Négation de la Shoah

réalité la plus terrible qu’on découvre en 1945 c’est l’extermination des populations juives. Elle se pose sur une haine des juifs Antisémitisme et sur une théorie raciale Principe d’inégalités des hommes = Races. Ça date du XIXème siècle. Négation de la personne humaine. Régime politique Aryens L’un des objectifs du IIIème Reich, c’était l’extermination des juifs : « la solution finale ». Les grands dirigeants étaient au courant mais ils n’y ont pas crus. Génocide : Terme forgé par

posée. ( Klaus Barbie, Touvier, Papon) , des films ( Shoah de Claude Lanzmann) , des émissions mobilisent, informent l’opinion sur le génocide, sur le regain de l’antisémitisme, c’est la période où la mémoire du génocide des Juifs de France investit l’espace public. Des condamnations pour diffamation publique à l’encontre de Jean-Marie Le Pen , Robert Faurisson sont amplifiées sur le plan politique par le vote de la loi Gayssot ( 1990 : toute négation des crimes contre l’humanité constitue un délit)

manifestations de la violence sont trop dispersées, trop paradoxales pour être significatives. Selon Freud, l’homme est foncièrement agressif et violent. Pour Girard, elle n’’est pas instinctive mais intersubjective et sociale. Elle correspondrait à la négation de tout ce qui est humain (la parole, le respect, la rationalité….). Pour tenter de définir la violence, on peut s’appuyer sur la version d’Alain : « la violence est un genre de force, mais passionnée, et qui vise à briser la résistance par la terreur

(Association Pour la Mémoire du Maréchal). Elle est restée confinée aux cercles d’extrême droite, largement discréditée jusqu’à la guerre d’Algérie. Avec le Front National, elle a retrouvé une certaine audience. Le négationnisme (négation de l’existence des chambres à gaz et de la Shoah) au tournant des années 1970-1980 va au-delà de cette mémoire ; elle relève d’une mémoire collaborationniste pour ne pas dire néo-nazie.   3. Devoir de mémoire et refoulement Le devoir de mémoireest une notion  forgée

l’identité juive, la singularité absolue de la Shoah et revendique sa place dans la société. + Associations juives des fils et filles de déportés de France fondée par Beate et S. Klarsfeld va se mobiliser pour jugés des responsables français et allemands (Barbie, Papon, Touvier) dans les années 80-90. Dans les années 80 -90 libérer la paroles des survivants : lutte contre le négationnisme doc. 3 p. 273 ; procès ; mémoriaux ; projection de film dont Shoah de Lanzmann ; intervention de témoins dans les

FN, qui s’impose co une composante non négligeable de l’échiquier électoral et qui revendq les valeurs de la Rev° nale de Vichy, symbolisée par le slogan « travail, famille, patrie ». La lente renaissa d’une conscience juive - La mémoire de la Shoah Sur les 75/6mil juifs déportés (dont 11mil enfants) vers les camps nazis, seuls 2500 ont échappé à l’extermin°. En Fce, 3mil sont morts ds les camps fçs d’internt. ¼ de la pop juive de Fce a péri. Ap la gr, s’instaure une mémoire patriotq de

juifs, le génocide devient l’objet d’une intense activité mémorielle. -1979 : création de la FFDJF (Fédération des fils et des filles des déportés juifs de France) pour soutenir l’action de Beate et de Serge Klarsfeld -2ème tournant avec le film « Shoah » de Claude Lanzmann en 1985 (monument de 9h tardif mais incontournable, aucune image d’archives, paysages, interview -> témoignage, souvenir sur la destruction des juifs d’Europe # analyse historique de génocide)  La victoire de la mémoire juive

faisant émerger son passé, ses souvenirs de la guerre. Cette histoire semble intemporelle et universelle, mais plusieurs éléments du récit font clairement référence à la Seconde Guerre Mondiale, de 1939 à 1945 avec sa cruauté, son inhumanité, la Shoah et ses conséquences. L'intrigue du meurtre quant à elle, se déroule un an après la guerre (page 23), dans un petit village du Nord Est de la France, parlant un dialecte germanique. - Nous allons nous intéresser sur la question de comment évolue le

nécessaires à la compréhension de l'événement, tandis que le magistrat Jean-Olivier Viout apporte les éclairages nécessaires sur son aspect judiciaire. Autant dire que ces images sont un matériau exceptionnel pour la connaissance de l'Occupation et de la Shoah. Et une occasion unique pour un enseignant d'accéder à des documents relevant de ce qu'on appelle l'« histoire orale ». Ce guide a été réalisé en partenariat avec www.histoire.fr/ Pistes à suivre La cour d'assises, espace d'un drame Le

suite ordonnée de faits susceptible d'être expliquée. Et le hasard lui-même répond à des lois statistiques. Ne peut-on pas alors trouver des lois, là où en apparence ne règnent que hasard et liberté ? II. L'histoire est un processus ordonné 1. La négation du hasard Même si derrière le hasard, il n'y a que la rencontre de séries causales mécaniques et nécessaires, en histoire, les actions mises en œuvre le sont par volonté. En quoi y aurait-il des lois ? D'abord en constatant les limites de ce qui