : risque d'hypotension, détresse respiratoire, choc anaphylactique). Formes : CONTRAMAL®, TOPALGIC®, TRAMADOL®. + systématiquement penser à traiter les recrudescences douloureuses. PCA (patient controlled analgésia). Antidote : Naloxone NARCAN® amp inj (IV, IM, SC). NEFOPAM : ACUPAN® : analgésique non morphinique d’action centrale dépourvu d’effet dépresseur respiratoire. Effets indésirables : IM douloureuses, sueurs, somnolence, nausées, effet atropinique (sécheresse buccale,

de l’EGFR en 1ere ligne Question 4 TEP Scanner TDM cérébrale avec IV Calcémie Question 5 Surdosage en morphinique responsable d’hypoventilation alvéolaire Question 6 Urgence thérapeutique USI VVP, remplissage Antagoniste morphinique : naloxone IV en titration pour obtenir un contact verbal et FR>12 Relai IVSE si besoin Docteur Elise Cuquemelle ©2013 – Tous droits réservés 3 

toujours suffisamment efficaces sur certaines douleurs. - agonistes purs : morphine (chlorhydrate, sulfate), fentanyl, hydromorphone, oxycodone, méthadone - agonistes partiels : buprénorphine - agonistes/antagonistes : nalbuphine - antagonistes : naloxone. Les analgésiques centraux non morphiniques : On trouve actuellement : le dextropropoxyphène • le tramadol • le néfopam Ces analgésiques sont disponibles seuls ou associés à d'autres molécules antalgiques. Ils peuvent être utilisés par voie

conscience, Signes vitaux * 5. Qu’est-il important de vérifier sans faute après l’administration de ce type de médicaments? À quel moment? * Même chose + soulagement au PIC d’action * 6. Quel est l’antagoniste de la mépéridine? Naloxone ou Narcan * * *

assorties. _ ECG et scope. _ Oxymètre de pouls. _ Capnographe (confirmation de l’intubation). Médicaments _ Adrénaline à 1 : 10000 (0,1 mg/ml). _ Expansion volémique : sérum physiologique NaCl 9‰. Médecine & enfance avril 2007 page 11 _ Naloxone : Narcan® : 1 mg/ml ou 0,4 mg/ml. _ Bicarbonate de sodium à 42 ‰ (0,5 mEq/ml). _ Glucose : 5 % et 10 %. Précautions habituelles Tous les liquides organiques provenant du patient doivent être considérés comme potentiellement infectieux. Le

Prurit bronchospasmes, réactions cutanées allergiques, vertiges, somnolence, dépression respiratoire. Surdosage :  Symptômes : dépression aiguë des centres respiratoires Conduite d'urgence : assistance ventilatoire, administration de NALOXONE* (la naloxone doit être injectée à doses progressives) Aspects pratiques : Il convient de prescrire ce médicament avec prudence chez des malades ayant un passé de toxicomanie. Adaptation des doses chez les personnes âgées, les enfants de moins de 15 ans

du repas, le soir, déconseillé aux femmes enceintes… Education thérapeutique… ANTIDOTE : substance capable de neutraliser les effets d’un toxique. On l’utilise en cas d’intoxication médicamenteuse.  Héparine=Sulfate de Protamine  Morphine= Naloxone= Narcan®   Paracétamol = N Acétilcystéine= Fluimicil® ou Mucomyst® Benzodiazépines = Flumazémil = Anexate® 

concerne le soulagement de la douleur, on peut dire que l'acupuncture produit des effets analgésiques et anesthésiques mais ses effets peuvent être bloqués par la naloxone, donc ils sont le résultat de l'action des endorphines, cependant l'hypnose aussi protège contre la douleur mais ses effets analgésiques ne peuvent pas être bloqués par la naloxone, on croit que l'hypnose agit par l'intermédiaire d'une voie analgésique différente. (page 227) Jour 27. La sensation désagréable qui est provoquée par le décalage