Neurosciences cognitives

même temps que je pénètre le monde, je suis pénétré par lui. Pour Husserl, comme ensuite pour Merleau-Ponty, la philosophie doit se donner la tâche de décrire le monde, plutôt que de l’expliquer. 2. La conscience: objet d'études pour les neurosciences La phénoménologie doit tenter de décrire les phénomènes, tels qu’ils apparaissent à la conscience. Le projet d’une «maîtrise» du monde, tel que l’avait décrit Descartes (l’homme doit se rendre maître et possesseur de la nature), semble abandonné

Neurosciences Les (neuro) sciences cognitives Aproche ascendante et descandente Démarche descendante Stimulus » Réaction cerveau » Réaction physique Démarche ascendante Méthodes neurophysion Modèles animaux Culture de cellules Aproche expérimentale: Chronométre mentale (TR) Choix (RC %) EEG Imaginoire cérdrale TEP scan IRMF MEG L´activité mentale Culture de cellule: Pour savoir comment le cerveau fonction socialement. Neuromagerie de fonctions cérébrales

PHILOSOPHIE : LE CAS DE L’ESPRIT Tout un courant philosophique contemporain s’intéresse à la psychologie cognitive, qui est à la fois une branche de la psychologie et une conception de la psychologie comme science. Parmi ceux qui se réclament de ce courant, beaucoup ne dissimulent pas leur espoir de trouver, dans cette psychologie et plus largement dans le domaine interdisciplinaire des sciences cognitives, des réponses au moins partielles à bon nombre des questions que se pose, depuis Platon, la philosophie

psychose ont permis d’améliorer le devenir du patient. Pluralité des prises en charge pour la psychose car aucune thérapeutique seule ne peut aider le patient. Si on le fait, c’est parce que les perturbations sont à de multiples niveaux. 2) Les neurosciences au traitement neuroleptique L’implication thérapeutique majeure des modèles biologiques de la schizophrénie, a été le développement de traitements pharmacologiques sous forme de neuroleptiques. Le traitement neuroleptique s’impose dans le cas

6 7 Qu'ont pu apporter les neurosciences à la compréhen sion et la description de l'empathie ? Tout d'abord, la découverte des neurones miroirs pa r l'équipe de Giaccomo Rizzolati - dans le cortex prémoteur du singe (une région impl iquée dans la programmation des mouvements volontaires) qui s'active lorsque l'a nimal exécute une action (prendre un morceau de nourriture par exemple) et lor squ'il observe l'expérimentateur faire la même action - a apporté la première démonstration de

soumis à un certain nombre de lois) et le terme de psychologie rationnelle (introspection). Evolution du sens du terme : La psychologie, c’est l’étude du processus de pensée. La psychologie, c’est le traitement de l’information (psychologie cognitive) : assimilation de l’esprit humain à une machine. Le psychologue court un risque de comparer l’esprit humain à une machine. La définition change suivant les époques, les lieux, les cultures. La raison tient au fait qu’elle a trait à l’homme.

 Concepts de base en psychologie cognitive I) Introduction A) Définitions - Une des branches de la psychologie - Elle étudie principalement dont l'homme peut acquérir des infos sur son environnement interne et externe, comment il les interprète pour pouvoir s'adapter. - Liée à toutes les disciplines des sciences humaines - A un lien avec la biologie et la neurologie - Fortement lié au fonctionnement du cerveau

partie de la mémoire. Pour W. James (1890), la mémoire est subjective. James est un philosophe qui a travaillé sur le souvenir, la mémoire, l’attention et il a insisté sur le fait que la mémoire est subjective. Pendant des années, la psychologie cognitive a oublié cette histoire de subjectivité. On a créé la psychologie comme une discipline scientifique où on doit mesurer donc être objectif, avoir des faits objectifs et objectivables. Mais on s’est coupé des émotions, de la subjectivité et certaines

années juste après la deuxième guerre mondiale.[3] Bien que là ait augmenté l'isolement et la spécialisation ces dernières années, un certain degré de chevauchement et d'influence demeure entre les deux disciplines.[4] La théorie de la dissonance cognitive La proposition fondamentale de la théorie de Léon Festinger (1957) est la suivante : l'individu tend à réduire la dissonance possible entre les différents éléments cognitifs présents. Explicitons d'abord certaines parties de cette proposition. Un

Toutes les recherches actuelles impliquent de nombreuses disciplines comme les neurosciences et la psychologie cognitive, mais aussi la médecine, l’informatique (dont plusieurs sous-disciplines telles que l’interaction homme-machine, les réalités virtuelle et augmentée, le traitement de l’image, le traitement automatique des langues, les systèmes multi-agents, etc.), l’ergonomie cognitive, la sociologie, la robotique et les nanotechnologies. CNRS Question1 Cherchez et présenter sous forme de tableau